Machine agricole de travail du sol avec un soc de stabilisation latérale perfectionné

申请号 EP92440010.4 申请日 1992-01-24 公开(公告)号 EP0499556A1 公开(公告)日 1992-08-19
申请人 KUHN S.A.; 发明人 Kirch, Michel;
摘要 L'invention concerne une machine agricole de travail du sol. Selon l'invention, la machine agricole de travail du sol est caractérisée par le fait que le soc de stabilisation latérale (27) comporte un disque (43) (ou une roue) de périphérie circulaire ou quelconque :

qui est agencé(e) en partie au moins à l'avant de la plaque (36) du soc de stabilisation latérale (27) ;
dont la partie inférieure s'étend au moins sensiblement au même niveau que la partie inférieure de ladite plaque (36) ;
et
qui peut tourner dans un plan dirigé au moins sensiblement suivant la direction de travail (3) et s'étendant vers le haut.
权利要求 Machine agricole de travail du sol (1 ; 101) comportant:- un châssis (6) ;- un rotor (10) supporté par ledit châssis (6), muni d'outils de travail du sol (13) et entraîné positivement (16) par une source motrice (2) autour de son axe longitudinal (10A) qui s'étend obliquement par rapport à la direction de travail (3 ; 103) de ladite machine (1 ; 101), de sorte qu'à sa partie frontale, les outils de travail du sol (13) se déplacent vers le sol, et qu'au moins un desdits outils de travail du sol (13) est destiné à réaliser une raie (22 ; 122) ;
et
- un soc de stabilisation latérale (27 ; 127) qui est lié au châssis (6) au moyen d'une structure porteuse (28 ; 128) et qui comporte une plaque (36 ; 136) de forme allongée destinée à venir s'appuyer contre la muraille (34 ; 134) de ladite raie (22 ; 122) ; caractérisée par le fait que le soc de stabilisation latérale (27 ; 127) comporte, en sus, un disque (43 ; 143) (ou une roue) de périphérie circulaire ou quelconque :- qui est agencé(e), en partie au moins, à l'avant de ladite plaque (36 ; 136) ;- dont la partie inférieure (44 ; 144) s'étend au moins sensiblement au même niveau que la partie inférieure (45 ; 145) de la plaque (36 ; 136) ; et- qui peut tourner dans un plan (47 ; 147) dirigé au moins sensiblement suivant la direction de travail (3 ; 103) et s'étendant vers le haut.
Machine agricole de travail du sol selon la revendication 1, caractérisée par le fait qu'en vue latérale, le disque (43 ; 143) ou la roue a un diamètre extérieur (49 ; 149) au moins égal à la hauteur (50 ; 150) de la plaque (36 ; 136).Machine agricole de travail du sol selon la revendication 1 ou 2, caractérisée par le fait que le disque (43 ; 143) ou la roue peut tourner autour d'un axe (55A; 155A) qui contient le centre du disque (43 ; 143) ou de la roue, et qui s'étend au moins sensiblement horizontalement et au moins sensiblement perpendiculairement à la direction de travail (3 ; 103).Machine agricole de travail du sol selon la revendication 3, caractérisée par le fait que la périphérie extérieure du disque (43 ; 143) est circulaire et munie d'au moins un chanfrein (46 ; 146).Machine agricole de travail du sol selon la revendication 3 ou 4, caractérisée par le fait que le plan (47; 147) dans lequel peut tourner le disque (43 ; 143) est vertical et fait, en vue de dessus, avec un autre plan vertical (38 ; 138) qui est dirigé suivant la direction de travail (3 ; 103), un angle (α;β) compris entre 0° et 15°, de telle sorte qu'au travail, la partie avant (48 ; 148) du disque (43 ; 143) soit la plus éloignée de la muraille (34 ; 134).Machine agricole de travail du sol selon la revendication 5, caractérisée par le fait que ledit angle (α; β) est tel qu'en vue de dessus, la plaque (36 ; 136) se trouve au moins sensiblement dans le prolongement du disque (43 ; 143), compte tenu du sens de travail (3 ; 103).Machine agricole de travail du sol selon la revendication 5 ou 6, caractérisée par le fait qu'en vue de dessus, la partie arrière (52 ; 152) du disque (43 ; 143) se situe au moins sensiblement dans le voisinage de l'avant de la plaque (36 ; 136), compte tenu du sens de travail (3 ; 103).Machine agricole de travail du sol selon la revendication 6 ou 7, caractérisée par le fait qu'au travail, la face (51 ; 151) du disque (43 ; 143) qui se trouve en regard de la muraille (34 ; 134), est au moins sensiblement plane.Machine agricole de travail du sol selon l'une au moins des revendications 1 à 8, caractérisée par le fait que la plaque (36 ; 136) comporte au moins un élément plat (39, 40 ; 139, 140) destiné à venir en contact avec la muraille (34 ; 134) de la raie (22 ; 122).Machine agricole de travail du sol selon la revendication 9, caractérisée par le fait que la plaque (36 ; 136) comporte, en sus, un support (41 ; 141) auquel est (sont) lié(s) ledit (lesdits) élément(s) plat(s) (39, 40 ; 139, 140) et qui est lié à la structure porteuse (28 ; 128).Machine agricole de travail du sol selon l'une au moins des revendications 1 à 10, caractérisée par le fait que la plaque (36 ; 136) comporte, à l'avant, un décrochement (39D ; 139D) dirigé vers le haut, de sorte qu'au travail la partie avant du décrochement (39D ; 139D) soit la plus éloignée de la muraille (34 ; 134) et que la partie arrière (52 ; 152) du disque (43 ; 143) s'étende au moins sensiblement dans le voisinage dudit décrochement (39D ; 139D).Machine agricole de travail du sol selon la revendication 11, caractérisée par le fait qu'au travail la partie arrière (52 ; 152) du disque (43 ; 143) s'étend en vue de dessus entre ledit décrochement (39D ; 139D) et la muraille (34 ; 134).Machine agricole de travail du sol selon l'une au moins des revendications 1 à 12, caractérisée par le fait qu'à l'avant de la partie inférieure (45) de la plaque (36) est agencée une pointe (37) qui s'étend au moins sensiblement suivant la direction de travail (3).Machine agricole de travail du sol selon l'une au moins des revendications 1 à 13, caractérisée par le fait que le disque (43) (ou la roue) est lié(e) à l'avant de la plaque (36) au moyen d'un bras de positionnement (53).Machine agricole de travail du sol selon la revendication 14, caractérisée par le fait que le bras de positionnement (53) est lié d'une part au disque (43) ou à la roue au moyen d'une articulation cylindrique (55) et d'autre part rigidement mais de manière démontable à la plaque (36).Machine agricole de travail du sol selon la revendication 14 ou 15, caractérisée par le fait que le bras de positionnement (53) est lié au centre de la face (54) du disque (43) (ou la face de la roue) opposée à celle (51) qui se trouve en regard de la muraille (34).Machine agricole de travail du sol selon l'une au moins des revendications 1 à 13, caractérisée par le fait que le disque (143) (ou la roue) est lié(e), en son centre et au moyen d'une articulation cylindrique (155), directement à l'avant de la plaque (136).Machine agricole de travail du sol selon l'une au moins des revendications 1 à 17, caractérisée par le fait que le soc de stabilisation latérale (127) est lié à la structure porteuse (128) au moyen d'une articulation cylindrique (160) d'axe (160A) dirigé au moins sensiblement horizontalement et au moins sensiblement perpendiculairement à la direction de travail (103).Machine agricole de travail du sol selon la revendication 18, caractérisée par le fait qu'en vue latérale, l'axe (160A) de l'articulation cylindrique (160) liant le soc de stabilisation latérale (127) à la structure porteuse (128) s'étend au moins sensiblement au même niveau que l'axe (155A) du disque (143).Machine agricole de travail du sol selon la revendication 18 ou 19, caractérisée par le fait qu'au moins une butée (161, 162) limite le pivotement du soc de stabilisation latérale (127) par rapport à la structure porteuse (128) autour dudit axe (160A).Machine agricole de travail du sol selon l'une au moins des revendications 18 à 20, caractérisée par le fait que le soc de stabilisation latérale (127) comporte un deuxième disque (157) :- qui est agencé derrière l'articulation cylindrique (160) liant le soc de stabilisation latérale (127) à la structure porteuse (128) et près de l'extrémité longitudinale arrière de la plaque (136), compte tenu du sens de travail (103) ;- dont la partie inférieure (159) est agencée, en vue latérale lorsque la forme allongée de la plaque (136) s'étend horizontalement, plus bas que la partie inférieure (145) de la plaque (136) et au moins sensiblement au même niveau que la partie inférieure (144) du premier disque (143) ;
et
- qui est lié à la plaque (136) au moyen d'une articulation cylindrique (158) d'axe (158A) dirigé au moins sensiblement horizontalement et au moins sensiblement perpendiculairement à la direction de travail (103).
Machine agricole de travail du sol selon la revendication 21, caractérisée par le fait que le diamètre extérieur du deuxième disque (157) est au moins sensiblement égal au diamètre extérieur (149) du premier disque (143).Machine agricole de travail du sol selon la revendication 22, caractérisée par le fait qu'en vue latérale, l'axe (155A) autour duquel peut tourner le premier disque (143) et l'axe (158A) autour duquel peut tourner le deuxième disque (157) sont au moins sensiblement équidistants de l'axe (160A) de l'articulation cylindrique (160) liant le soc de stabilisation latérale (127) à la structure porteuse (128).Machine agricole de travail du sol selon l'une au moins des revendications 1 à 23, caractérisée par le fait que la structure porteuse (28 ; 128) comporte un dispositif de sécurité (35) qui permet au soc de stabilisation latérale (27 ; 127), lorsqu'il heurte un obstacle, de se dégager de la raie (22 ; 122).Machine agricole de travail du sol selon l'une au moins des revendications 1 à 24, caractérisée par le fait que la structure porteuse (28 ; 128) comporte un quadrilatère déformable (32) qui a au moins sensiblement la forme d'un parallélogramme et qui peut être déformé par au moins un vérin hydraulique (33).
说明书全文

