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PROCEDE D ESCAMOTAGE D UN LIT ET DISPOSITIF PERMETTANT DE METTRE EN OEUVRE UN TEL DISPOSITIF

申请号 EP04816497.4 申请日 2004-12-01 公开(公告)号 EP1689269A2 公开(公告)日 2006-08-16
申请人 Charriere, Jean-Pierre; Jacob, Pol; 发明人 Charriere, Jean-Pierre; Jacob, Pol;
摘要 The invention relates to a method for retracting a bed (100) provided with a wire mattress frame (110) which bears a mattress, is supported by a base and is movable (arrow E) from a horizontal using position (sleeping position) to a retracting position (storage position) and vice versa (arrow C). The inventive method consists in bringing the wire mattress frame (110) of said bed (100) into the horizontal sleeping position which is elevated with respect to a floor in such a way that a sufficiently high space is formed thereunder in order to receive other furniture elements and/or working equipment (300) arrangeable in the room in addition to said bed (100). A lifting device which makes it possible to carry out the variant of the inventive method consisting in bringing (arrow C) the wire mattress frame (110) from the retracted storage position into the using sleeping position thereof by a vertical sliding movement and vice versa is also disclosed. Said invention can be used for small room furniture.
权利要求
REVENDICATIONS 1. Dispositif d'escamotage d'un lit (100) du type de celui constitué d'un châssis formant sommier (110) qui, supportant un matelas et porté par un piètement, est susceptible d'évoluer (flèche E) d'une position basse horizontale d'utilisation dite de couchage vers une position haute d'escamotage dite de rangement et vice versa (flèche C), CARACTERISE EN CE QU'il est constitué par un appareil de levage (200) comprenant un ensemble de guidage se composant de deux paires de rails (210a, 211a et 210b, 211b) dressés entre le sol et le plafond de part et d'autre des deux côtés latéraux (110a et 110b) formés par les deux traverses de la tête et du pied de lit du châssis-sommier (110) pour définir un chemin de roulement ou de glissement permettant de monter (flèche E) ou de descendre (flèche C) le châssis-sommier (110) du lit
(100), les parties hautes et basses des deux paires de rails (210a, 211a et 210b, 211b) étant habillées deux à deux par deux caissons latéraux bas (230a et 230b) dressés à partir du sol de la pièce et deux caissons latéraux hauts (240a et 240b) lesquels caissons, habillant de manière démontable les parties basse et haute des quatre rails de guidage (210a, 211a et 210b, 211b) sont d'une profondeur débordante vers l'intérieur du châssis-sommier
(110) de manière à ce que les faces supérieures (230a' et
230b') des caissons bas (230a et 230b) et les faces inférieures (240a' et 240b') des caissons hauts (240a et
240b) fassent office de butées de fin de course bas et haut des déplacements coulissants (flèche C et flèche E respectivement) du châssis-sommier (110) du lit (100), selon un axe vertical au plan du plafond et/ou du sol, afin de descendre (flèche C) le châssis-sommier (110) pour l'utiliser comme une couche dans un plan horizontal surélevé par rapport au sol de manière à libérer en dessous un logement suffisamment haut pour recevoir d'autres éléments d'ameublement et/ou d'installations de travail (300 et 310) devant équiper la pièce en plus du susdit lit (100) et d'élever (flèche E) le même châssis- sommier (110) vers une position de rangement située dans le même plan horizontal que celui de la position de couchage selon une hauteur suffisante pour dégager ainsi jusqu'au plafond un espace libre de travail au-dessus des éléments d'ameublement et/ou d'installation de travail (300 et 310) pour autoriser leur utilisation. 2. Dispositif d'escamotage selon la revendication 1, CARACTERISE PAR LE FAIT QUE le susdit appareil de levage
(200) comprend un ensemble de compensation équilibrant les efforts nécessaires pour assurer le levage (flèche E) dudit châssis-sommier (110) vers sa position haute escamotée et/ou sa descente (flèche C) vers sa position basse de couchage. 3. Dispositif d'escamotage selon les revendications 1 et 2, CARACTERISE PAR LE FAIT QUE le susdit ensemble de compensation est constitué par deux systèmes de contrepoids (220a et 220b) qui, formant un ensemble plus lourd que le poids du lit (100) coulissant et disposés derrière chaque côté latéral (110a et 110b) du châssis- sommier (110), sont reliés aux deux traverses (110a et 110b) de ce dernier par un dispositif de câbles et de poulies de renvoi, équilibrent les efforts nécessaires pour assurer le levage (flèche E) du châssis-sommier (110) vers sa position haute escamotée et/ou sa descente (flèche C) vers sa position basse de couchage. 