CONTACTEUR A MICRO-SOLÉNOÏDE PERFECTIONNE POUR DÉMARREUR DE VÉHICULE AUTOMOBILE ET DÉMARREUR CORRESPONDANT

申请号 EP15709285.9 申请日 2015-02-19 公开(公告)号 EP3111462A1 公开(公告)日 2017-01-04
申请人 Valeo Equipements Electriques Moteur; 发明人 METRAL, Jean Sébastien; GUESNEY, Tristan; SANCHEZ, José;
摘要 The invention essentially relates to a contact-breaker (1) for a heat engine starter, comprising: - a cap (30); and - a micro-solenoid (41) that comprises a coil (42) which is stationary relative to the cap (30), and a core (43) which is translationally movable relative to the cap (30) between a starting position and an end position. Said contact-breaker (1) is characterized in that same comprises a means (51) for retaining the core (43) of the micro-solenoid (41) in the end position.
权利要求 REVENDICATIONS
1 . Contacteur (1 ) pour démarreur de moteur thermique comportant:
- un capot (30), et
- un micro-solénoïde (41 ) comportant une bobine (42) fixe par rapport audit capot (30) et un noyau (43) mobile en translation par rapport audit capot (30) entre une position initiale et une position finale,
caractérisé en ce qu'il comporte un moyen de retenue (51 , 52) du noyau (43) dudit micro-solénoïde (41 ) en position finale ou en position initiale.
2. Contacteur selon la revendication 1 , caractérisé en ce que ledit moyen de retenue comporte un aimant (51 ) positionné au fond dudit capot (30).
3. Contacteur selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que ledit moyen de retenue comporte un support magnétique (52) en forme de U positionné au fond dudit capot (30).
4. Contacteur selon la revendication 3, caractérisé en ce qu'il est configuré pour établir une boucle de flux magnétique passant par ledit support magnétique (52) lorsque le noyau (43) dudit micro-solénoïde (41 ) se trouve en position finale.
5. Contacteur selon la revendication 3 ou 4, caractérisé en ce qu'il comporte une résistance (59) montée entre une extrémité de la bobine (42) dudit micro-solénoïde (41 ) et une extrémité d'une bobine d'appel (81 ).
6. Contacteur selon l'une quelconque des revendications 1 à 5, caractérisé en ce qu'il comporte un ressort de rappel (46) positionné entre un fond dudit capot (30) et une extrémité du noyau (43) dudit micro-solénoïde (41 ).
7. Contacteur selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé en ce qu'une plaque de contact (21 ) est attachée au noyau (43) dudit micro-solénoïde (41 ) de telle manière que lors du déplacement de ladite plaque de contact (21 ) d'une position active à une position désactive, ladite plaque de contact (21 ) entraîne le noyau (43) dudit micro-solénoïde (41 ) vers sa position initiale.
8. Contacteur selon la revendication 7, caractérisé en ce qu'il est configuré en sorte qu'il existe un jeu entre une tête (432) du noyau (43) dudit micro-solénoïde (41 ) et une face de ladite plaque de contact (21 ) lorsque le noyau (43) dudit micro-solénoïde (41 ) est en position finale.
9. Contacteur selon la revendication 7 ou 8, caractérisé en ce qu'il est configuré en sorte qu'il existe un jeu entre un épaulement intermédiaire (433) du noyau (43) du micro-solénoïde (41 ) et une face de ladite plaque de contact (21 ) tournée vers ledit épaulement intermédiaire (433) lorsque le noyau (43) dudit micro-solénoïde (41 ) est en position finale.
10. Contacteur selon l'une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisé en ce qu'il comporte une pièce intermédiaire (61 ) montée entre un ressort de rappel (46) et une tige de commande (15) portant une plaque de contact (21 ), et en ce que ladite pièce intermédiaire (61 ) est configurée pour remonter le noyau (43) dudit micro-solénoïde (41 ) de la position finale à la position initiale.
1 1 . Contacteur selon la revendication 10, caractérisé en ce qu'il est configuré de telle façon que, dans une position de pré-engagement de ladite plaque de contact (21 ), ladite pièce intermédiaire (61 ) se trouve dans une position finale éloignée du noyau (43) dudit micro-solénoïde (41 ) en sorte que la bobine (42) maintient seule le noyau (43) du micro-solénoïde (41 ) en position initiale.
12. Contacteur selon la revendication 10 ou 1 1 , caractérisé en ce qu'il est configuré de telle façon que lorsque ladite plaque de contact (21 ) est en position active, le noyau (43) dudit micro-solénoïde (41 ) est libre de se déplacer entre ladite plaque de contact (21 ) et un fond dudit capot (30).
13. Contacteur selon l'une quelconque des revendications 10 à 12, caractérisé en ce qu'il est configuré de telle façon qu'en position désactive de ladite plaque de contact (21 ), ladite pièce intermédiaire (61 ) en appui contre le noyau (43) dudit micro-solénoïde (41 ) assure un maintien dudit noyau (43) en position finale par l'action d'un moyen élastique (46).
14. Démarreur de moteur thermique comportant un contacteur (1 ) défini selon l'une quelconque des revendications précédentes.
说明书全文

