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Système d'observation terrestre par satellites

阅读:768发布:2020-10-16

专利汇可以提供Système d'observation terrestre par satellites专利检索,专利查询,专利分析的服务。并且Système d'observation terrestre par satellites plus particulièrement destiné à l'observation en vue de la prévision météorologique.
Il comporte au moins deux satellites, structurellement identiques, dont l'un (1) est en orbite géostationnaire à environ 36 000 km, tandis que l'autre (10) est en orbite géosynchrone c'est-à-dire sur une orbite circulaire de préférence anti-équatoriale de rayon de 30 000 km environ mais dont le plan optimal est le symétrique du plan de l'équateur par rapport au plan de l'écliptique, ce qui conduit à une orbite d'inclinaison i = 23,4 = x 2 = 46.8° et une ascension droite du noeud ascendant Ω = 0°.
L'invention peut être utilisée pour assurer une couverture d'observation de la partie terrestre correspondant en totalité à la région équatoriale ainsi qu'aux régions polaires ou encore à la région équatoriale vue en exploration stéreographique.,下面是Système d'observation terrestre par satellites专利的具体信息内容。

1. Système d'observation terrestre par satellites, caractérisé en ce qu'il comporte : au moins un premier satellite (1) stabilise sur une orbite géostationnaire (Ost) et portant des moyens d'observation terrestre (la) ainsi que des moyens de mesure d'attitude et des moyens de liaison (1b,15) directs ou indirects avec la terre ; au moins un second satellite (10) stabilisé sur une seule orbite géosynchrone (Osy) sensiblement anti-équatoriale et portant des moyens d'observation terrestres (10a) ainsi que des moyens de mesure d'attitude et des moyens de liaison (10b, 15) directs ou indirects avec la terre ; et des moyens de traitement (16,17) de ces informations ; l'agencement de ces satellites et de ces moyens étant tel qu'il est possible d'obtenir au sol, et après traitement convenable, une représentation de la partie terrestre observée.2. Système d'observation terrestre par satellites selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'orbite géosynchrone (Osy) est exactement anti-équtoriale.3. Système d'observation terrestre par satellites selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'orbite géosynchrone (Osy) est subanti-équatoriale.4. Système d'observation terrestre par satellites selon l'une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que les moyens de traitement (16,17) des informations sont situés au sol.5. Système d'observation terrestre par satellites selon l'une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que les moyens de traitement (16,17) des informations sont situés au moins en partie sur l'un des satellites.6. Système d'observation terrestre par satellites seles l'une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que les moyvens de traitement (16,17) des informations sont situés au moins en partie sur un satellite intermédiaire.7. Système d'observation terrestre par satellites selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que la représentation de la partie terrestre correspond en totalité à la région équatoriale ainsi qu'aux régions polaires.8. Système d'observation terrestre par satellites selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que la représentation de la partie terrestre correspond à la région équatoriale vue en exploration stéréographique.9. Système d'observation terrestre par satellites selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé en ce qu'il comporte au moins deux satellites géosynchrones situés sur la même orbite ou sur des orbites suffisamment voisines et convenablement décalées en anomalie pour pouvoir observer simultanément et sous des angles peu différents, une même portion de la terre de façon à pouvoir en effectuer une reproduction stéréographique.
说明书全文

L'invention concerne les satellites terrestres et plus particulièrement les satellites d'observation destinés par exemple à la prévision météorologique. Les satellites terrestres utilisés en particulier pour une observation météorologique globale sont positionnés sur des orbites circulaires situées dans le plan de l'équateur et à une altitude telle que la période de révolution soit égale à la période de rotation de la terre. Dans ces conditions, le satellite occupe une position fixe par rapport à la terre de latitude égale à zéro, de longitude pouvant être choisie quelconque et d'altitude voisine de trente six mille kilomètres, l'orbite correspondante est dite géostationnaire. A partir de ce satellite, la surface visible de la terre est une calotte sphérique définie par le cône dont le sommet est au centre de la terre, l'axe dirigé vers le satellite et la demi-ouverture est de 81°. Toutefois, en raison de l'inclinaison des rayons de visée en bordure de la calotte sphérique, l'observation s'effectue habituellement à l'intérieur d'un cône dont la demi-ouverture est d'environ 60°. En plaçant un nombre approprié de satellites géostationnaires à des longitudes convenablement réparties, il est possible d'obtenir une image de l'ensemble de la terre, sauf des zones situées aux latitudes supérieures à 81° et dans des conditions d'observation difficiles dans les zones situées entre 60° et 81 de latitude.