4. Dispositif d'escamotage selon l'une quelconque des revendication 1 à 3, CARACTERISE PAR LE FAIT QU'il comprend un dispositif de réglage du maintien du plan d'horizontalité du châssis-sommier (110) constitué de deux systèmes stabilisateurs qui, logés dans des caissons longitudinaux (260c et 260d) fixés de manière démontable et suspendue au plafond à l'aplomb des montants longitudinaux avant (110c) et arrière (HOd) dudit châssis-sommier (110), sont constitué chacun par un câble sans fin entraîné autour de deux poulies de renvoi calées sur les deux axes supérieurs des poulies de renvoi des deux systèmes de contrepoids (220a et 220b) du susdit dispositif de compensation. 5 5. Dispositif d'escamotage selon la revendication 1, CARACTERISE PAR LE FAIT QUE le longeron apparent (110c) du susdit châssis-sommier (110) du lit (100) supporte une poignée de blocage (120) permettant de verrouiller le déplacement coulissant du châssis-sommier (110) en 10 position basse de couchage du lit (100). 6. Dispositif d'escamotage selon l'une quelconque des revendication 1 à 5, CARACTERISE PAR LE FAIT QU'il comprend un meuble-escalier de rangement (400) installé à demeure près du lit (100) pour faciliter l'accès à ce
J 5 dernier en position de couchage, 7. Dispositif d'escamotage selon la revendication 4, CARACTERISE PAR LE FAIT QUE les deux câbles croisés du susdit dispositif de réglage du maintien du plan d'horizontalité du châssis-sommier (110) sont disposés
2Q indépendants l'un de l'autre du côté gauche et du côté droit de manière à assurer une sécurité du maintien du plan d'horizontalité lors de la descente (flèche C) du châssiβ-sommier (110), en cas de rupture de l'un des deux câbles .
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说明书全文

PROCEDE D'ESCAMOTAGE D'UN LIT ET DISPOSITTF PERMETTANT DE METTRE EN OEUVRE UN TEL DISPOSITIF.

DOMAINE D'APPLICATION DE L'INVENTION La présente invention a trait au domaine de l'ameublement et/ou de l'aménagement intérieur et concerne plus précisément un procédé et un dispositif permettant d'escamoter un lit à des fins de rangement et de stockage. DESCRIPTION DE L'ART ANTERIEUR Un lit se compose classiquement d'un piètement qui, formé le plus souvent de quatre pieds, assure l'assise surélevée d'un châssis horizontal sur lequel on peut déposer un matelas que recouvrent d'autres articles de literie comme le drap, la couverture, ou la couette permettant notamment d'isoler l'homme du matelas. De nombreux efforts ont été développés ces dernières années dans le souci de donner aux lits un caractère esthétique, respectant bien souvent l'évolution de la société tout en étant tributaire de l'esprit de leurs novateurs. Les efforts ont également portés sur différents modes d'exécution de lits visant généralement à modifier leur structure et/ou leur destination afin d'assumer diverses positions et/ou fonctions ou encore d'améliorer le confort des personnes assises. Cependant, dans des pièces appelées à rassembler dans un minimum d'espace un certain nombre d'éléments tant ceux nécessaires à l'ameublement pour le rangement, le travail et le couchage intégrant nécessairement un lit que ceux relatifs aux installations et appareils destinés aux soins de propreté et à la préparation et/ou à la prise de repas, il a été souvent constaté que les lits équipant ce type de pièces sont disposés à demeure, interdisant ipso facto l'utilisation de l'emplacement au sol de la pièce occupé par le lit à d'autres fins. Aussi, lorsqu'il devient nécessaire de libérer l'espace de l'emplacement de la pièce pris par le lit, il n'existe à ce jour que deux alternatives. La première alternative est celle des "vases communicants" qui consiste "à vider" la pièce en question tout en "remplissant" une pièce voisine et vice-versa. Cette alternative impose donc des structures légères qui s'adressent plus particulièrement aux lits démontables dits souvent d'appoint comme le lit de camp se composant essentiellement d'un châssis pliable garni de sangles ou d'une grosse toile faisant office de sommier et de matelas. La deuxième alternative est le lit escamotable qui consiste à faire pivoter ledit lit sur un de ses côtés de préférence sur son côté latéral de la tête de lit afin de pouvoir le dresser parallèlement à l'un des murs auquel il