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Substrats de culture hors-sol

阅读:476发布:2022-04-26

专利汇可以提供Substrats de culture hors-sol专利检索,专利查询,专利分析的服务。并且L'invention concerne des substrats de culture hors-sol gainés.
Le substrat de culture hors-sol selon l'invention est destiné à recevoir plusieurs plants espacés. Il est enve­loppé dans une gaine formée d'un film polymère dont la face supérieure comporte une pluralité d'ouvertures longitudi­nales (8, 9, 10) qui laissent la gaine recouvrir la quasi totalité du pain avant mise en place des plants, les ouvertures, en jouant de l'élasticité du film polymère, peuvent être élargies pour placer les cubes (11) ou mottes ayant servi au développement des plants dans une étape précédente de la culture, ces ouvertures étant disposées de façon régulière correspondant à l'ensemble des emplacements susceptibles d'être dégagés pour y mettre les plants.,下面是Substrats de culture hors-sol专利的具体信息内容。

1. Substrat de culture hors-sol destiné à recevoir plusieurs plants espacés lequel est enveloppé dans une gaine formée d'un film polymère dont la face supérieure comporte une pluralité d'ouvertures longitudinales qui laissent la gaine recouvrir la quasi totalité du pain avant mise en place des plants, les ouvertures, en jouant de l'élasticité du film polymère, peuvent être élargies pour placer les cubes ou mottes ayant servi au développement des plants dans une étape précédente de la culture, ces ouver­tures étant disposées de façon régulière correspondant à l'ensemble des emplacements susceptibles d'être dégagés pour y mettre les plants.2. Substrat selon la revendication 1 dans lequel la gaine enveloppant le matériau de culture est formée à par­tir d'une feuille qui est soudée aux deux extrémités du substrat de forme parallélépipèdique, et dans la longueur de ce substrat, la soudure longitudinale s'étendant sur la face supérieure du substrat n'étant que partielle et mé­nageant des ouvertures entre les deux bords de la feuille polymère.3. Substrat selon la revendication 1 dans lequel la gaine est formée soit à partir d'une feuille soudée aux extrémités du substrat parallélépipèdique et sur toute sa longueur, soit d'un manchon soudé aux extrémités du sub­strat et comportant une série d'entailles longitudinales sur la face supérieure de la gaine.
说明书全文

L'invention concerne des substrats de culture hors-sol gainés.

De façon plus précise, l'invention concerne les sub­strats que l'on désigne communément sous le nom de "pains" et qui ont pour particularité de recevoir ordinairement plusieurs plants espacés régulièrement sur leur longueur. Ces pains, lorsque la culture se développe en plusieurs étapes suivant la croissance des plants, sont utilisés dans l'étape ultime. Ce sont des éléments qui, de façon typique, présentent une longueur de 80 à 200 cm pour une largeur de 8 à 30 cm et une hauteur de 4 à 15 cm, les dimensions va­riant sensiblement selon notamment la nature du matériau du substrat et les cultures considérées.

Les pains les plus usuels sont constitués de matériaux fibreux de type laine de roche ou laine de verre ou de ma­tériaux synthétiques comme les mousses phénoliques. Ces matériaux forment le substrat proprement dit sur lequel s'effectue la culture. Dans la suite, nous nous référerons essentiellement à des pains constitués de fibres minérales.

Il est connu d'envelopper les pains dans une gaine constituée, ordinairement, par un film polymère par exemple en polyéthylène ou en polychlorure de vinyle.

Les raisons qui conduisent à l'utilisation de cette gaine sont de différents ordres. En premier lieu, s'agis­sant de substrats fibreux, il est usuel pour faciliter la répartition homogène de la solution au cours de la culture de procéder préalablement à une imprégnation complète du substrat au moyen d'une solution aqueuse pendant un temps plus ou moins long. Cette façon de procéder permet d'éviter la formation d'une circulation préférentielle ultérieure de la solution, circulation qui laisserait des zones entières non humectées. On constate expérimentalement que, lorsque le pain a été complétement imbibé une première fois, l'ir­rigation ultérieure intéresse l'ensemble du pain, même si la solution est apportée de façon très localisée. L'utili­sation d'une gaine facilite l'opération préalable que l'on peut comparer à une immersion. Cette opération consiste en effet à remplir la gaine de solution, la gaine faisant alors office d'un bac dans lequel serait plongé le pain. Le maintien du pain dans cet état "immergé" est aussi long que l'on souhaite, son drainage ultérieur pour les étapes de culture étant obtenu simplement en pratiquant des perfora­tions à la base de la gaine pour permettre l'écoulement de la solution.