CONTACTEUR A MICRO-SOLENOÏDE PERFECTIONNE POUR DEMARREUR DE VEHICULE AUTOMOBILE ET DEMARREUR CORRESPONDANT

La présente invention porte sur un contacteur à micro-solénoïde perfectionné de démarreur de véhicule automobile, ainsi que sur le démarreur correspondant. L'invention trouve une application particulièrement avantageuse dans le domaine des contacteurs électromagnétiques pour circuit de puissance, notamment pour un moteur électrique d'un démarreur de moteur thermique, en particulier de véhicule automobile. L'invention est en particulier utilisée avec les démarreurs de systèmes dits "stop and start" permettant l'arrêt et le redémarrage du moteur thermique du véhicule en fonction notamment des conditions de circulation.

Selon une conception connue, un contacteur électromagnétique pour un circuit de puissance comporte un contact mobile monté sur une tige de commande. Le contact mobile est destiné à venir en contact avec des bornes de puissance agencées dans une chambre de contacts. Ce contacteur est par exemple utilisé pour commander l'actionnement d'un moteur électrique d'un démarreur de moteur à combustion interne.

Plus précisément, un contacteur électromagnétique 1 montré sur les figures 1 a à 1 c est doté d'un noyau mobile 3, d'un noyau fixe 4 et d'un carter 6 métallique, ou cuve, dans lequel sont agencées une bobine d'appel 81 et une bobine de maintien 82 montées sur un support 9 annulaire isolant. Ce support 9 et l'extrémité avant du carter 6 sont dotés centralement d'un passage pour le noyau 3 mobile. Une extrémité du noyau mobile 3 est reliée à un levier pivotant (non représenté) qui agit par exemple sur le lanceur du démarreur comme décrit dans le document FR2795884. On voit ainsi le ressort dents contre dents 10 apte à être comprimé en cas de non pénétration directe du pignon du lanceur (non représenté) dans la couronne de démarrage reliée au moteur thermique et la tige de liaison 12 liée au levier pivotant. L'autre extrémité du noyau mobile 3 est destinée à agir sur une extrémité avant d'une tige de commande 15 par poussée à travers un trou central 16 du noyau fixe 4 dans lequel la partie avant de la tige 15 est montée coulissante. La tige de commande 15 porte une plaque de contact 21 . La plaque de contact 21 s'étend transversalement par rapport à la tige 15 pour coopérer avec deux bornes 26a, 26b électriques d'un circuit électrique de puissance et établir entre elles un contact électrique. L'une des bornes 26a est destinée à être reliée à une borne positive de la batterie, l'autre borne 26b étant destinée à être reliée par l'intermédiaire d'un câble à des balais du moteur électrique de polarité positive.

Les deux bornes 26a, 26b sont fixes et portées par un capot 30 en matière électriquement isolante assurant la fermeture de l'arrière de la cuve 6. La fixation du capot 30 est réalisée par rabattement de matière de l'extrémité libre de la cuve 6 sur le capot 30.

La tige 15 porte un ressort 32 axial d'écrasement agencé entre un épaulement 33 de la tige 15 et une face du contact mobile 21 . Le contacteur 1 comporte également un ressort 38 de rappel agencé entre le capot 30 et une butée de la tige de commande 15. Par ailleurs, un micro-solénoïde 41 est intégré à une des bornes 26a. Ce micro-solénoïde 41 comporte une bobine 42 fixe par rapport au capot 30 et un noyau 43 mobile en translation par rapport au capot 30. Ce noyau 43 est mobile entre une position initiale dans laquelle une extrémité du noyau 43 fait saillie par rapport à la borne 26a de manière à empêcher un contact électrique entre la plaque 21 et la borne 26a; et une position finale dans laquelle le noyau 43 autorise un contact électrique entre la plaque 21 et la borne 26a. Un ressort de rappel 46 est en appui d'une part contre le fond du capot 30 et d'autre part contre une tête d'extrémité du noyau 43 située en vis-à-vis du capot 30. Ce ressort 46 assure le retour du noyau 43 en position initiale suite à une coupure de l'alimentation du micro-solénoïde 41 . On pourra se référer par exemple au document FR2923869 ou FR2959891 pour plus de détails sur un tel dispositif. Le noyau mobile 3 est initialement dans une position dite de repos, dans laquelle le noyau 3 est éloigné du noyau 4 fixe. La plaque 21 se trouve alors dans une position désactive dans laquelle la plaque 21 est éloignée des bornes de contact 26a, 26b. Le micro-solénoïde 41 n'est alors pas alimenté et son noyau 43 est maintenu en position initiale par le ressort de rappel 46.