La présente invention concerne une machine agricole de travail du sol comportant :

  • un châssis ;
  • un rotor supporté par ledit châssis, muni d'outils de travail du sol, et entraîné positivement par une source motrice autour de son axe longitudinal qui s'étend obliquement par rapport à la direction de travail de ladite machine, de sorte qu'à sa partie frontale, les outils de travail du sol se déplacent vers le sol, et qu'au moins un desdits outils de travail du sol est destiné à réaliser une raie ;

    et

  • un soc de stabilisation latérale qui est lié au châssis au moyen d'une structure porteuse, et qui comporte une plaque de forme allongée destinée à venir s'appuyer contre la muraille de ladite raie.

Il est connu dans l'état de la technique une telle machine attelée à un tracteur.

Son rotor comporte un arbre central sur lequel sont agencés des flasques régulièrement espacés les uns des autres. Chaque flasque est équipé d'un disque bombé dont la concavité est dirigée vers l'extrémité du rotor la plus en avant, compte tenu du sens de travail. A la périphérie extérieure de la face postérieure de chaque disque bombé sont agencées des bêches de manière équidistante. Par ailleurs, à chaque disque bombé est associé un décrotteur-versoir correspondant qui est fixé au châssis et qui collabore avec la face antérieure dudit disque bombé. Le disque bombé le plus en arrière, compte tenu du sens de travail, peut ainsi avec ses bêches et le décrotteur-versoir correspondant réaliser une raie contre la muraille de laquelle vient s'appuyer le soc de stabilisation latérale. Celui-ci est lié au châssis par l'intermédiaire d'un parallélogramme déformable qui s'étend dans un plan vertical dirigé suivant la direction de travail.

Un vérin hydraulique agencé entre le parallélogramme déformable et le châssis permet à l'utilisateur de commander le déplacement en hauteur du soc depuis la cabine du tracteur. Ainsi, l'utilisateur peut aisément intensifier l'action du soc afin de compenser de manière adéquate la poussée latérale engendrée par le rotor.

Entre le soc et le parallélogramme déformable est, par ailleurs, agencé un dispositif de sécurité. Grâce à ce dispositif de sécurité, le soc peut s'escamoter lorsqu'il heurte un obstacle qu'il ne peut franchir.

Le soc, quant à lui, comporte une plaque et une pointe. La plaque a, comme dit précédemment, une forme allongée et est destinée à s'appuyer contre la muraille de la raie. A l'avant de la partie inférieure de la plaque est agencée la pointe. Celle-ci s'étend vers l'avant et vers le bas, de sorte qu'au travail, le soc s'enfonce dans le sol lorsque la machine se déplace vers l'avant, compte tenu du sens de travail. L'avant de la plaque comporte en sus un décrochement dirigé vers le haut, de sorte qu'au travail la partie avant du décrochement soit la plus éloignée de la muraille. En outre, l'arête frontale de la plaque est verticale à sa partie supérieure et est dirigée vers l'avant et vers le bas à sa partie inférieure.

Grâce à la plaque de forme allongée, la poussée latérale engendrée par le rotor est parfaitement encaissée. Par ailleurs, comparé à un disque, sa forme allongée lui confère un encombrement réduit. En sus, du fait que le soc comporte une pointe, l'utilisateur peut le faire pénétrer aisément dans le sol. Du reste, le décrochement de la plaque consolide la muraille de la raie avec les mottes qui se trouvent sur sa trajectoire. Cette machine connue travaille donc de manière satisfaisante dans les terrains couramment rencontrés.

Mais, dans les sols pierreux par exemple, il s'avère cependant que cette machine présente quelques inconvénients.

En effet, lorsque la pointe du soc ou l'arête frontale inférieure de la plaque heurte une grosse pierre ou un obstacle équivalent présent en partie au moins au fond de la raie, le soc a tendance à se bloquer ou à s'engouffrer sous l'obstacle. Dans ce dernier cas, cela peut entraîner la remontée de l'obstacle qui risque alors d'entraver le bon déroulement des travaux ultérieurs tel le passage d'une herse rotative ou d'un semoir.

Toutefois, dans la plupart des cas, le soc reste bloqué, ce qui déclenche inévitablement le dispositif de sécurité et interrompt le travail.

Le but de la présente invention est, tout en conservant au soc de stabilisation latérale les avantages issus de la plaque de forme allongée, d'améliorer cette machine agricole de travail du sol en rendant le soc de stabilisation latérale moins sensible aux obstacles.

A cet effet, la machine agricole de travail du sol selon l'invention est caractérisée par le fait que le soc de stabilisation latérale comporte un disque (ou une roue) de périphérie circulaire ou quelconque :

  • qui est agencé(e) en partie au moins à l'avant de ladite plaque ;
  • dont la partie inférieure s'étend au moins sensiblement au même niveau que la partie inférieure de la plaque ;

    et

  • qui peut tourner dans un plan dirigé au moins sensiblement suivant la direction de travail et s'étendant vers le haut.