sera retenu dans cette position une fois dressé en le manœuvrant à partir de l'autre côté latéral du pied de lit de manière à faire exécuter audit lit un mouvement de basculement. Ces deux alternatives présentent l'inconvénient majeur d'être contraignantes du fait qu'elles ne libèrent qu'un espace libre au sol provisoire qui doit être nécessairement aménagé et déménagé rapidement des éléments nécessaires à une autre utilisation entre deux utilisations de couchage successives du lit. Il n'est donc pas envisageable de laisser à demeure d'autres éléments qui doivent aussi être rangés sur un autre emplacement de la pièce ou dans une autre pièce (d'où le terme de vases "communicants") lorsque le lit est en position de couchage. L'assise du lit dans la première alternative est pliée et dans la deuxième basculée d'une position horizontale vers une position verticale et vice versa, ce qui nécessite de refaire complètement le lit après chaque manipulation. De plus, le fait d'utiliser des structures légères et discrètes pour que lesdits lits soient facilement dissimulés en position de rangement ne peut pas contribuer à une bonne qualité de literie. DESCRIPTION DE L'INVENTION Partant de cet état de fait et d'un cahier des charges préétabli, les demandeurs ont mené des recherches qui ont abouti à un concept original de lit qui tout en obviant à l'ensemble des inconvénients précités permet de libérer son emplacement au sol dans une pièce sans être contraint de sortir et/ou de déplacer vers un autre espace le lit l'équipant. Pour ce faire, les demandeurs ont imaginé un procédé original d'escamotage d'un lit du type d'un châssis formant sommier supportant un matelas et porté par un piètement. Ce procédé du type de celui permettant de faire évoluer le lit d'une position horizontale d'utilisation dite de couchage vers une position d'escamotage dite de rangement et vice versa est, selon l'invention, remarquable en ce qu'il consiste à disposer le châssis dudit lit dans la position de couchage dans un plan horizontal surélevé par rapport au sol de manière à libérer en dessous, un logement suffisamment haut pour recevoir d'autres éléments d'ameublement et/ou d'installations de travail devant équiper la pièce en plus dudit lit. Le grand avantage d'un tel procédé d'escamotage est donc de permettre d'avoir un lit qui, en position de couchage, garde intégralement libre son emplacement au sol de sorte qu'il peut y dédier l'installation à demeure d'un autre ameublement ou appareil électroménager. Ainsi, par exemple, il sera judicieux et c'est une des principales préférences d'aménagement intérieur proposée par les demandeurs, de prévoir l'installation d'une table d'un bureau de travail qui bien souvent occupe sensiblement la même surface d'emplacement au sol qu'un lit. Cet aménagement est particulièrement intéressant notamment dans les chambres estudiantines d'université aux dimensions très petites mais où il est maintenant de plus en plus demandé à l'architecte-concepteur de composer pour réunir dans un minimum de surface au sol (environ 9 m2) tous les équipements sanitaires (douche, lavabo, Water- Closet), de préparation et de prise de repas (cuisinette, table et chaises), de rangement (étagères, placards, penderie) et de travail (bureau, ordinateur, téléphone), etc.. Partant du fait qu'une chambre estudiantine occupe une surface au sol d'environ 9 m2 avec une réservation meublée de moins de la moitié et que le lit occupe au moins une surface de l'ordre de 1,80 m2, le procédé d'escamotage de l'invention permet donc d'envisager obtenir un gain de place de presque 40% qui pourra ainsi être comblé par d'autres équipements. Un autre avantage de l'invention outre celui primordial du gain de place précité réside dans le fait que le lit qui est rarement un meuble esthétique dans les pièces du type studio ou chambre estudiantine où de plus l'ordre n'est pas souvent la première qualité de son habitant, peut être dissimulé à la vue grâce au procédé d'escamotage qui garde ici sa fonction première. L'invention propose divers modes de réalisation du procédé d'escamotage d'un lit. Un premier mode de réalisation consiste à escamoter le lit par un mouvement vertical du châssis vers une position de rangement située dans un plan parallèle au plan de la position de couchage selon une hauteur suffisante pour dégager un espace libre de travail au- dessus des éléments d'ameublement et/ou d'installation de travail pour autoriser leur utilisation. Par exemple