Les satellites du réseau G.A.R.P. (Global Atmos- pheric Research Program) placé sous l'égide de l'Organisation Mondiale Météorologique sont bien représentatifs d'un tel mode d'observation. Il doit être mentionné à cet égard que la plupart de ces satellites sont stabilisés gyroscopiquement ; c'est le cas de METEOSAT pour l'Europe}de SMS et GOES pour,les Etats-Unis d'Amérique et de GMS pour le Japon. Tous ces satellites sont munis de dispositifs à balayage séquentiel permettant une exploration ligne à ligne de la surface à observer, grâce à un miroir orientable.

L'impossibilité d'observer les régions polaires dont il a été fait mention précédemment constitue un inconvénient préjudiciable en raison du rôle économique important de ces régions, notamment du point de vue des transports aériens et maritimes, de la pêche hauturière et de l'influence particulièrement importante des masses d'air froid se déplaçant des régions polaires vers les régions tempérées.

Une solution consiste à observer les zones polaires au moyen de satellites dits à défilement; de tels réseaux ont été réalisés avec des satellites en orbites basses, d'altitudes situées entre 500 et 1500 kilomètres, d'inclinaison voisine de 90°. Ces satellites tels que ERTS, LANDSAT, ITOS, TIROSjdont le but n'est pas précisément l'observation météorologique mais plus généralement l'observation terrestre;répondent à cet objectif.

Toutefois, ces satellites ne peuvent observer que d'étroites bandes de terre à chaque révolution et l'image qu'ils fournissent est un long ruban dont la largeur est de quelques centaines de kilomètres au maximum. Il faut à l'aide d'un traitement mathématique approprié reconstituer une image globale dont les différentes parties correspondent à des dates de prise de vue différentes, ce qui est un inconvénient rédhibitoire en matière de météorologie.

Pour réaliser une observation globale de la terre suivant le principe de la solution précitée, il faut utiliser deux types de satellites, l'un géostationnaire et l'autre à défilement. Les inconvénients résultant de cette solution sont nombreux, entre autres :

  • - les distances d'observation ; 36 000 km pour l'un et environ 1000 km pour l'autre nécessitent des dispositifs de prise de vue différents.
  • - les modes d'observation de l'axe de visée, lequel, dans un cas, doit rester fixe par rapport à la terre, c'est-à-dire faire un tour en 24 heures, et, dans l'autre cas, doit rester asservi à la verticale locale donc faire entre 10 et 20 tours par jour, ce qui nécessite des systèmes de contrôle d'attitude différents.
  • - la direction du soleil/qui avec un satellite géostationnaire oscille annuellement d'environ +23°4 autour du plan équatorial du véhicule alors qu'un satellite à défilement fait à chaque orbite une révolution de 360° par rapport à la direction du rayonnement solaire, nécessite donc des systèmes de captage d'énergie solaire et des systèmes de régulation thermique totalement différents.

La présente invention concerne un système d'observation terrestre par satellites qui non seulement ne présente aucun des inconvénients précités mais, encore, autorise éventuellement une exploration de type stéréographique, comme cela sera exposé en détail plus loin.

Un tel système conforme à l'invention comporte au moins deux satellites, structurellement identiques, mais dont, l'un est en orbite géostationnaire à environ 36000km, tandis que l'autre est en orbite géosynchrone, c'est-à-dire sur une orbite circulaire de rayon de 36 000 km environ mais dont le plan optimal est le symétrique du plan de l'équateur par rapport au plan de l'écliptique, ce qui conduit à une orbite d'inclinaison i = 23,4° x 2 = 46,8° et à une ascension droite du noeud ascendant Ω = 0°. Une telle orbite est alors dénommée "anti-équatoriale".