De ce fait, le disque ou la roue peut rouler pardessus les obstacles présents au fond de la raie et déplacer ainsi le soc de stabilisation latérale en hauteur pour lui permettre de progresser en toute sécurité.

Par ailleurs, du fait de leur forme, le disque ou la roue ne remonte pas à la surface les obstacles rencontrés.

Du reste, la rotation du disque ou de la roue facilite la progression du soc de stabilisation latérale, d'où une réduction de l'effort de traction.

Selon une autre caractéristique de l'invention, le disque ou la roue a, en vue latérale, un diamètre extérieur au moins égal à la hauteur de la plaque. Grâce à cette caractéristique, le disque ou la roue peut rouler aisément par-dessus les gros obstacles.

Dans une réalisation particulièrement avantageuse, le disque ou la roue peut tourner autour d'un axe qui contient le centre du disque ou de la roue, et qui s'étend au moins sensiblement horizontalement et au moins sensiblement perpendiculairement à la direction de travail.

Pour faciliter la progression du soc de stabilisation latérale dans la raie, la périphérie du disque pourra par exemple être circulaire et comporter au moins un chanfrein. En outre, l'adjonction de crénelures peut favoriser la rotation du disque.

Selon une caractéristique supplémentaire de l'invention, il est prévu que le plan dans lequel peut tourner le disque soit vertical et fasse, en vue de dessus, avec un autre plan vertical qui est dirigé suivant la direction de travail, un angle compris entre 0° et 15°, de telle sorte qu'au travail la partie avant du disque soit la plus éloignée de la muraille.

Dans ce cas, ledit angle pourra être tel, qu'en vue de dessus, la plaque se trouve au moins sensiblement dans le prolongement du disque, compte tenu du sens de travail.

En outre, la face du disque qui, au travail, se trouve en regard de la muraille peut être au moins sensiblement plane. De ce fait, les mottes de terre rencontrées par le disque peuvent aisément être déplacées par ladite face vers la muraille.

Selon une autre caractéristique supplémentaire de l'invention, il est prévu que la partie arrière du disque se situe, en vue de dessus, au moins sensiblement dans le voisinage de l'avant de la plaque, compte tenu du sens de travail.

Une solution intéressante est obtenue lorsque la plaque comporte à l'avant un décrochement dirigé vers le haut, de sorte qu'au travail la partie avant du décrochement soit la plus éloignée de la muraille et que la partie arrière du disque s'étende au moins sensiblement dans le voisinage dudit décrochement.

Dans une telle solution, il peut être particulièrement avantageux qu'au travail la partie arrière du disque s'étende en vue de dessus entre la muraille et le décrochement de la plaque.

La plaque, quant à elle, est constituée par au moins un élément plat destiné à venir en contact avec la muraille de la raie. En sus, la plaque peut comporter un support auquel est (sont) lié(s) ledit (lesdits) élément(s) plat(s) et qui est lié à la structure porteuse. De plus, la hauteur de la plaque doit être au minimum de 20 cm, de sorte à pouvoir encaisser la poussée latérale engendrée par le rotor. Une plaque de hauteur inférieure à 20 cm risque en effet de s'enfoncer latéralement dans la muraille sous l'action de la poussée latérale. De ce fait, il est avantageux que dans les conditions normales de travail, la hauteur de la plaque soit au moins sensiblement identique à la hauteur de la muraille, donc à la profondeur de travail du soc. En pratique, une hauteur de plaque d'environ 34 cm est particulièrement avantageuse puisqu'elle correspond à la profondeur moyenne de travail du soc de stabilisation latérale qui est généralement supérieure à la profondeur de la raie.

Pour éviter une usure prématurée de la plaque, il est également possible dans l'invention, qu'une pointe soit agencée à l'avant de la partie inférieure de ladite plaque. Cette pointe pourra avantageusement s'étendre au moins sensiblement suivant la direction de travail.

Dans une réalisation intéressante, le disque (ou la roue) peut être lié(e) à l'avant de la plaque au moyen d'un bras de positionnement. Ce dernier sera par exemple lié d'une part au disque ou à la roue au moyen d'une articulation cylindrique et d'autre part rigidement, mais de manière démontable à la plaque.

En particulier, le bras de positionnement pourra être lié au centre de la face du disque (ou de la face de la roue) opposée à celle qui se trouve en regard de la muraille.

Dans une deuxième réalisation intéressante, le disque (ou la roue) peut être lié(e) en son centre et au moyen d'une articulation cylindrique, directement à l'avant de la plaque.

Globalement, il est également prévu selon l'invention, que le soc de stabilisation latérale soit lié à la structure porteuse au moyen d'une articulation cylindrique d'axe dirigé au moins sensiblement horizontalement et au moins sensiblement perpendiculairement à la direction de travail. De ce fait, le soc de stabilisation latérale peut pivoter par rapport à la structure porteuse autour dudit axe pour s'adapter au relief du fond de la raie.

Avantageusement, ledit axe s'étend au moins sensiblement au même niveau que l'axe du disque.

Dans certaines réalisations, au moins une butée pourra limiter le pivotement du soc de stabilisation latérale par rapport à la structure porteuse autour dudit axe.