Suite à une demande du calculateur moteur, les bobines 81 et 82 sont activées électriquement et créent alors un champ magnétique. Ce champ magnétique permet le déplacement axial du noyau mobile 3 en direction du noyau fixe 4. L'extrémité arrière du noyau mobile 3 entre en contact avec l'extrémité avant de la tige de commande 15 puis déplace axialement la tige 15 à travers le trou 16 en direction de l'arrière du contacteur 1 jusqu'à ce que ledit noyau mobile 3 vienne en appui contre le noyau fixe 4 dans une position dite aimantée.

Le déplacement de la tige 15 a pour effet de déplacer la plaque 21 dans une position dite de pré-engagement dans laquelle la plaque 21 est en contact avec la borne 26b mais est maintenue à distance de l'autre borne 26a. A cet effet, le micro-solénoïde 41 a été préalablement alimenté, en sorte que son noyau 43 peut résister à l'effort appliqué par la plaque 21 et être donc maintenu en position initiale. Le ressort d'écrasement 32 est alors comprimé. Lorsqu'une demande de démarrage est sollicitée par le calculateur moteur, l'alimentation du micro-solénoïde 41 est coupée, en sorte que le noyau 43 qui ne résiste plus à l'effort appliqué par la plaque 21 peut alors passer en position finale représentée sur la figure 1 c. La plaque de contact 21 établit alors un contact avec les deux bornes 26a, 26b, ce qui permet d'alimenter le moteur électrique du démarreur.

Le problème réside dans le fait que le ressort d'écrasement 32 a emmagasiné une énergie mécanique telle que lorsque le courant traversant la bobine 42 du micro-solénoïde 41 est coupé afin de faire passer la plaque de contact 21 de la position de pré-engagement à la position active, le noyau 43 va avoir tendance à osciller entre sa position finale et sa position initiale, ce qui va générer des chocs avec la plaque 21 et donc un risque de réouverture du contact électrique entre la plaque 21 et les bornes du contacteur 26a, 26b. La présente invention vise à remédier efficacement à cet inconvénient en proposant un contacteur pour démarreur de moteur thermique comportant:

- un capot, et

- un micro-solénoïde comportant une bobine fixe par rapport audit capot et un noyau mobile en translation par rapport audit capot entre une position initiale et une position finale,

caractérisé en ce qu'il comporte un moyen de retenue du noyau dudit micro-solénoïde en position finale ou en position initiale.

L'invention permet ainsi de retenir le noyau du micro solénoïde lorsque le noyau est en position finale, ce qui réduit l'effet d'oscillation observé suite à la libération de l'énergie emmagasinée par le ressort d'écrasement lorsque la plaque de contact passe de la position de pré-engagement à la position active. En outre, dans les modes de réalisations dans lequel en position initiale, c'est-à-dire lorsque la bobine du micro-solénoïde est désactivée, le noyau est retenu par l'aimant, le noyau empêche la plaque de contact d'être en contact avec les bornes en position finale. Dans ce mode de réalisation lors de l'alimentation de la bobine le noyau est déplacé de la position initiale vers la position finale.

Selon une réalisation, ledit moyen de retenue comporte un aimant positionné au fond dudit capot.

Selon une réalisation, ledit moyen de retenue comporte un support magnétique en forme de U positionné au fond dudit capot. Selon une réalisation, ledit contacteur est configuré pour établir une boucle de flux magnétique passant par ledit support magnétique lorsque le noyau dudit micro-solénoïde se trouve en position finale. On crée ainsi une force magnétique de maintien du noyau solénoïde en position finale lorsque la plaque est en position active. Selon une réalisation, ledit contacteur comporte une résistance montée entre une extrémité de la bobine dudit micro-solénoïde et une extrémité d'une bobine d'appel. Cela permet qu'un courant traverse la bobine du solénoïde alors que son interrupteur de commande est ouvert afin de générer une force magnétique suffisante pour le maintien du noyau du solénoïde en position finale. Selon une réalisation, ledit contacteur comporte un ressort de rappel positionné entre un fond dudit capot et une extrémité du noyau dudit micro-solénoïde.

Selon une réalisation, une plaque de contact est attachée au noyau dudit micro-solénoïde de telle manière que lors du déplacement de ladite plaque de contact d'une position active à une position désactive, ladite plaque de contact entraîne le noyau dudit micro-solénoïde vers sa position initiale.

Selon une réalisation, ledit contacteur est configuré en sorte qu'il existe un jeu entre une tête du noyau dudit micro-solénoïde et une face de ladite plaque de contact lorsque le noyau dudit micro-solénoïde est en position finale. Cela permet d'éviter que l'extrémité du noyau du micro-solénoïde vienne en contact avec la plaque de contact lorsque le noyau du micro- solénoïde est en position finale.