Suivant d'autres caractéristiques de l'invention :

  • - les images retransmises au sol permettent, après traitement convenable, d'observer environ 42 % de la surface terrestre pour le satellite géostationnaire et au moins une fois par jour environ 61 % pour le satellite géosynchrone en orbite "anti-équatoriale" ;
  • - l'utilisation simultanée de trois ou quatre satellites géostationnaires convenablement décalés en longitude et d'un satellite géosynchrone en orbite anti-équatoriale suffit à obtenir-une image de la quasi-totalité de la terre, au moins par 24 heures ;
  • - de même, l'utilisation simultanée de seulement trois satellites en orbites géosynchrones "anti-équatoriale" décalés de 120° d'anomalie permet d'obtenir pratiquement en permanence des images de 61 % du globe terrestre ;
  • - dans une autre configuration, l'utilisation de deux satellites, l'un géostationnaire, l'autre géosynchrone, et visant un point commun de la surface terrestre permet, moyennant un traitement convenable des images,d'obtenir une exploration stéréographique particulièrement utile pour l'appréciation de l'épaisseur de couches nuageuses.

L'invention sera de toute manière bien comprise dans la suite du présent exposé qui va donc décrire, à titre d'exemple et à l'appui des dessins annexés, les différentes possibilités résultant de la mise en oeuvre de l'invention.

Sur ces dessins :

  • la figure 1 est une vue schématique représentant un satellite géostationnaire positionné au solstice d'hiver, la situation au solstice d'été étant bien entendu symétrique ;
  • la figure 2 est une vue schématique représentant les régions du planisphère, vues par un réseau de quatre satellites géostationnaires ;
  • la figure 3 est une vue schématique représentant la trajectoire d'un satellite géosynchrone en configuration sensiblement anti-équatoriale ;
  • la figure 4 est une vue schématique représentant la trace terrestre de la trajectoire d'un satellite géosynchrone anti-équatoriale ;
  • la figure 5 est une vue schématique représentant la zone de visibilité d'un satellite géostationnaire unique, positionné selon L = 0 et 1 = O ;
  • la figure 6 est une vue schématique représentant la région du planisphère vue par l'observation conjointe d'un satellite géosynchrone et d'un satellite géostationnaire ;
  • la figure 7 est une vue schématique représentant en perspective les moyens utilisés pour la mise en oeuvre de l'invention conjointement en exploration équatoriale et polaire ; et
  • la figure 8 est une vue schématique représentant en perspective les moyens utilisés pour la mise en oeuvre l'invention en exploration équatoriale stéréographique.

La figure 1 représente un satellite 1 en position géostationnaire à environ 36 OOG km, dans le plan de l'équateur à 12 heures locales au solstice d'hiver, l'angle i du plan de l'équateur avec le plan de l'écliptique est de 23,4° environ. On sait que pour ce satellite la surface visible de la terre est une calotte sphérique déjà définie, dont le demi- angle d'ouverture est de 81°, d'où les points limites de visi- bilité tv' et tv", indiqué sur cette figure 1. On sait également que les points de visibilité pratique doivent être rapprochés de l'équateur en t ' et t " pour éviter les observations trop rasantes d'unintéret pratique très réduit, le demi- angle d'ouverture correspondant étant d'environ 60°.

La figure 2 montre sur un planisphère les zones vues par quatre satellites géostationnaires repérés 1, 2, 3 et 4, équirépartis en longitude. La visibilité est bonne pour les régions équatoriales et tropicales, partielle pour les zones tempérées et nulle pour les zones polaires.

Il doit être précisé que l'observation terrestre s'effectue pratiquement par balayage séquentiel ligne par ligne , telle que 11...1n, et que ceci est réalisé à bord de chaque satellite à partir de la rotation de celui-ci ou bien par déplacement du dispositif optique, lorsque le satellite est stabilisé selon trois axes.