Selon une autre caractéristique de l'invention, il est prévu que le soc de stabilisation latérale comporte un deuxième disque :

  • qui est agencé derrière l'articulation cylindrique liant le soc de stabilisation latérale à la structure porteuse et près de l'extrémité longitudinale arrière de la plaque compte tenu du sens de travail ;
  • dont la partie inférieure est agencée, en vue latérale lorsque la forme allongée de la plaque s'étend horizontalement, plus bas que la partie inférieure de la plaque et au moins sensiblement au même niveau que la partie inférieure du premier disque ;

    et

  • qui est lié à la plaque au moyen d'une articulation cylindrique d'axe dirigé au moins sensiblement horizontalement et au moins sensiblement perpendiculairement à la direction de travail.

De ce fait, au travail, le soc de stabilisation latérale peut rouler sur le fond de la raie à l'aide des deux disques et pivoter autour de l'articulation cylindrique qui le lie à la structure porteuse pour s'adapter au mieux au relief du sol.

Avantageusement, le diamètre extérieur du deuxième disque est au moins sensiblement égal au diamètre extérieur du premier disque.

Dans cette solution avantageuse, l'axe autour duquel peut tourner le premier disque et l'axe autour duquel peut tourner le deuxième disque pourront être au moins sensiblement équidistants de l'axe de l'articulation cylindrique liant le soc de stabilisation latérale à la structure porteuse.

Selon une autre caractéristique supplémentaire de l'invention, il est prévu que la structure porteuse comporte un dispositif de sécurité qui permet au soc de stabilisation latérale, lorsqu'il heurte un obstacle, de se dégager de la raie.

En sus, il est prévu que la structure porteuse comporte un quadrilatère déformable qui a au moins sensiblement la forme d'un parallélogramme et qui peut être déformé par au moins un vérin hydraulique au moyen duquel (desquels) l'utilisateur peut aisément déplacer le soc de stabilisation latérale en hauteur.

D'autres caractéristiques de l'invention apparaissent dans la description suivante de deux exemples non limitatifs de réalisation de l'invention faites en référence au dessin annexé sur lequel ;

  • la figure 1 représente une vue de dessus d'une machine agricole de travail du sol selon l'invention liée à un tracteur agricole et placée dans une position de travail;
  • la figure 2 représente une vue en perspective trois quarts avant de ladite machine agricole de travail du sol ;
  • la figure 3 représente une vue latérale (suivant la flèche III de la figure 1), à une échelle agrandie, du soc de stabilisation latérale et d'une partie de la structure porteuse ;
  • la figure 4 représente une vue de dessus, suivant la flèche IV de la figure 3, du soc de stabilisation latérale et d'une partie de la structure porteuse ;
  • la figure 5 représente une vue latérale d'un autre exemple de réalisation de soc de stabilisation latérale lié à une structure porteuse ;
  • la figure 6 représente une vue de dessus, suivant la flèche VI définie sur la figure 5, du soc de stabilisation latérale lié à une structure porteuse.

Les figures 1 à 4 montrent une machine agricole de travail du sol (1) selon l'invention. Sur la figure 1, celle-ci est liée à un tracteur agricole (2).

Dans la description, les notions suivantes "avant" et "arrière" sont définies par rapport au sens d'avance (3 ; 103) de la machine de travail du sol (1 ; 101) lors du travail, et les notions "droite" et "gauche" sont définies en regardant ladite machine (1 ; 101) par le dessus (figure 1 ou 4 ; figure 6) suivant la direction et le sens d'avance (3 ; 103) au travail.

Sur les figures 1 et 2, il apparaît que la machine (1) est destinée à être liée au tracteur agricole (2) au moyen d'une structure d'attelage (4). La partie arrière de cette structure d'attelage (4) est liée au châssis (6) de la machine (1). Ce châssis (6) est composé par une traverse (7) qui comporte à chacune de ses extrémités longitudinales une paroi latérale (8, 9) s'étendant vers le bas. En vue de dessus, le châssis (6) s'étend obliquement par rapport à la direction de travail (3) de sorte que, dans cet exemple de réalisation, son extrémité droite soit située plus en avant que son extrémité gauche.

Entre les extrémités inférieures des parois latérales (8, 9) est agencé un rotor (10), dont l'axe longitudinal (10A) s'étend au moins sensiblement parallèlement à la traverse (7) du châssis (6).

Le rotor (10), connu de l'homme de l'art, comporte un arbre central (11) sur lequel sont agencés des flasques (12) régulièrement espacés les uns des autres. Chaque flasque (12) est équipé d'outils de travail du sol (13) qui, dans cet exemple de réalisation, comporte un disque bombé (14), dont la concavité est dirigée vers l'extrémité du rotor (10) la plus en avant. A la périphérie extérieure de la face postérieure de chaque disque bombé (14) sont encore agencées des bêches (15) de manière équidistante.