Selon une réalisation, ledit contacteur est configuré en sorte qu'il existe un jeu entre un épaulement intermédiaire du noyau du micro-solénoïde et une face de ladite plaque de contact tournée vers ledit épaulement intermédiaire lorsque le noyau dudit micro-solénoïde est en position finale. Cela permet d'éviter qu'un éventuel rebond du noyau du micro-solénoïde passant de la position initiale à la position finale entraîne un choc entre la plaque de contact et ledit épaulement. Selon une réalisation, ledit contacteur comporte une pièce intermédiaire montée entre un ressort de rappel et une tige de commande portant une plaque de contact, et en ce que ladite pièce intermédiaire est configurée pour remonter le noyau dudit micro-solénoïde de la position finale à la position initiale. Selon une réalisation, ledit contacteur est configuré de telle façon que, dans une position de pré-engagement de ladite plaque de contact, ladite pièce intermédiaire se trouve dans une position finale éloignée du noyau dudit micro-solénoïde en sorte que la bobine maintient seule le noyau du micro- solénoïde en position initiale.

Selon une réalisation, ledit contacteur est configuré de telle façon que lorsque ladite plaque de contact est en position active, le noyau dudit micro- solénoïde est libre de se déplacer entre ladite plaque de contact et un fond dudit capot.

Selon une réalisation, ledit contacteur est configuré de telle façon qu'en position désactive de ladite plaque de contact, ladite pièce intermédiaire en appui contre le noyau dudit micro-solénoïde assure un maintien dudit noyau en position finale par l'action d'un moyen élastique.

L'invention a également pour objet un démarreur de moteur thermique comportant un contacteur tel que précédemment décrit.

L'invention sera mieux comprise à la lecture de la description qui suit et à l'examen des figures qui l'accompagnent. Ces figures ne sont données qu'à titre illustratif mais nullement limitatif de l'invention.

Les figures 1 a à 1 c, déjà décrites, sont des vues en coupe longitudinale d'un contacteur selon l'état de la technique respectivement dans un état de repos, un état de pré-engagement, et dans un état actif; Les figures 2a à 2c sont des vues en coupe longitudinale d'un premier mode de réalisation d'un contacteur selon l'invention respectivement dans un état de repos, un état de pré-engagement, et dans un état actif permettant le démarrage du moteur électrique;

La figure 3 est une représentation schématique d'un circuit électrique de commande du démarreur selon la présente invention;

Les figures 4a et 4b sont des représentations schématiques du flux généré par le micro-solénoïde respectivement lorsque l'interrupteur lnt_comm_2 du circuit de la figure 3 est à l'état activé et à l'état désactivé; Les figures 5a à 5c sont des vues en coupe longitudinale d'un deuxième mode de réalisation d'un contacteur selon l'invention muni d'une pièce intermédiaire respectivement dans un état de repos, un état de préengagement, et dans un état actif; Les figures 6a et 6b montrent des vues en coupe partielles d'un troisième mode de réalisation d'un contacteur selon l'invention muni d'un dispositif d'amortissement pneumatique respectivement lorsque le noyau du micro- solénoïde est dans une position initiale et dans une position finale;

La figure 7 est une vue de détails des ouvertures de la membrane du dispositif d'amortissement des figures 6a et 6b.

Dans la description qui suit les éléments identiques, similaires, ou analogues conservent la même référence d'une figure à l'autre et on utilisera une orientation axiale d'avant en arrière correspondant à une orientation de gauche à droite conformément aux figures 2a-2c, et 5a-5c. Les figures 2a à 2c illustrent un contacteur 1 se montant en lieu et place du contacteur des figures 1 a à 1 c. Ce contacteur 1 est par exemple utilisé pour commander l'actionnement d'un moteur électrique d'un démarreur de moteur à combustion interne.

Ce contacteur électromagnétique 1 est doté d'un noyau mobile 3, d'un noyau fixe 4 et d'un carter 6 métallique, ou cuve, dans lequel est agencée une bobine d'appel et une bobine de maintien montée sur un support annulaire isolant. Ce support et l'extrémité avant du carter sont dotés centralement d'un passage pour le noyau 3 mobile. Ces éléments qui ne sont pas représentés sur les figures 2a-2c afin de simplifier la représentation sont les mêmes que ceux représentés sur les figures 1 a à 1 c (cf. éléments 81 , 82 et 9).

Une extrémité du noyau mobile 3 est reliée à un levier pivotant (non représenté) qui agit par exemple sur le lanceur du démarreur comme décrit dans le document FR2795884. Bien que non représentés, le démarreur comporte en outre un ressort dents contre dents apte à être comprimé en cas de non pénétration directe du pignon du lanceur (non représenté) dans la couronne de démarrage reliée au moteur thermique, ainsi qu'une tige de liaison liée au levier pivotant comme dans le mode de réalisation des figures 1 a à 1 c.

L'autre extrémité du noyau mobile 3 est destinée à agir sur une extrémité avant d'une tige de commande 15 par poussée à travers un trou central 16 du noyau fixe 4 dans lequel la partie avant de la tige 15 est montée coulissante.