Un autre rôle de la gaine est de protéger le substrat et les racines de la lumière. En interposant cet écran, on évite le développement d'algues. La gaine est également utilisée comme un "réflecteur" de lumière vers la partie aérienne des plants. Cet effet réflecteur est particuliè­rement intéressant pour les cultures conduites dans les périodes de l'année où la luminosité naturelle est très réduite. Pour favoriser cet effet réflecteur, on choisit ordinairement une gaine qui présente une face externe de couleur claire.

Pour les raisons qui viennent d'être rappelées, l'usage d'une gaine sur les pains est traditionnelle. La présence de la gaine impose cependant certaines contraintes à l'utilisateur et, en particulier, celui-ci doit pratiquer des ouvertures dans la gaine aux emplacements qu'il choisit pour situer les plants.

La pratique courante consiste à développer les jeunes plants sur des "cubes" ou "mottes" de dimensions limitées. Lorsque les plants ont atteint une croissance suffisante, les cubes sont placés sur les pains qui offrent un volume supplémentaire pour le développement du système racinaire. Selon la culture considérée et la dimension des pains, chaque pain reçoit ordinairement de 2 à 6 cubes. L'empla­cement sur le pain, qui doit être dépouillé de la gaine pour permettre le contact cube-pain et le passage des ra­cines, ne peut donc être déterminé au moment de la produc­tion de ces éléments. Il revient à l'horticulteur de dé­gager la partie de la gaine correspondante selon son choix.

L'opération consistant à découper la gaine à l'empla­cement où sont disposés les cubes est effectuée manuelle­ment et prend beaucoup de temps, ce qui n'est pas souhai­table dans les exploitations importantes.

L'invention se propose de fournir des pains de culture gainés dont la mise en oeuvre soit facilitée et qui, en particulier, simplifient les opérations manuelles lors de la mise en place des cubes.

L'invention consiste à gainer les pains en prévoyant, sur la partie constituant la face supérieure des zones susceptibles de recevoir les cubes, sans pour autant dé­couvrir le substrat à ces emplacements et sans qu'il soit nécessaire de découper la gaine.

Elle peut comprendre de simples entailles pratiquées dans le film constituant la gaine, à intervalles réguliers. Il peut s'agir aussi encore de former la gaine de telle sorte que celle-ci laisse des ouvertures susceptibles de constituer l'équivalent des entailles, par exemple en ne soudant pas complètement le film dans la longueur du pain.

Les modalités de réalisation peuvent être très va­riées. Elles doivent cependant toutes répondre à certaines exigences communes. En premier, la gaine selon l'invention doit rester bien solidaire du pain qu'elle recouvre. L'ar­rangement de la gaine dont il est question ne doit pas en­traîner une séparation accidentelle de la gaine et du pain au cours des manipulations. En second, la confection de la gaine selon l'invention doit rester suffisamment simple pour que le coût de l'opération demeure acceptable pour ce type de produit. Dans toute la mesure du possible, les dispositions selon l'invention doivent répondre aux di­verses applications possibles sans que l'utilisateur n'ait besoin de découper la gaine.

La suite de la description contient, de façon détaillée, des modes de réalisation faisant référence à la planche de dessins dans lesquels :

  • . la figure 1 est une vue schématique, en perspective, d'un pain gainé traditionnel,
  • . la figure 2 est une vue de dessus d'un mode de réa­lisation d'un pain gainé selon l'invention,
  • . la figure 3 est une coupe A-A du pain gainé de la figure 2,
  • . la figure 4 est une vue partielle, en perspective, montrant l'utilisation du pain gainé de la figure 2,
  • . la figure 5 est une vue de dessus d'un autre mode de réalisation d'un pain gainé selon l'invention.

Traditionnellement, les pains de culture sont enve­loppés dans un film de façon relativement lâche. L'enve­loppe ou gaine est ordinairement confectionnée à partir d'un film polymère thermofusible, ce qui permet de consti­tuer un ensemble étanche par soudure du film sur lui-même.

A la figure 1 le pain, de forme parallélépipèdique oblongue, est enveloppé dans un film qui, par exemple, est soudé sur lui-même à ses extrémités (1 et 2) dans la lar­geur du pain. Le film est également soudé, suivant les techniques traditionnelles, sur toute la longueur du pain (3). L'emplacement de la soudure longitudinale par rapport au substrat est peu important. Dans la mesure où cette soudure peut ne pas être parfaitement étanche, il est pré­féré de la placer à la partie supérieure du substrat ou, ce qui est équivalent, on choisit pour face supérieure celle à laquelle correspond la soudure. A la figure 1, on a placé cette soudure en un point quelconque de la face supérieure. Eventuellement, pour faciliter la découpe des ouvertures correspondant à la position des cubes, il peut être préfé­rable de reporter la soudure plus sur un côté de la face supérieure pour dégager au maximum la face en question.