Pendant le travail, le rotor (10) est entraîné positivement (16) en rotation autour de son axe longitudinal (10A), de sorte qu'à sa partie frontale, les outils de travail du sol (13) se déplacent vers le sol. A cet effet, le châssis (6) comporte sensiblement au niveau du plan de symétrie du tracteur (2), un carter de renvoi (17) qui est constitué sous forme de boîte de vitesses. Ce carter de renvoi (17) reçoit, par l'intermédiaire d'un arbre télescopique à joints universels (18) (figure 1), le mouvement de rotation de l'arbre de prise de force (non représenté) du tracteur (2). Le carter de renvoi (17) entraîne alors un carter latéral (19) qui constitue la paroi latérale (9) de l'extrémité droite du châssis (6). Le carter latéral (19) transmet ensuite le mouvement de rotation, d'une façon connue de l'homme de l'art, au rotor (10).

Sur la figure 1, il apparaît également qu'à chaque disque bombé (14) du rotor (10) est associé un décrotteur-versoir (20) correspondant. Ce dernier est fixé à la traverse (7) du châssis (6) au moyen d'une structure de liaison (21), de sorte à pouvoir collaborer avec la face antérieure dudit disque bombé (14).

Au travail, la machine (1) est tirée par le tracteur (2) suivant le sens et là direction de travail (3). Simultanément, la prise de force dudit tracteur (2) entraîne en rotation le rotor (10) dans le sens positif (16) décrit précédemment. En tournant, les bêches (15) solidaires des disques bombés (14), arrachent chacune une motte de terre. Comme l'axe longitudinal (10A) du rotor (10) s'étend obliquement par rapport à la direction de travail (3), la bêche (15) imprime à la motte arrachée un mouvement qui est dirigé vers l'arrière et du côté de l'extrémité longitudinale du châssis (6) la plus en avant.

Le transport de la motte arrachée par la bêche (15) est assuré par le disque bombé (14). Sa surface concave favorise substantiellement ce transport et commence la rotation de la motte. Celle-ci est ensuite reprise par le décrotteur-versoir (20) associé, qui la dégage du disque bombé (14) et parachève son retournement. Toutes les mottes sont ainsi déplacées vers l'arrière et du côté de l'extrémité longitudinale du châssis (6) la plus en avant. De ce fait, les outils de travail du sol (13) les plus en arrière du rotor (10) génèrent une raie (22) (figure 1). Celle-ci pourra éventuellement être recouverte lors du prochain passage par les mottes que déplacent les outils de travail du sol (13) les plus en avant du rotor (10).

On voit aussi qu'à l'avant de ses extrémités longitudinales, le châssis (6) est muni de deux roues de soutènement (23, 24) qui roulent sur le sol pendant le travail. Ces roues de soutènement (23, 24) sont liées au châssis (6) au moyen d'une structure de support (25, 26) respective constituée de telle sorte que l'on puisse modifier verticalement les positions des roues (23, 24) par rapport au châssis (6).

La roue (24) située la plus en avant du châssis (6), s'étend devant le carter latéral (19) et est destinée à rouler, durant le travail, dans la raie (22P) générée lors du précédent passage.

Derrière l'extrémité la plus en arrière du châssis (6) est, par ailleurs, agencé un soc de stabilisation latérale (27) qui, au travail, s'engage dans la raie (22). Ce soc (27), qui sera décrit plus en détail ultérieurement, est destiné à absorber la poussée latérale créée par l'action du rotor (10) sur le sol.

Une structure porteuse (28) qui s'étend, en vue de dessus, suivant la direction de travail (3) lie le soc (27) au châssis (6). A cet effet, la structure porteuse (28) comporte deux bielles (30, 31), toutes les deux liées de façon articulée d'une part près du châssis (6) et d'autre part près du soc (27), de sorte à former un quadrilatère (32) vertical qui a au moins sensiblement la forme d'un parallélogramme. Ce quadrilatère (32) autorise ainsi au soc (27) un déplacement en hauteur au moins sensiblement parallèle au sol.

Un vérin hydraulique (33) à double effet permet à l'utilisateur de déformer le quadrilatère déformable (32) afin d'amener le soc (27) par exemple dans sa position de transport (non représentée) dans laquelle il est relevé, ou dans une position de travail (figures 1 à 4), dans laquelle il est destiné à venir en contact avec la muraille (34) de la raie (22). Au travail, l'utilisateur peut également, par l'intermédiaire du vérin hydraulique (33), intensifier à tout moment l'action du soc (27) s'il se produit un déplacement latéral de la machine (1) dû par exemple à un changement local de la structure du sol.

Dans cet exemple de réalisation, la structure porteuse (28) comporte également un dispositif de sécurité mécanique (35) (figure 3), qui permet au soc (27) lorsqu'il heurte un obstacle de se dégager de la raie (22). Ce dispositif de sécurité (35) est agencé entre le quadrilatère (32) et le soc (27), et peut aisément être réenclenché sous l'effet de la gravité par simple relevage du soc (27) ou de la machine (1).