La tige de commande 15 porte une plaque de contact 21 . La plaque de contact 21 s'étend transversalement par rapport à la tige 15 pour coopérer avec deux bornes électriques 26a, 26b d'un circuit électrique de puissance et établir entre elles un contact électrique. L'une des bornes 26a est destinée à être reliée à une borne positive de la batterie, l'autre borne 26b étant destinée à être reliée par l'intermédiaire d'un câble à des balais du moteur électrique de polarité positive. Les deux bornes 26a, 26b sont fixes et portées par un capot 30 en matière électriquement isolante assurant la fermeture de l'arrière de la cuve 6. La fixation du capot 30 est réalisée par rabattement de matière de l'extrémité libre de la cuve sur le capot 30.

La tige 15 porte un ressort 32 axial d'écrasement agencé entre un épaulement 33 de la tige de commande 15 et une face du contact mobile 21 . Le contacteur 1 comporte également un ressort de rappel 38 agencé entre le capot 30 et une butée de la tige 15 de commande.

Par ailleurs, un micro-solénoïde 41 intégré à la borne 26a comporte une bobine 42 fixe par rapport au capot 30 et un noyau 43 mobile en translation par rapport au capot 30. Le noyau 43 est positionné dans l'ouverture délimité par la bobine 42. Le noyau 43 est mobile entre une position initiale dans laquelle une extrémité du noyau 43 fait saillie par rapport à la borne 26a, de manière à empêcher un contact électrique entre la plaque 21 et la borne 26a; et une position finale dans laquelle le noyau 43 autorise un contact électrique entre la plaque 21 et la borne 26a. La plaque de contact 21 est attachée au noyau 43 de telle manière que lors du déplacement de la plaque de contact 21 de la position active à la position désactive, la plaque de contact 21 entraîne le noyau 43 vers sa position initiale. A cet effet, comme cela est bien visible à la figure 2a, la plaque 21 est montée via une ouverture sur une portion 431 de section réduite du noyau 43. Cette portion est délimitée axialement par une tête 432 du noyau 43 située du côté du noyau fixe 4 ainsi qu'un épaulement intermédiaire 433 situé entre les deux têtes d'extrémité 432, 434 du noyau 43. La plaque 21 présente une ouverture ayant un diamètre sensiblement égal au diamètre de la portion de section réduite, mais inférieur au diamètre de la tête d'extrémité 432 et de l'épaulement intermédiaire 433. Cet épaulement 433 est défini par une différence de diamètre du noyau 43.

La fabrication peut par exemple être fait en insérant la portion 433 dépourvue encore de la tête 432 dans l'ouverture de la plaque de contact 21 , puis on déforme l'extrémité de la portion 433 par écrasement formant la tête 432.

Selon un autre mode de réalisation, la tête 432 et l'ouverture de la plaque sont formés de façon à pouvoir être monté par baïonnette. Autrement dit, la tête 432 est par exemple rectangulaire et l'ouverture est aussi rectangulaire de manière à pouvoir lors du montage inséré la tête puis la portion 433 du noyau 43 dans la plaque par l'ouverture puis tournée à 90° le noyau 43 par rapport à la plaque de 90° de manière à ce que la tête en forme de rectangle ne puisse plus passer au travers de l'ouverture en forme de rectangle.

Selon un autre mode de réalisation de fabrication, la tête 432 est une rondelle fixée sur la portion 433, par exemple par montage serré, collage, soudage.

Le contacteur 1 comporte en outre un aimant 51 positionné en fond du capot 30 pour assurer une retenue du noyau 43 du micro-solénoïde 41 lorsque ce dernier se trouve en position finale, afin de limiter au maximum les risques de rebonds du noyau 43. La force du ressort de rappel 38 est suffisamment forte pour décoller le noyau 43 par rapport à l'aimant 51 lors d'une mise hors tension des bobines d'appel et de maintien. Comme cela est montré à la figure 2a, le noyau 3 mobile est initialement dans une position dite de repos, dans laquelle le noyau 3 est éloigné du noyau 4 fixe. La plaque 21 se trouve alors dans une position désactive dans laquelle la plaque 21 est éloignée des bornes de contact 26a, 26b. Le micro- solénoïde 41 n'est pas alimenté. Le noyau 43 est maintenu en position initiale par la plaque de contact 21 qui tire sur la tête 432 du noyau 43 alors que la tête opposée 434 est en appui contre une extrémité de la bobine 42.

Suite à une demande du calculateur moteur, la bobine d'appel ainsi que la bobine de maintien sont activées électriquement et créent alors un champ magnétique. Ce champ magnétique permet le déplacement axial du noyau mobile 3 en direction du noyau fixe 4, comme cela est montré à la figure 2b. L'extrémité arrière du noyau mobile 3 entre en contact avec l'extrémité avant de la tige de commande 15 puis déplace axialement la tige 15 à travers le trou 16 en direction de l'arrière du contacteur 1 jusqu'à ce que ledit noyau mobile 3 vienne en appui contre le noyau fixe 4 dans une position dite aimantée.

