Méthode de détection d'une pédale d'accélarateur bloquée |
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申请号 | EP12192324.7 | 申请日 | 2012-11-13 | 公开(公告)号 | EP2594422A1 | 公开(公告)日 | 2013-05-22 |
申请人 | PEUGEOT CITROËN AUTOMOBILES SA; | 发明人 | Fischer, Jérémie; Clausolles, Nathalie; | ||||
摘要 | La présente invention concerne une méthode de détection d'une pédale d'accélérateur bloquée d'un véhicule, comprenant au moins une pédale d'accélérateur (20) avec au moins un capteur, une pédale de frein (30) avec au moins deux capteurs, et un calculateur (90), la méthode comprenant les phases suivantes : - détermination (40) de la présence d'un défaut au niveau de la pédale d'accélérateur (PPA1) par l'intermédiaire de l'activation de la pédale de frein (AF1, AF2) par le conducteur (10), comprenant les étapes de condition de détection d'un défaut et confirmation ou réhabilitation du défaut, - enregistrement du défaut (50), - correction du défaut (60) par calcul de la consigne couple (70) envoyée au producteur couple (80) par l'intermédiaire d'une valeur (PPA2) et (PPD) qui permet d'arrêter la situation à risque. |
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权利要求 | |||||||
说明书全文 | La présente invention concerne le domaine des pédales d'accélérateur, et plus particulièrement une méthode de détection d'une pédale d'accélérateur bloquée. Historiquement la pédale d'accélérateur des véhicules automobiles était reliée mécaniquement au moteur à l'aide d'un système de renvoi mécanique ou câble coulissant dans une gaine, ce renvoi ou câble était relié à un carburateur, un boîtier papillon ou une pompe à injection, contrôlant le couple délivré aux roues du véhicule. La complexité croissante des véhicules liée aux différentes normes concernant les émissions de polluants règlementés mais également l'optimisation de la consommation de carburant ont conduit les constructeurs à utiliser des systèmes électroniques embarqués permettant d'assurer, avec plus de souplesse et de possibilités, la gestion du moteur thermique ou plus récemment des nouvelles chaînes de traction hybrides ou électriques. La pédale autrefois reliée mécaniquement à des organes mécaniques est désormais reliée électriquement aux calculateurs embarqués, ce ou ces calculateurs disposent désormais également de l'information liée à l'appui sur la pédale de frein. Les informations des deux pédales (accélérateur et frein) sont généralement transmises à un calculateur électronique effectuant la gestion de la mise à disposition du couple aux roues du véhicule le permettant d'avancer. Cette mise à disposition de couple peut être effectuée avec un moteur thermique conventionnel, un groupe motopropulseur hybride ou électrique. La pédale d'accélérateur d'un véhicule moderne, bien que reliée électriquement aux calculateurs est un composant mécanique sujet à l'usure et à l'environnement extérieur, l'usure ainsi que la présence d'un obstacle dans l'habitacle du véhicule (par exemple un tapis de sol) sont donc les principaux facteurs qui peuvent conduire à un blocage mécanique de la pédale. Une pédale d'accélérateur bloquée est une situation critique. En effet, que le groupe motopropulseur soit thermique (avec boîte de vitesses manuelle ou automatique), hybride, ou électrique, il en résulte une incohérence entre la « volonté conducteur » et le couple effectif aux roues. Dans le cas présent cette situation est qualifiée « d'accélération intempestive », la pédale restant en position enfoncée même si le conducteur lève le pied. Cette situation se traduit par une perte de maitrise du véhicule induite par une défaillance du système. Une solution pour lutter contre cet inconvénient est décrite par le document Il est également connu par la demande de brevet L'inconvénient de ces méthodes provient du fait qu'elles se basent uniquement sur la position de la pédale de l'accélérateur, ce qui peut être source d'erreurs. La présente invention a donc pour objet de pallier un ou plusieurs des inconvénients de l'art antérieur en proposant une méthode qui permet de détecter le blocage de la pédale d'accélérateur en utilisant des informations supplémentaires à celles apportées par la pédale d'accélérateur, le but étant de réduire la durée durant laquelle le symptôme d'accélération intempestive se manifeste. Pour cela la présente invention propose une méthode de détection d'une pédale d'accélérateur bloquée d'un véhicule, dont la pédale de frein comporte au moins deux capteurs de frein, comprenant les phases suivantes :