Sur les figures 3 et 4 apparaît plus particulièrement le soc (27). Celui-ci comporte notamment une plaque (36) et une pointe (37). La plaque (36) s'étend en grande partie, au moins sensiblement parallèlement à un plan vertical (38) dirigé suivant la direction de travail (3). Elle est réalisée au moyen de deux éléments plats (39, 40) et d'un support (41). Les deux éléments plats (39, 40) sont liés côte à côte -l'un derrière l'autre- au support (41) à l'aide de vis d'assemblage (42). La plaque (36) ainsi constituée est destinée à venir s'appuyer par l'intermédiaire desdits éléments plats (39, 40) contre la muraille (34) de la raie (22). A l'avant, la plaque (36) comporte, en sus, un décrochement (39D) qui est dirigé vers le haut, de sorte qu'au travail, la partie avant du décrochement (39D) soit la plus éloignée de ladite muraille (34). Du reste, à l'avant de la partie inférieure (45) de la plaque (36) est agencé la pointe (37) qui, dans cet exemple de réalisation selon l'invention est formée par l'avant du support (41) et qui s'étend au moins sensiblement suivant la direction de travail (3).

Afin d'éviter que la plaque (36) ne heurte de grosses pierres ou des obstacles équivalents, ce qui déclencherait inévitablement le dispositif de sécurité (35) et interromprait le travail, le soc (27) comporte également un disque (43). Celui-ci s'étend en partie au moins devant la plaque (36), de sorte à protéger cette dernière des obstacles présents dans la raie (22). Avantageusement, le disque (43) est monté tournant par rapport à la plaque (36), et sa partie inférieure (44) s'étend au moins sensiblement au même niveau que la partie inférieure (45) de la plaque (36). Dans cet exemple de réalisation selon l'invention, la périphérie extérieure du disque (43) est circulaire et munie d'au moins un chanfrein (46). De plus, le disque (43) s'étend dans un plan (47) au moins sensiblement vertical qui, en vue de dessus, fait avec un plan vertical (38) dirigé suivant la direction de travail (3), un angle (α) compris entre 0° et 15°, de telle sorte que la partie avant (48) du disque (43) soit destinée à être la plus éloignée de la muraille (34) de la raie (22). Ainsi, au travail, les mottes de terre rencontrées dans la raie (22) par le soc (27) peuvent être déplacées vers la muraille (34) par le disque (43) lorsque ledit angle (α) le permet.

Le diamètre extérieur (49) du disque (43) est, par ailleurs, au moins égal à la hauteur (50),de la plaque (36), ce qui permet au disque (43) de rouler aisément pardessus les obstacles présents au fond de la raie (22). Il ne risque donc pas d'y avoir de remontée de pierres. En outre, la rotation du disque (43) facilite la progression du soc (27), d'où une réduction de l'effort de traction. De plus, la hauteur (50) de la plaque (36) doit être au minimum de 20 cm, de sorte à pouvoir encaisser la poussée latérale engendrée par le rotor (10). Une plaque (36) de hauteur (50) inférieure à 20 cm risque en effet de s'enfoncer latéralement dans la muraille (34) sous l'action de la poussée latérale du rotor (10). De ce fait, il est avantageux que dans les conditions normales de travail, la hauteur (50) de la plaque (36) soit au moins sensiblement identique à la hauteur de la muraille (34), donc à la profondeur de travail du soc (27). En effet, dans l'exemple représenté sur les figures 3 et 4, la hauteur (50) de la plaque (36) est d'environ 34 cm, ce qui correspond en général à la profondeur moyenne de travail du soc de stabilisation latérale (27).

Sur la figure 4, il apparaît également qu'en vue de dessus, la plaque (36) se trouve au moins sensiblement dans le prolongement du disque (43), compte tenu du sens et de la direction de travail (3). Sur cette figure, on voit aussi que la partie arrière (52) du disque (43) s'étend, au travail, entre la muraille (34) et le décrochement (39D) de la plaque (36). En sus, la face (51) du disque (43) qui se trouve en regard de la muraille (34) est au moins sensiblement plane.

Un tel agencement permet donc au disque (43) de s'appuyer contre la muraille (34) et de la consolider.

Du reste, dans cet exemple de réalisation selon l'invention, le disque (43) est lié au soc (27) à l'aide d'un bras de positionnement (53). Celui-ci est d'une part lié au centre de la face (54) du disque (43) opposée à celle (51) qui se trouve en regard de la muraille (34) à l'aide d'une articulation cylindrique (55) d'axe géométrique (55A) qui est dirigé au moins sensiblement perpendiculairement au plan (47) du disque (43). D'autre part, le bras de positionnement (53), est lié rigidement au support (41) de la plaque (36) au moyen d'au moins un organe d'assemblage (56).

Les figures 5 et 6 montrent un autre exemple de réalisation de machine agricole de travail du sol (101) selon l'invention. Celle-ci comporte quasiment les mêmes moyens que la machine agricole de travail du sol (1) précédente et ne sera de ce fait pas redécrite. Néanmois, cette machine agricole de travail du sol (101) comporte un soc de stabilisation latérale (127) différent de celui dont est munie la machine agricole de travail du sol (1) précédente.