et comme on le verra un peu plus en détails dans la description appuyée sur les dessins, le châssis du susdit lit pourra évoluer d'une position escamotée de rangement à une position d'utilisation de couchage par un mouvement de coulissement vertical. Un autre mode de réalisation consiste à escamoter ledit lit par un mouvement horizontal du châssis vers une position de rangement située dans le même plan horizontal que celui de la position de couchage selon une hauteur suffisante pour dégager ainsi jusqu'au plafond un espace libre de travail au-dessus des éléments d'ameublement et/ou d'installation de travail pour autoriser leur utilisation. Par exemple, le châssis du susdit lit pourra évoluer d'une position escamotée de rangement à une position d'utilisation de couchage soit par un mouvement de pivotement horizontal soit par un mouvement de coulissement horizontal. BREVE DESCRIPTION DES DESSINS Les concepts fondamentaux de l'invention venant d'être évoqués ci-dessus dans leur forme la plus élémentaire, d'autres caractéristiques et d'autres avantages de la présente invention ressortiront plus clairement à la lecture de la description qui suit, donnant à titre d'exemple non limitatif et en regard des dessins annexés, un mode de réalisation d'un lit équipé d'un dispositif d'escamotage permettant de mettre en oeuvre le procédé d'escamotage utilisant un mouvement de coulissement vertical. Sur ces dessins : La figure 1 est une vue en perspective partiellement éclatée d'un lit équipé du susdit procédé d'escamotage selon l'invention. La figure 2 est une vue en perspective d'une pièce équipée du lit de la figure en position escamotée. La figure 3 est une vue en perspective d'une pièce équipée du lit de la figure en position de couchage. DESCRIPTION DES MODES DE REALISATION PREFERES Tel qu'illustré sur les dessins des figures 1, 2 et 3, le lit de l'invention, référencé 100 dans son ensemble, se compose d'un châssis à lattes (avec une traverse centrale formant raidisseur) faisant office de sommier 110 et dont la face supérieure tournée vers le plafond (non représenté) de la pièce dans laquelle le lit 100 est installé, reçoit un matelas non représenté que recouvrent d'autres articles de literie comme le drap, la couverture, ou la couette pour isoler l'homme du matelas. Selon la disposition principale de l'invention illustrée plus en détails sur le dessin de la figure 1, le châssis-sommier 110 du lit 100 coopère avec un dispositif d'escamotage constitué par un appareil de levage 200 permettant, selon un axe vertical au plan du plafond et/ou du sol, d'élever (flèche E orienté vers le plafond) et de suspendre ledit châssis 110 au plafond dans un plan supérieur proche de ce dernier et dans lequel il est représenté sur des figures 1 et 2, ceci afin de libérer au-dessous le volume qu'il occupait dans la pièce à des fins d'utilisation pleine et entière du dessus de la table 310 d'un bureau de travail 300 situé en dessous. Le même appareil de levage 200 permet également de redescendre (sens de la flèche C orienté vers le sol de la figure 3) le châssis-sommier 110 dans un plan horizontal inférieur pour définir une position horizontale d'utilisation dite de couchage mais surélevée par rapport au sol de manière à toujours dégager en dessous un logement suffisamment haut pour laisser en place la table 310 du bureau de travail 300 avec divers accessoires de travail posés dessus (ordinateur, lampe de bureau, dossiers, bouteilles, etc.... ) . Comme montré sur le dessin de la figure 1, l'appareil de levage 200 est notamment constitué par un ensemble de guidage permettant de monter (flèche E) ou de descendre (flèche C) le châssis-sommier 110 du lit 100 librement coulissant selon un axe vertical entre le sol et le plafond de la pièce et par un ensemble de compensation équilibrant les efforts nécessaires pour assurer le levage (flèche E) du châssis-sommier 110 vers sa position haute escamotée. L'ensemble de guidage se compose de deux paires de rails 210a, 211a et 210b, 211b dressés entre le sol et le plafond de part et d'autre des deux côtés latéraux 110a et 110b formés par les deux traverses de la tête et du pied de lit du châssis-sommier 110, pour définir un chemin de roulement ou de glissement du châssis 110 (selon le mouvement de coulissement des flèches C et E) du châssis- sommier 110 d'une position inférieure de couchage (illustrée à la figure 3) vers une position supérieure escamotée (telle qu'illustrée aux figures 1 et 2) et vice