Dans une situation d'accélération intempestive la pression exercée sur la pédale de frein est un bon indicateur. En effet, le conducteur pour pallier le blocage de la pédale d'accélérateur va avoir pour réflexe d'appuyer fortement et brutalement sur la pédale de frein. La pédale de frein donne ainsi une information rapide sur la situation. La situation d'accélération intempestive peut être donc être détectée et rapidement interrompue, le mode de fonctionnement normal du véhicule peut être également être retrouvé rapidement sans arrêt de ce dernier (en roulant), ni opération de maintenance particulière si la pédale est mécaniquement débloquée. Selon un mode de réalisation de l'invention, la phase de détermination de la présence d'un défaut comprend les étapes suivantes :
Selon un mode de réalisation de l'invention, la condition de détection du défaut se fait en comparant les valeurs RM du régime moteur, VV de la vitesse de véhicule et PPA1 de la position de pédale acquise 1 avec respectivement des valeurs seuil S1, S2 et S3, les contions de détection étant réunies lorsque les valeurs RM, VV et PPA1 sont respectivement supérieures ou égales à S1, S2 et S3. Selon un mode de réalisation de l'invention, la phase de détermination de la présence d'un défaut est interrompue si au moins une des valeurs RM, VV et PPA1 est respectivement inférieure à S1, S2 et S3. Selon un mode de réalisation de l'invention, la confirmation du défaut est réalisée lorsque les conditions de détection d'un défaut sont remplies et que les deux capteurs de frein sont activés par un appui franc sur la pédale de frein. Selon un mode de réalisation de l'invention, la méthode comprend avant la phase d'enregistrement du défaut confirmé, une étape supplémentaire consistant à comparer en valeur absolue une valeur de la pédale d'accélérateur avec la valeur PPA1 acquise au début de la détermination de la présence d'un défaut, et si la valeur de la pédale d'accélérateur est différente de la valeur PPA1, à interrompre la condition de détection du défaut. Cette solution technique permet d'éviter des fausses détections de défaut. En effet si l'on vérifie uniquement le fait que la dérivée de position de la pédale est en dessous d'un seuil, il en résulte une possibilité de détection d'une pédale stable alors qu'en définitive elle bouge lentement. Selon un mode de réalisation de l'invention, la réhabilitation du défaut confirmé est réalisée si la valeur de la position de la pédale d'accélérateur est différente en valeur absolue de la valeur PPA1 et qu'au moins un des capteurs de frein n'est plus activé. Selon un mode de réalisation de l'invention, la phase de correction du défaut consiste à remplacer la valeur de PPA1 par une valeur de remplacement PPA2 afin que le véhicule fonctionne comme s'il n'y avait pas de défaut. Selon un mode de réalisation de l'invention, le défaut confirmé est conservé en mémoire volatile. De cette façon, si un défaut a été confirmé sur un roulage et que le véhicule est arrêté, le fait d'enregistrer le défaut en état confirmé permet au prochain redémarrage de ne pas avoir un moteur thermique qui s'emballe (du à une pédale restée mécaniquement bloquée). Il est alors nécessaire de faire bouger la pédale d'accélérateur pour réhabiliter le défaut. Selon un mode de réalisation de l'invention, lors de l'initialisation du calculateur du véhicule, la différence de valeur entre PPA1 et la valeur de la pédale d'accélérateur est remise à zéro pour éviter une fausse réhabilitation (cas d'un défaut enregistré au précédent roulage). D'autres caractéristiques et avantages de l'invention seront mieux compris et apparaîtront plus clairement à la lecture de la description faite, ci-après, en se référant aux figures annexées et données à titre d'exemple:
La méthode selon l'invention a pour but de réduire la durée durant laquelle le symptôme d'accélération intempestive se manifeste. Elle s'applique aux véhicules avec un groupe motopropulseur (GMP) soit thermique (avec boîte de vitesses manuelle ou automatique), soit hybride, soit électrique. La méthode est mise en oeuvre par l'intermédiaire d'au moins un capteur de pédale d'accélérateur, au moins deux capteurs de pédale de frein, au moins un calculateur et un groupe moto propulseur. La volonté (10) du conducteur fait qu'il appuie sur la pédale d'accélérateur (20). Si cette pédale se bloque, le conducteur appuie franchement et fortement sur la pédale de frein (30). Au niveau du calculateur (90), les deux capteurs de frein envoient le message (PF1, PF2) au module diagnostic qui détermine si la pédale d'accélérateur est bloquée (40), le capteur de la pédale d'accélérateur envoie également un message (PPA1) au module diagnostic (40). Si la pédale d'accélérateur est bloquée, la méthode passe en mode enregistrement de défaut (50). Si le défaut est confirmé, alors la méthode passe en mode dégradé (60). La valeur PPA1 est remplacée par une valeur PPA2 et envoyée au module calcul consigne couple (70) et ensuite au module producteur de couple (80), ce qui va permettre de limiter l'accélération intempestive dans le temps, et de débloquer la pédale sans arrêter le véhicule ( Le fonctionnement de la méthode selon l'invention (illustré sur les
La description qui suit va présenter plus en détail ces différentes fonctions et étapes. Dans la suite de la description le mot « vrai » signifie que la condition est remplie, par opposition au mot « faux » qui signifie que la condition n'est pas remplie. Elle a pour but de déterminer si oui ou non le véhicule est dans une situation d'accélération intempestive, c'est-à-dire si la pédale d'accélérateur est bloquée ou fonctionne normalement. Ce diagnostic est réalisé en plusieurs phases. La phase de vérification des conditions de détection de la situation d'accélération intempestive peut être réalisée lorsque plusieurs conditions sont réunies. Lorsque le véhicule fonctionne et que la pédale de l'accélérateur est enfoncée, il est possible de déterminer le régime du moteur et la vitesse du véhicule. Les conditions de détection sont composées de variables du système comparées à des seuils prédéfinis. Ces variables sont :
Les seuils prédéfinis sont :
Ce cadrage de valeur permet d'identifier le cas dans lequel le système sera autorisé à lancer une phase de détection via le flux AD pour autorisation_détection. Dans le cas d'un groupe moto propulseur non conventionnel (chaine de traction hybride ou électrique), le seuil de régime ne comporte pas d'intérêt dans le mesure ou il n'est pas nécessaire de détecter une corrélation entre régime moteur et vitesse véhicule, puisque le conducteur ne peut généralement pas décorréler ces valeurs en rompant mécaniquement une liaison comme dans le cas d'un embrayage à friction présent entre le producteur de couple (moteur thermique) et le système de transmission (boîte de vitesses). Lorsque les conditions sont remplies, c'est-à-dire lorsque :
alors la méthode est en phase AD. A l'issue de cette phase, la méthode est en mode détection de défaut ( Lorsque les conditions de détection ne sont plus remplies, la méthode passe en mode interdiction de détection. Cela se produit lorsque le véhicule n'est plus dans des conditions considérées comme critiques. Dans ce cas la détection n'a pas lieu. Ces conditions d'interdiction d'une détection sont également composées de variables du système comparées à des seuils. Ces variables sont les même que celles de la phase de condition de détection : le régime de rotation du moteur RM et valeur seuil S4, la vitesse du véhicule VV et valeur seuil S5, et l'enfoncement de la pédale d'accélérateur représentant la volonté du conducteur PPA et valeur seuil S6. Ce cadrage de valeur permet d'identifier le cas dans lequel une interdiction de détection sera générée ID pour interdiction_détection. De la même façon que pour la phase de vérification des conditions de détection, dans le cas d'un GMP non conventionnel, le seuil de régime ne comporte pas d'intérêt. Ainsi, lorsque les conditions d'interdiction de détection sont remplies, c'est-à-dire lorsque :