Le déplacement de la tige 15 a pour effet de déplacer la plaque 21 dans une position, dite de pré-engagement, dans laquelle la plaque 21 est en contact avec la borne 26b mais est maintenue à distance de l'autre borne 26a. A cet effet, le micro-solénoïde 41 a été préalablement alimenté, en sorte que le noyau 43 peut résister à l'effort appliqué par la plaque 21 en appui contre l'épaulement intermédiaire 433. Le noyau 43 est ainsi maintenu en position initiale. Le ressort de rappel 38 et le ressort d'écrasement 32 sont par ailleurs comprimés. Lorsqu'une demande de démarrage est sollicitée par le calculateur moteur, l'alimentation du micro-solénoïde 41 est coupée, en sorte que le noyau 43 qui ne résiste plus à l'effort appliqué par la plaque 21 peut alors passer en position finale représentée sur la figure 2c. La plaque de contact 21 établit alors un contact avec les deux bornes 26a, 26b (position active), ce qui permet d'alimenter le moteur électrique du démarreur.

On note qu'il existe de préférence un jeu entre la tête 432 du noyau 43 tournée du côté du noyau fixe 4 et une face de la plaque 21 lorsque le noyau 43 est en position finale. Cela permet d'éviter que la tête 432 du noyau entre en contact avec la plaque 21 lorsque le noyau 43 est en position finale.

Il existe également un jeu entre l'épaulement intermédiaire 433 du noyau 43 du micro-solénoïde 41 et une face de la plaque de contact 21 tournée vers ledit épaulement intermédiaire 433. Cela permet d'éviter qu'un éventuel rebond du noyau 43 lorsque ce dernier passe de la position initiale à la position finale entraîne un choc entre la plaque 21 et l'épaulement intermédiaire 433.

Lors de la mise hors tension des bobines 81 et 82, le noyau mobile 3 n'est plus attiré vers le noyau fixe 4, ce qui provoque un retour du noyau mobile 3 dans la position de repos via l'action d'un ressort positionné entre la cuve 6 et une extrémité du noyau mobile 3. Le ressort 32 axial d'écrasement puis le ressort de rappel 38 se décompriment en poussant sur la tige de commande 15, ce qui a pour effet d'éloigner la plaque de contact 21 des bornes 26a, 26b. Le noyau 43 se décolle alors de l'aimant 51 et est entraîné par la plaque de contact 21 vers sa position initiale. Le déplacement du noyau 43 est limité par la tête 434 qui vient en butée contre la bobine 42. La plaque de contact 21 passe alors de la position active à la position désactive.

Alternativement, comme cela est représenté sur les figures 4a et 4b, l'aimant 51 est remplacé par un support magnétique 52 en forme de U positionné au fond du capot 30. Le support 52 est configuré pour établir une boucle B2 de flux magnétique passant par le noyau 43, et le support magnétique 52 lorsque le noyau 43 se trouve en position finale.

La figure 3 représente un schéma électrique de commande du démarreur permettant de générer l'effort d'attraction magnétique du noyau 43 lorsque ce dernier est en position finale.

Plus précisément, la borne 26a est reliée à la borne positive de la batterie Batt tandis que l'autre borne 26b est reliée aux balais de polarité positive via un câble. La plaque de contact 21 est susceptible d'établir un contact entre ces deux bornes 26a, 26b comme cela a été expliqué précédemment. Les balais 54 de polarité négative sont connectés à la masse du démarreur. Les références 56 et 57 correspondent respectivement au levier de commande et à l'entraîneur du démarreur.

La bobine d'appel et la bobine de maintien sont reliées entre elles en parallèle et connectées à la borne positive de la batterie Batt par l'intermédiaire d'un premier interrupteur de commande lnt_comm_1 . Par ailleurs, la bobine 42 du micro-solénoïde est connecté d'une part à la masse et d'autre part à la borne positive de la batterie Batt par l'intermédiaire d'un deuxième interrupteur de commande lnt_comm_2.

Une résistance 59 est montée entre une extrémité de la bobine 42 du micro- solénoïde (celle située du côté de l'interrupteur lnt_comm_2) et une extrémité de la bobine d'appel.

Lorsque les deux interrupteurs de commande lnt_comm_1 et lnt_comm_2 sont activés, le micro-solénoïde 41 est alimenté et bloque la plaque 21 en position de pré-engagement. La bobine 42 génère alors une boucle B1 de flux passant par le noyau 43, mais pas par le support 52 dont se trouve éloigné le noyau 43.

Lorsque la commande lnt_comm_2 du micro-solénoïde 41 est relâchée (ou en cas de démarrage direct), le micro-solénoïde 41 est alimenté par la bobine d'appel, via la résistance 59. Le micro-solénoïde 41 ne permet alors pas de générer suffisamment de force pour bloquer la plaque 21 , en sorte que la plaque 21 passe en position active et le noyau 43 en position finale. Une fois que le noyau 43 se trouve en position finale, la bobine 42 du micro- solénoïde reste alimentée via la bobine 81 et la résistance 59. La bobine 42 génère alors une boucle de flux magnétique B2 passant par le support magnétique 52 et le noyau 43 qui permet de maintenir le noyau 43 du micro- solénoïde 41 au fond du capot 30. L'effort d'attraction est faible du fait de l'intensité réduite d'alimentation de la bobine 42 et de la configuration du circuit magnétique.