versa. L'ensemble de compensation est constitué, quant à lui, par deux systèmes de contrepoids 220a et 220b qui, formant un ensemble plus lourd que le poids du lit (100) coulissant et disposés derrière chaque côté latéral du châssis-sommier 110, sont reliés aux deux traverses 110a et 110b du châssis-sommier 100 par un dispositif classique de câbles et de poulies de renvoi, équilibrent les efforts nécessaires pour assurer le levage (flèche E) du châssis-sommier 110 vers sa position haute escamotée. Ainsi, avantageusement, l'intervention humaine se limite à une personne pour l'escamotage en position de rangement ou pour l'abaissement en position de couchage, alors qu'auparavant le déménagement d'un lit dans une autre pièce nécessitait l'intervention d'au moins deux personnes. Selon un mode de réalisation préférentielle de l'invention, les parties hautes et basses des deux paires de rails sont habillées deux à deux par deux caissons latéraux bas 230a et 230b dressés à partir du sol de la pièce et deux caissons latéraux hauts 240a et 240b partant du plafond lesquels caissons, habillant les parties basse et haute des quatre rails de guidage 210a, 211a et 210b, 211b, sont d'une profondeur débordante vers l'intérieur du châssis-sommier 110 de manière à ce que les faces supérieures 230a' et 230b' des caissons bas 230a et 230b et les faces inférieures 240a' et 240b' des caissons hauts 240a et 240b fassent office de butées de fin de course bas et haut des déplacements coulissants (flèche C et flèche E respectivement) du châssis-sommier 110 du lit 100. Les demandeurs ont également prévu la mise en place d'un dispositif de réglage du maintien du plan d'horizontalité du châssis-sommier 110 lors de ses déplacements coulissants (flèches C et E). A cet effet, ce dispositif de réglage est constitué de deux systèmes stabilisateurs qui, logés dans des caissons longitudinaux 260c et 260d fixés de manière suspendus au plafond à l'aplomb des montants longitudinaux avant 110c et arrière HOd dudit châssis-sommier 110, sont constitué chacun par un câble sans fin entraîné de manière croisée autour de deux poulies de renvoi calées sur les deux axes supérieurs des poulies de renvoi des deux systèmes de contrepoids 220a et 220b du dispositif de compensation. Avantageusement, ces câbles croisés sont disposés indépendants l'un de l'autre du côté gauche et du côté droit de manière à assurer une sécurité du maintien du plan d'horizontalité lors de la descente (flèche C) du châssis-sommier 110, en cas de rupture de l'un des deux câbles . Bien évidemment, les différentes opérations d'élévation, de suspension, et d'abaissement du châssis- sommier 110 du lit 100 de l'invention pourront être assumées par un moteur électrique actionnant l'appareil de levage 200 et commandable à distance. On comprend que le lit avec son dispositif d'escamotage, qui vient d'être ci-dessus décrit et représenté, l'a été en vue d'une divulgation plutôt que d'une limitation. Bien entendu, divers aménagements, modifications et améliorations pourront être apportés à l'exemple ci-dessus, sans pour autant sortir du cadre de l'invention pris dans ses aspects et dans son esprit les plus larges. Ainsi par exemple: - un meuble-escalier de rangement 400 pourra être installé à demeure près du lit 100 pour faciliter l'accès à ce dernier en position de couchage, - une poignée de blocage 120 associée au longeron apparent 110c du châssis-sommier 110 du lit 100 permettra comme le système connu de crémone (deux tringles métalliques maneuvrables ) de verrouiller le déplacement coulissant du châssis-sommier 110 en position basse de couchage du lit 100, - des organes (patins glissants du type "Téflon", etc..) seront judicieusement aménagés pour limiter les forces de frottement du châssis-sommier 110 le long des rails de guidage 210a, 211b, 211a, 211b, - un chevet avec applique en tête de lit sera fixé sur la paroi à hauteur convenable lorsque le lit est en position de couchage, - un garde-corps 250 de part et d'autre du lit sera fixé au longeron apparent 110c tout en laissant un passage libre pour accéder au lit du côté du meuble-escalier de rangement 400 et en laissant un accès au chevet venant d'être évoqué, - les caisson d'habillage latéraux 230a, 230b, 240a et 240b et longitudinaux 260c et 260d seront démontables pour accéder facilement aux divers mécanismes des dispositifs de guidage, de compensation et de réglage d'horizontalité, ™ 6 C * • •

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