Conformément à la mise en oeuvre principale de l'invention, un satellite géosynchrone repéré 10 selon la figure 3 est mis en place sur une orbite dont le plan est sensiblement symétrique du plan de l'équateur par rapport au plan de l'écliptique dans une configuration anti-équatoriale, ce qui conduit à une trajectoire en 8 semblable à celle dont la trace repérée 0 est représentée sur la figure 4. Des moyens de prise de vue issus à la fois du satellite géostationnaire 1 et du satellite géosynchrone 10 qui comporte un système de balayage ligne semblable à celui dudit satellite géostation- naire permettent, après transmission au sol, l'examen d'une zone terrestre beaucoup plus importante que celle pouvant être observée par le satellite géostationnaire seul, disposé à la même longitude de référence, c'est-à-dire en 1.

En effet, si l'on suppose selon la figure 3 que le satellite géosynchrone 10 dispose de ses propres moyens d'exploration de la surface terrestre et de ses moyens propres de transmission au sol de ses informations, identiques en cela à ce que comporte le satellite géostationnaire repéré 1, de la sorte, conformément aux lois de la mécanique, ce satellite 10 va osciller en 24 heures de part et d'autre du plan équatorial et sa trace sur la terre sera représentée par la courbe repérée Osy de la figure 4. Les sommets étant situés à 46,8° de latitude nord et sud. De la sorte et en supposant les satellites 1 et 10 positionnés à O heure en O (longitude = O, latitude = O), on peut déduire les heures de positionnement du satellite 10 dans la journée, le satellite 1 restant toujours au même point 0.

Il est toujours possible d'établir exactement les équations de cette trace qui sont :

  • Longitude L = Arc sinus (sin i sin θ)
  • Latitude 1 = Arc tangente (cos i tg e) - θ
  • où i = inclinaison et & = 15,04 t, t = temps en heure.
  • Ces relations sont valables pour O<θ<90°.
  • Pour 90°< θ<180° il faut changer 1 en -1.
  • Pour 180°<θ<36° il faut changer L en -L.
  • Comme il a été indiqué précédemment à l'appui de

la figure 2, la zone pratique de visibilité tp d'un satellite géostationnaire peut généralement être considérée comme inférieure à 60°, tandis que, selon la figure 5, la zone située entre t - 60° et t - 81° reste une zone difficilement observable dépendant en tout état de cause des moyens mis en oeuvre pour effectuer cette observation.

Par contre la zone limite vue par un satellite géosynchrone positionné comme il vient d'être indiqué et qui est représentée par le tracé repéré tl sur la figure 6, peut permettre l'observation quasi-totale de la terre au moins chaque période de 24 heures en association avec des satellites géostationnaires et cette observation peut être transmise au sol à l'aide des moyens de transmission usuels en ce domaine.

Dans une autre configuration et pour une zone plus réduite, l'association d'un satellite géostationnaire et d'un satellite géosynchrone peut permettre l'exploration en stéréographie d'une partie terrestre et ceci peut être mis à profit pour apprécier l'épaisseur de couches nuageuses, par exemple.

La mise en oeuvre pratique de l'invention ressort de l'examen de la figure 7 et de la figure 8.

Dans la première application selon la figure 7 et en premier lieu, il est connu que la position précise d'un satellite sur une orbite à altitude constante est connue au sol en permanence et que la direction de l'axe moyen de visée est calculée au sol à partir des informations d'attitude que le satellite envoie en permanence au sol.

Ces informations permettent toujours de déterminer la position angulaire d'un trièdre lié au Satellite par rapport à un trièdre lié à la terre.

La loi de balayage, c'est-à-dire le positionnement du faisceau explorateur en fonction du temps est connue car la loi de déplacement du miroir du satellite est également connue.

L'exploration de la surface terrestre que peuvent fournir conformément à l'invention les deux satellites repérés 1 et 10 sur la figure 7 nécessite,d'une part, des moyens d'exploration la et 10a présents normalement sur les satellites mêmes et, d'autre part, des moyens de transmission à bord des mêmes satellites et qui peuvent être fournis par des antennes 1b et 10b dont l'orientation peut être obtenue non exclusivement mais avantageusement par application de la demande de brevet français de la Demanderesse déposée le 13 mars 1979 cous le N° 79 06 343.