alors la méthode est en phase ID. A l'issue de cette phase, il n'a pas été détecté de défaut, la méthode n'est pas en mode de détection de défaut ( Lorsque les conditions de détection sont remplies, la méthode passe en phase de confirmation du défaut ou de réhabilitation du défaut. Les phases de confirmation et de réhabilitation sont composées de plusieurs sous fonctions, et en général de six sous-fonctions (illustrées sur la La sous-fonction 1 (1) permet de détecter un événement dit « brut » de détection du défaut, qui correspond à un appui sur la pédale de frein lorsque les conditions de détection AD sont remplies. La sous-fonction 2 (2) représente la confirmation du défaut. Lorsque l'événement brut de détection du défaut apparaît, une temporisation est lancée pour confirmer le défaut, son état passe de « brut » à « confirmé » dès que la temporisation est écoulée. La sous-fonction 3 (3) permet de capturer une valeur de position de la pédale d'accélérateur au moment de l'apparition du défaut dit brut (issu de la sous fonction 1). La sous fonction 4 (4) a pour but lors de l'initialisation du calculateur d'éviter à la sous-fonction 3 de capter une valeur non robuste due à l'initialisation du calculateur. La sous-fonction 5 (5) permet de détecter les conditions de réhabilitation brute d'une détection en cours (ou confirmée) en se basant sur un levé de pied de la pédale de frein partiel ou complet ainsi qu'un mouvement de la pédale d'accélérateur par rapport à sa position captée lors de la détection de l'événement « brut ». La sous-fonction 6 (6) représente la partie réhabilitation du défaut. Lorsque l'événement brut de réhabilitation du défaut apparaît, une temporisation est lancée pour réhabiliter le défaut, son état passe de « brut » à « réhabilité » dès que la temporisation est écoulée. Le fonctionnement de cette phase de confirmation et réhabilitation est le suivant (illustré sur la Lorsque le véhicule est dans les conditions de détection (AD) et que le conducteur appuie suffisamment franchement sur la pédale de frein jusqu'à obtenir l'activation des deux capteurs de frein, les deux conditions AF1 pour appui_frein_1 et AF2 pour appui_frein_2, sont remplies (ou vrai) et la branche confirmation est activée via un passage à vrai du flux A durant un pas de calcul. Le flux A transmet l'état de la détection à une bascule (21) RS (pour Reset Set selon la terminologie anglo-saxonne). La détection est alors positionnée en état « détection en cours » via la bascule RS. Cet état est matérialisé par l'état vrai du flux B correspondant à la sortie Q de la bascule. L'état vrai du flux B engendre l'activation d'une temporisation. Lorsque cette temporisation atteint un seuil T1 les flux « appel_enregistreur_défaut » et « présence_défaut » sont positionnés à vrai afin d'enregistrer le défaut à l'état « confirmé ». Cette confirmation de défaut intervient uniquement si le flux J ne passe pas à vrai (détaillé plus loin dans la description). Lorsque le système est en cours de confirmation d'un défaut (flux B est vrai et valeur courant temporisation < T1) la détection peut être interrompue si le client effectue différentes actions :
Dans ces 3 cas de figure la bascule est positionnée à Q égale à 0 via le flux J, le flux B passe alors à faux. Dans le cas d'un défaut confirmé (B est égal à vrai et temporisation confirmation est supérieure ou égale à T1), un seul scenario permet de réhabiliter la défaillance. Le système doit détecter un mouvement de la pédale d'accélérateur par rapport à la position figée lors de l'activation de la détection (voir 2ieme action du cas d'interruption d'une confirmation de défaut). Cette information est reçue par le flux F à l'état vrai et le système doit percevoir un relâchement de la pédale de frein, c'est-à-dire qu'un des deux capteurs envoie la valeur faux. Dans ce cas le flux H est vrai et active la temporisation