Lorsque les deux commandes lnt_comm_1 et lnt_comm_2 sont coupées, plus aucun courant ne passe dans la bobine 42 qui ne génère alors plus aucune force d'attraction. Le noyau 43 est alors entraîné par la plaque de contact 21 en position initiale laquelle est déplacée par la tige de commande 15 lors de la décompression du ressort de rappel 38.

Il est à noter qu'un tel mode de réalisation est également applicable au contacteur des figures 1 a à 1 c dans lequel le noyau 43 du micro-solénoïde présente une forme classique et qu'un ressort de rappel 46 est monté entre le fond du capot 30 et la tête d'extrémité du noyau 43. Dans ce cas, lorsque le noyau 43 est en position finale, que la commande lnt_comm_2 est relâchée et la commande lnt_comm_1 est activée, la force d'aimantation générée par la boucle de flux B2 doit être supérieure à la force exercée par le ressort de rappel 46 qui est alors comprimé. Cela permet d'éviter les rebonds du noyau 43 lors de son passage de la position initiale à la position finale.

Dans le mode de réalisation des figures 5a à 5c, le contacteur 1 comporte une pièce intermédiaire 61 montée entre un ressort de rappel 46 et la tige de commande 15. Par ailleurs, le ressort de rappel 38 est positionnée entre la butée de la tige de commande 15 et le capot 30. La pièce intermédiaire 61 est configurée pour remonter le noyau 43 du micro-solénoïde 41 de la position finale à la position initiale.

A cet effet, la pièce intermédiaire 61 comporte une première portion 61 1 s'étendant axialement vers l'avant positionnée entre le ressort de rappel 46 du noyau 43 et l'extrémité arrière de la tige de commande 15. Une deuxième portion médiane 612 s'étend radialement depuis l'extrémité arrière de la première portion 61 1 en direction du noyau 43 du micro-solénoïde 41 . Une troisième portion 613 s'étend axialement vers l'arrière depuis une face arrière de la partie médiane 612. Une quatrième portion 614 s'étend radialement en direction du noyau 43.

Comme cela est montré à la figure 5a, le noyau 3 mobile est initialement dans une position dite de repos, dans laquelle le noyau 3 est éloigné du noyau 4 fixe. La plaque 21 se trouve alors dans une position désactive dans laquelle la plaque 21 est éloignée des bornes de contact 26a, 26b. Le micro- solénoïde 41 n'est pas alimenté. Le noyau 43 est maintenu en position initiale par la pièce intermédiaire 61 sollicitée par le ressort de rappel 46. En effet, la pièce intermédiaire 61 est alors en appui, via une face avant de la quatrième portion 614, contre la tête 434 du noyau 43 qui vient en butée contre une extrémité de la bobine 42. La pièce intermédiaire 61 se trouve alors dans une position dite initiale.

Suite à une demande du calculateur moteur, la bobine d'appel ainsi que la bobine de maintien sont activées électriquement et créent alors un champ magnétique. Ce champ magnétique permet le déplacement axial du noyau mobile 3 en direction du noyau fixe 4. L'extrémité arrière du noyau mobile 3 entre en contact avec l'extrémité avant de la tige de commande 15 puis déplace axialement la tige 15 à travers le trou 16 en direction de l'arrière du contacteur 1 jusqu'à ce que ledit noyau mobile 3 vienne en appui contre le noyau fixe 4 dans une position dite aimantée comme cela est montré à la figure 5b. Le déplacement vers l'arrière de la tige 15 a pour effet de déplacer vers l'arrière la pièce intermédiaire 61 dans une position finale dans laquelle la pièce intermédiaire 61 est située à distance de la tête 434 du noyau 43, ce qui libère le noyau 43. La quatrième portion 614 de la pièce intermédiaire 61 se situe alors dans un évidement 63 ménagé dans le capot 30. Le ressort de rappel 38 de la tige de commande 15, ainsi que le ressort de rappel 46 du noyau 43 du micro-solénoïde 41 sont alors comprimés.

Le déplacement de la tige 15 engendre également le déplacement de la plaque 21 de la position désactive vers la position de pré-engagement, dans laquelle la plaque 21 est en contact avec la borne 26b mais est maintenue à distance de l'autre borne 26a. A cet effet, le micro-solénoïde 41 a été préalablement alimenté, en sorte que le noyau 43 maintenu en position initiale peut résister à l'effort appliqué par la plaque 21 en appui contre une extrémité du noyau 43 opposée à la tête 434. Le ressort d'écrasement 32 est également comprimé du fait de la mise en pression de la plaque 21 contre la borne 26b. La pièce intermédiaire 61 se trouvant dans la position finale, la bobine 42 maintient ainsi seule le noyau 43 en position initiale.