Les moyens d'exploration par balayage la ou 10a peuvent mettre en oeuvre soit un premier système résultant de la rotation du satellite utilisé pour sa stabilisation propre, soit un deuxième système résultant d'un dispositif séquentiel ligne par ligne lorsque le satellite est stabilisé selon trois axes.

Les informations issues du balayage lignes sont reçues au sol à travers une antenne 15 et les signaux sont traités par des installations au sol comportant essentiellement une chaîne de réception et une chaîne de traitement schématisées en 16 et 17 sur cette figure 7.

Il doit être noté que la chaîne de transmission présentement indiquée peut être de nature différente directe ou indirecte en ce sens que les deux satellites peuvent être reliés eux-mêmes par voie hertzienne et en ce cas une seule antenne est utilisée pour les liaisons sol de même que les deux satellites peuvent être reliés à un troisième satellite de liaison sol pouvant comporter de plus les dispositifs de traitement des données.

Si l'on considère selon la figure 7 les deux satellites 1 et 10 en orbite respective selon Ost et Osy à l'instant O heure où leurs coordonnées connues projetées sur la terre sont indiquées par longitude 1 = O et latitude L = 0, leur balayage lignes va les conduire à explorer toute la zone tp et tl de la figure 6 et la transmission des données au sol permet, après correction éventuelle des déformations de lignage résultant notamment de la translation en latitude du satellite 10, de reconstituer une image convenable de toute cette région.

Selon la figure 8, le processus d'exploration stéréographique que permet l'exploration conjointe des balayages lignes synchrones des deux satellites 1 et 10, ressort de la mise en oeuvre des systèmes de balayage 1c et 10c et des antennes 1d et 10d transmettant à l'antenne au sol 18 les informations, lesquelles sont traitées par les chaînes de réception et de traitement schématisées en 19 et 20 de telle sorte qu'il soit possible de faire des observations de l'épaisseur de la couche atmosphérique, ce qui nécessitait antérieurement des images beaucoup plus complexes et délicates à mettre en oeuvre.

Il doit toutefois être noté que ce procédé d'exploration stéréographique est, pour des raisons évidentes d'éloignement de l'équateur du satellite géosynchrone 10, limité angulairement à une valeur P de l'ordre de 30° de part et d'autre dudit équateur.

L'invention vise l'utilisation conjointe d'au moins deux satellites stabilisés dont l'un est en orbite géostationnaire et l'autre en orbite géosynchrone ; ladite orbite géosynchrone pouvant être avantageusement, mais non exclusivement anti-équatoriale, c'est-à-dire dans une configuration selon laquelle son plan est le symétrique du plan de l'équateur par rapport au plan de l'écliptique, des moyens de balayage lignes étant prévus sur lesdits satellites pour fournir au sol, après traitement convenable des images soit des régions polaires, soit de type stéréographique de la région équatoriale.

Il est bien évident qu'il peut être choisi une orbite différente de celle dénommée anti-équatoriale, c'est-à-dire une orbite subanti-équatoriale dans la mesure où l'inclinaison choisie est inférieure à celle retenue pour ladite orbite anti-équatoriale.

De même, l'invention nécessite la mise en oeuvre d'au moins deux satellites l'un de type géostationnaire, l'autre de type géosynchrone, mais il est non moins évident que ces deux dits satellites pourraient être mis en oeuvre conjointement avec un nombre quelconque d'autres satellites de type géosynchrone et/ou de type géostationnaire dans le cas, notamment,où une couverture d'observation totale de la surface terrestre serait nécessaire.

Il est bien entendu, d'ailleurs, que la présente invention n'a été décrite et représentée qu'à titre d'exemple préférentiel et qu'on pourra apporter des équivalences dans ses éléments constitutifs sans pour autant sortir du cadre de ladite invention, lequel est défini dans les revendications annexées.

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