Le schéma de la figure 2 montre, sur une disposition de la gaine vis-à-vis du substrat analogue à celle de la figure 1, comment selon l'invention on facilite le dégage­ment de la gaine aux emplacements destinés à recevoir les cubes. Dans ce schéma, la gaine est comme précédemment soudée à ses deux extrémités (1 et 2). Contrairement à la réalisation de la figure 1, la soudure longitudinale n'est pas complète. Elle se limite aux parties voisines des ex­trémités (4 et 5) de manière à bien maintenir le film sur le pain et à quelques points (6 et 7) espacés dans la lon­gueur, de telle sorte que l'enveloppe ne bée pas.

On comprend que la réalisation de soudures ponctuel­les, du type présenté à la figure 2, soit plus facile que la soudure continue de la figure 1.

La présence des bords du film non soudés dans les zones indiquées (8, 9, 10) et une certaine élasticité du matériau constituant la gaine permettent, sans découpe, de dégager les emplacements correspondant aux cubes. Pour cela il suffit d'écarter les deux bords de la gaine, à l'empla­cement choisi, et de placer le cube (11) dans l'ouverture ainsi ménagée, comme représenté schématiquement à la figure 4.

Dans ce mode d'utilisation, on comprend que le maté­riau de la gaine est légèrement distendu entre les traits de soudures (5 et 7). Il est ordinairement choisi pour of­frir l'élasticité nécessaire, sans risquer de déchirer le film notamment aux soudures. Ceci est rendu d'autant plus facile que ces soudures successives sont plus espacées les unes des autres. De plus, en éloignant les zones de sou­dures, on élargit les zones dans lesquelles les cubes peu­vent être disposés. On facilite par conséquent le choix de l'emplacement des plants sur le pain. Néanmoins les zones dans lesquelles le film n'est pas soudé ne doivent pas être trop étendues. Indépendamment du fait que le maintien du film sur le pain ne serait pas convenablement assuré, une pratique courante des horticulteurs s'y oppose. En effet dans de nombreuses exploitations les horticulteurs, avant même la phase finale mettant en jeu la croissance des plants sur les pains, disposent les cubes sur le pain. Dans cette étape, le cube doit rester isolé du substrat du pain par le film de la gaine. Il ne faut pas que les racines puissent pénétrer dans le pain afin de leur donner le com­plet développement correspondant à la "colonisation" du cube. Dans cette phase de croissance, les racines ne peu­vent pénétrer dans le pain que si le film ne présente pas de discontinuité. Les zones (8, 9, 10) peuvent, en prin­cipe, laisser passer les racines et ce d'autant plus faci­lement qu'elles seront plus largement ouvertes et que le recouvrement des deux bords du film ne sera pas nécessai­rement parfait. Pour des ouvertures de dimensions limitées, le recouvrement des bords suffit en pratique à éviter la pénétration des racines.

Le mode représenté à la figure 5 est différent du précédent en ce sens que l'on ne se sert pas de la soudure longitudinale pour former les zones dégagées. La soudure longitudinale est reportée, par exemple, complètement sur le côté. Dans ce cas, la soudure s'étend sur toute la lon­gueur sans discontinuité. Un certain nombre de fentes (12, 13, 14) est représenté sur la face supérieure de la gaine. Ces fentes longitudinales jouent le même rôle que les zones non soudées (8, 9, 10) de la forme précédente.

La disposition des lignes des fentes est choisie de telle manière que l'on puisse placer les cubes selon la configuration souhaitée. Deux dispositions, par exemple, sont présentées (A et B) qui permettent de répartir soit deux soit trois cubes sur la longueur du pain. L'emplace­ment des cubes sur le pain est indiqué en traits poin­tillés. Ces deux dispositions sont typiques des pains ayant une longueur de l'ordre de un mètre. Pour les pains plus longs allant jusqu'à 2 mètres, il est usuel de placer 4, 5 ou 6 cubes dans la longueur. Là encore un choix convenable du nombre et de la longueur des fentes permet de placer le nombre voulu de cubes de façon espacée, sans qu'il soit nécessaire de redécouper la gaine.

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