Lorsqu'une demande de démarrage est sollicitée par le calculateur moteur, l'alimentation du micro-solénoïde 41 est coupée, en sorte que le noyau 43 qui ne résiste plus à l'effort appliqué par la plaque 21 peut alors passer en position finale représentée sur la figure 5c. La plaque de contact 21 établit alors un contact avec les deux bornes 26a, 26b (position active), ce qui permet d'alimenter le moteur électrique du démarreur. Etant donné que la pièce intermédiaire 61 est éloignée de la tête 434, le ressort de rappel 46 ne génère pas une énergie de retour, ce qui évite les réouvertures de contact entre la plaque 21 et les bornes 26a, 26b. Le noyau 43 est alors libre de se déplacer entre la plaque de contact 21 et le fond du capot 30.

Lors de la mise hors tension des bobines d'appel et de maintien, le noyau mobile 3 n'est plus attiré vers le noyau fixe 4, ce qui provoque un retour du noyau mobile 3 dans la position de repos via l'action d'un ressort positionné entre la cuve 6 et une extrémité du noyau mobile 3. Le ressort 32 axial d'écrasement puis le ressort de rappel 38 se décompriment, ce qui a pour effet d'éloigner la plaque de contact 21 des bornes 26a, 26b. Par ailleurs, la décompression du ressort de rappel 46 fait passer la pièce intermédiaire 61 de la position finale à la position initiale. Lors de ce déplacement, la pièce intermédiaire 61 vient en appui sur le noyau 43 pour le faire également passer de la position finale à la position initiale, ainsi que pour le maintenir ensuite dans cette position initiale par l'action du ressort 46. Le déplacement du noyau 43 est limité par la tête 434 qui vient en butée contre la bobine 42. La plaque de contact 21 passe alors de la position active à la position désactive. Comme dans le premier mode de réalisation, il est bien entendu possible d'utiliser un moyen de retenue du noyau 43 prenant la forme d'un aimant 51 ou d'un support magnétique 52 en forme de U, afin de limiter les déplacements intempestifs du noyau 43 lorsque ce dernier se trouve en position finale. Les figures 6a et 6b montrent une variante de réalisation dans laquelle le contacteur 1 comporte un dispositif d'amortissement pneumatique 71 du déplacement du noyau 43 du micro-solénoïde. Dans ce cas, comme dans le mode de réalisation des figures 1 a à 1 c, le contacteur 1 comporte un ressort de rappel 46 positionné entre le fond du capot 30 et la tête 434 d'extension radiale formant butée du noyau 43.

Plus précisément, le dispositif d'amortissement 71 comporte une membrane 72 munie d'ouvertures traversantes 73. En l'occurrence, la membrane 72 s'étend entre une périphérie externe du noyau 43 et une paroi interne du capot 30. La membrane 72 est maintenue coincée entre deux parties 301 , 302 formant le capot 30. La membrane 72 est ainsi maintenue coincée à l'endroit de la zone d'encliquetage entre les deux parties 301 , 302. En outre, la membrane 72 est collée ou de préférence surmoulée sur une périphérie externe du noyau 43.

La membrane 72 présente des ouvertures 73 de dimensions variables en fonction d'un sens du flux d'air F1 , F2 généré par un déplacement du noyau 43 du micro-solénoïde 41 . Les ouvertures 73 présentent un diamètre plus important lorsque le flux d'air F1 est dirigé à travers les ouvertures 73 de l'intérieur vers l'extérieur d'un espace E délimité par la membrane 72 et le fond du capot 30, que lorsque le flux d'air F2 est dirigé à travers les ouvertures 73 de l'extérieur vers l'intérieur dudit espace E.

A cet effet, comme cela est illustré à la figure 7, les ouvertures 73 de la membrane 72 sont délimitées par des lèvres 76 incurvées vers l'extérieur de l'espace lorsque le dispositif 71 est à l'état repos. Les lèvres 76 se situent alors à la position P0.

Ainsi, lorsque le flux d'air F1 généré par un déplacement D1 du noyau 43 en direction du fond du capot 30 traverse les ouvertures 73 en allant de l'intérieur vers l'extérieur de l'espace E, cela a pour effet d'accentuer l'écartement des lèvres 76 de manière à maximiser les ouvertures 73 et donc faciliter le débit sortant de l'air. Les lèvres 76 sont alors dans la position P1 . L'amortissement du noyau 43 est alors faible.

A l'inverse, lorsque le flux d'air F2 généré par un déplacement D2 du noyau 43 en direction de la plaque 21 traverse les ouvertures 73 en allant de l'extérieur vers l'intérieur de l'espace E, cela a pour effet de rapprocher les lèvres 76 de manière réduire les ouvertures 73 et donc contrarier le débit d'air entrant. Les lèvres 76 sont alors dans la position P2. L'amortissement du noyau 43 est alors important. On limite ainsi la vitesse de déplacement du noyau 43 lorsque ce dernier se déplace en direction de la plaque 21 pour éviter les réouvertures du contact entre la plaque 21 et les bornes 26a, 26b. Bien entendu, la description qui précède ne limite pas l'invention dont on ne sortirait pas en remplaçant les détails d'exécution par tous autres équivalents.

QQ群二维码
意见反馈