Ce soc (127) comporte une plaque (136) et deux disques (143, 157). Comme dans la machine agricole de travail du sol (1) précédente, la plaque (136) s'étend, en grande partie, au moins sensiblement parallèlement à un plan vertical (138) dirigé suivant la direction de travail (103). Elle est réalisée au moyen de deux éléments plats (139, 140) et d'un support (141). Les deux éléments plats (139, 140) sont liés côte à côte -l'un derrière l'autre- au support (141) à l'aide de vis d'assemblage (142). La plaque (136) ainsi constituée est destinée à venir s'appuyer par l'intermédiaire desdits éléments plats (139, 140) contre la muraille (134) de la raie (122). A l'avant, la plaque (136) comporte, en sus, un décrochement (139D) qui est dirigé vers le haut, de sorte qu'au travail la partie avant du décrochement (139D) soit la plus éloignée de ladite muraille (134). En outre, le décrochement (139D) de la plaque (136) fait, en vue de dessus, avec un plan vertical (138) dirigé suivant la direction de travail (103) un angle d'environ 5°.

Le premier des deux disques (143, 157), quant à lui, s'étend entre la muraille (134) et le décrochement (139D) de la plaque (136). Ce disque (143) est agencé parallèlement audit décrochement (139D) auquel il est lié à l'aide d'une articulation cylindrique (155). L'axe géométrique (155A) de cette articulation cylindrique (155) s'étend au moins sensiblement perpendiculairement audit décrochement (139D) et contient le centre du disque (143). De ce fait, ce disque (143) peut tourner dans un plan vertical (147) qui, en vue de dessus, fait avec un plan vertical (138) dirigé suivant la direction de travail (103), un angle (β) d'environ 5°. Sur la figure 6, il apparaît également que la plaque (136) se trouve au moins sensiblement dans le prolongement du disque (143), compte tenu du sens et de la direction de travail (103). Avantageusement, le diamètre extérieur (149) du disque (143) est par ailleurs au moins égal à la hauteur (150) de la plaque (136). Du reste, la face (151) du disque (143) qui se trouve en regard de la muraille (134) est au moins sensiblement plane.

Bien que dans l'exemple de réalisation selon l'invention qui apparaît sur les figures 5 et 6, la périphérie extérieure du premier disque (143) soit circulaire et crénelée, et que sa partie inférieure (144) s'étende plus bas que la partie inférieure (145) de la plaque (136), il va de soi que les avantages du disque (43) de la machine précédente (1) sont aussi valables pour le premier disque (143) ci-décrit.

Le deuxième disque (157), quant à lui, s'étend près de l'extrémité longitudinale arrière de la plaque (136), à laquelle il est lié par son centre, au moyen d'une articulation cylindrique (158). L'axe géométrique (158A) de cette articulation cylindrique (158) s'étend au moins sensiblement horizontalement et au moins sensiblement perpendiculairement à la direction de travail (103). Comme visible sur les figures 5 et 6, le deuxième disque (157) a au moins sensiblement la même forme et les mêmes dimensions que le premier disque (143). En sus, la partie inférieure (159) du deuxième disque (157) est agencée, en vue latérale, au moins sensiblement au même niveau que la partie inférieure (144) du premier disque (143), donc sous la partie inférieure (145) de la plaque (136). De ce fait, lors du travail, le soc (127) peut rouler sur le fond de la raie (122), ce qui diminue l'effort de traction nécessaire à l'avancement du soc (127). La surface de contact entre la partie inférieure (144 resp. 159) de chaque disque (143 resp. 157) et le sol, est en outre très réduite, donc l'utilisation peut aisément faire pénétrer le soc (127) dans le sol lorsqu'il le désire.

Sur les figures 5 et 6, il apparaît aussi que le support (141) du soc (127) est lié à la structure porteuse (128) au moyen d'une articulation cylindrique (160). L'axe géométrique (160A) de cette articulation cylindrique (160) s'étend au moins sensiblement horizontalement et au moins sensiblement perpendiculairement à la direction de travail (103). De ce fait, au travail, le soc (127) peut s'adapter aisément au relief du fond de la raie (122) par pivotement autour dudit axe géométrique (160A). En particulier, dans cet exemple de réalisation selon l'invention, ledit axe géométrique (160A) s'étend, en sus, au moins sensiblement au même niveau que l'axe géométrique (155A) du premier disque (143) et au moins sensiblement au milieu des axes géométriques (155A, 158A) des deux disques (143, 157).

Dans cet exemple de réalisation selon l'invention, le support (41) du soc (127) est, du reste, muni de deux butées (161, 162) qui sont agencées de part et d'autre de l'articulation (160) permettant au soc (127) de s'adapter au relief du sol. Chaque butée (161 resp. 162) est destinée à venir en contact avec la structure porteuse (128) dès que le soc (127) s'écarte excessivement de sa position de travail, dans laquelle sa forme allongée s'étend horizontalement. Ainsi, le travail peut se dérouler sans risque de capotage du soc (127).

Finalement, différentes modifications restent possibles, notamment en ce qui concerne la constitution des divers éléments ou par substitution d'équivalents techniques, sans pour autant sortir du domaine de protection défini dans les revendications.

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