de réhabilitation (61). Lorsque la temporisation est supérieure ou égale à T2 alors « appel_enregistreur_défaut »(AED) est positionné à vrai durant un pas de calcul avec « présence_défaut » égale à faux. Dans ce cas l'enregistreur de défaut enregistre le défaut avec son nouvel état « réhabilité » Lors de l'initialisation du calculateur, les variables d'entrée du diagnostic peuvent parfois être incohérentes en particulier la variable « position_pédale_acquise ». Si un défaut a été confirmé dans un roulage précédent sans être réhabilité, il est important de ne pas subir une réhabilitation due à l'initialisation du calculateur via des données d'entrée incohérentes. Pour ce faire lors de l'initialisation une temporisation est lancée. Lorsque cette temporisation est inférieure à T0 le flux C donc D est à vrai. Dans ce cas le calcul de la différence entre « position_pédale_acquise » et « dP1 » est maintenu à 0. Cette inhibition de la détection de mouvement de la pédale permet de s'affranchir d'une fausse détection due à l'initialisation su système embarqué. Les variables utilisées dans la présente invention peuvent par exemple avoir pour valeur :
Lorsque le défaut est confirmé, la méthode passe en mode enregistrement de défaut. La fonction enregistrement des défauts a pour but de mémoriser les résultats des diagnostics. Le diagnostic appelle l'enregistreur de défauts à l'aide d'un flux « appel_enregistreur_défaut » (vrai / faux) et positionne le résultat de détection sur le flux « présence_défaut » (vrai / faux). Lorsque le diagnostic appelle l'enregistreur défaut avec le flux « présence_défaut » égale à vrai alors l'enregistreur défaut positionne en mémoire le statut du diagnostic concerné à la valeur « défaut_confirmé ». A l'inverse, lorsque le diagnostic appelle l'enregistreur défaut avec le flux « présence_defaut » égale à faux alors l'enregistreur défaut positionne en mémoire le statut du diagnostic concerné à la valeur « defaut_réhabilité ». Lorsque le défaut passe de l'état « défaut_réhabilité » à l'état « défaut_confirmé » alors l'enregistreur de défaut positionne le flux « demande_reconfiguration » à vrai. C'est à dire qu'il est nécessaire de reconfigurer la valeur de PPA1 pour arrêter la situation à risque. A l'inverse, lorsque le défaut passe d'état « défaut_confirmé » à « défaut_réhabilité » l'enregistreur de défaut positionne le flux « demande_reconfiguration » à faux. Dans ce cas, puisque le défaut a été corrigé, il n'est pas nécessaire de reconfigurer. En cas de coupure d'alimentation du calculateur, le statut du défaut est conservé en mémoire non volatile. Lorsqu'à l'issue de l'étape précédente, la demande de reconfiguration est vrai, c'est à dire qu'il faut reconfigurer la valeur de PPA1, la méthode passe en mode fonction dégradée. La fonction mode dégradé a pour but de remplacer la valeur de pédale acquise par le système « position_pedale_acquise_1 » PPA1, par une valeur de remplacement PPA2. Lorsque l'information « demande_reconfiguration » (DR) a pour valeur vrai, alors « position_pedale_acquise_2 » PPA2 est égale à la valeur « position_pédale_défaut » (PPD) qui est une valeur permettant d'arrêter la situation à risque. Lorsque « demande_reconfiguration » est égale à faux alors « position_pedale_acquise_2 » est égale à la valeur « position_pedale_acquise_1 ». Cela permet ainsi de corriger le défaut confirmé indiquant que la pédale est bloquée. En remplaçant la valeur PPA1 par PPA2, le véhicule fonctionne comme si la pédale n'était pas bloquée. Il est ainsi possible pendant ce temps de débloquer la pédale pour revenir en mode de fonctionnement normal, c'est-à-dire en mode de détection interdit. Il doit être évident pour l'homme du métier que la présente invention ne doit pas être limitée aux détails donnés ci-dessus et permet des modes de réalisation sous de nombreuses autres formes spécifiques sans s'éloigner du domaine d'application de l'invention. Par conséquent, les présents modes de réalisation doivent être considérés à titre d'illustration, et peuvent être modifiés sans toutefois sortir de la portée définie par les revendications. |