POCHE SOUPLE A MANCHON D'OUVERTURE |
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申请号 | EP13756410.0 | 申请日 | 2013-08-27 | 公开(公告)号 | EP2892491B1 | 公开(公告)日 | 2016-11-16 |
申请人 | M3AT SA; | 发明人 | CAILLETEAU, Benoît; | ||||
摘要 | |||||||
权利要求 | |||||||
说明书全文 | La présente invention concerne une poche comprenant une enveloppe souple ayant une ouverture dont le bord est fixé aux deux parois opposées d'un manchon de renfort en saillie à l'extérieur de l'enveloppe, la poche étant susceptible d'adopter une configuration aplatie dans laquelle lesdites parois sont situées l'une contre l'autre, et une configuration d'utilisation dans laquelle ces parois forment un canal qui maintient l'ouverture ouverte. Des poches de ce type sont connues, par exemple par le brevet Ces poches sont couramment réalisées au moyen de feuilles minces de matière plastique ou autre matériaux, éventuellement transparentes, dotées de la souplesse voulue. Pour l'ouverture, la manipulation du manchon consiste à déformer ses parois de manière à les contraindre à adopter une forme convexe (vue de l'extérieur de la poche) dans laquelle elles forment entre elles le canal qui maintient l'ouverture ouverte. Les dimensions transversales de l'ouverture sont choisies de manière appropriée à l'usage que l'on souhaite faire de la poche. Généralement, notamment lorsque la poche est destinée à recevoir des urines, le manchon doit pouvoir être manipulé d'une seule main, et ses dimensions transversales sont alors en général nettement inférieures aux dimensions transversales courantes de la poche. La demande de brevet Un autre problème posé à l'élaboration de poche du type précité est celui d'assurer une conduction efficace des produits (en particulier des déchets tels que de l'urine) à l'intérieur de l'enveloppe. Lorsque la poche est utilisée comme poche à urine à usage masculin, cette conduction ne pose normalement pas de difficulté particulière, dès lors que la verge de l'utilisateur est introduite à travers l'ouverture (dans le canal formé par le manchon) sur une longueur suffisante. De même, pour toutes les applications au recueillement de déchets, dans lesquelles les déchets sont introduits dans la poche à partir d'un organe ou d'embout saillant pouvant être introduit dans la poche à travers l'ouverture sur une longueur suffisante, la conduction des produits à l'intérieur de la poche ne pose pas de difficulté. En revanche, des difficultés existent lorsque l'on souhaite utiliser les poches pour d'autres applications dans lesquelles l'organe à partir duquel les produits s'écoulent n'est pas du type pouvant être introduit sur une longueur suffisante dans le canal formé par le manchon. C'est par exemple le cas lorsque les poches sont utilisées comme poches à urine à usage féminin. En effet, dans ce cas, les produits, par exemple l'urine, sont introduits dans la poche à partir de l'extrémité du manchon qui fait saillie à l'extérieur de l'enveloppe. Ainsi, avant de parvenir à l'intérieur de l'enveloppe, ces produits s'écoulent contre la paroi du manchon. Il s'agit donc de faire en sorte que celle-ci procure une certaine étanchéité. Une solution consisterait évidemment à réaliser le manchon à partir d'un tube à contour fermé qui, pour permettre le passage de la poche en configuration aplatie, serait aplati sur lui-même selon deux lignes de pliure parallèles à son axe longitudinal, délimitant les bords longitudinaux des deux parois du manchon aplati situé en vis-à-vis. Toutefois, ceci imposerait de fabriquer initialement le manchon en volume, puis de l'aplatir, ce qui grèverait les coûts de production. Par ailleurs, pour faire passer le manchon de sa configuration aplatie à sa configuration en canal, on presse les deux bords longitudinaux opposés du manchon aplati de manière à rapprocher ces bords l'un de l'autre. Pour que cette pression déforme les deux parois opposées en les écartant l'une de l'autre, il serait souhaitable que ces parois soient initialement légèrement convexes (vues de l'extérieur). Ceci pose des difficultés en termes de stockage des poches avant leur utilisation, puisque, si les parois du manchon aplati doivent rester quelques peu convexes, la poche n'est pas parfaitement aplatie et est donc plus encombrante qu'une poche réellement aplatie. On pourrait également imaginer de réaliser le manchon à partir de deux éléments de paroi plans soudés l'un à l'autre selon leurs bords longitudinaux en vis-à-vis, pour avoir un contour fermé. Dans ce cas, cette soudure présente en elle-même une étape de fabrication qui augmente les coûts de production. De plus, partant de deux éléments plans soudés selon leurs bords longitudinaux, les chances qu'une pression sur les bords longitudinaux du manchon ainsi formé tende à conformer ce manchon en canal sont seulement de 50 %. En effet, une telle pression permet soit de rendre convexes les deux parois opposées, en réalisant ainsi le canal souhaité, soit de rendre convexe seulement l'une des parois, tandis que l'autre paroi adopte une forme concave et reste plaquée contre la paroi convexe. Dans ce dernier cas, le canal ne se forme pas et la manipulation d'une seule main est hasardeuse. L'invention vise à remédier aux inconvénients précités en proposant une poche dont le manchon soit très simple à fabriquer et puisse être aisément manipulé de manière fiable, tout en permettant l'étanchéité relative souhaitée dans la partie de ce manchon qui, en configuration d'utilisation, forme un canal de conduction des déchets vers l'intérieur de la poche. Ce but est atteint grâce au fait que la première paroi du manchon présente une première bande longitudinale d'extrémité en saillie latérale par rapport au bord de l'ouverture, tandis que la deuxième paroi présente un bord de glissement apte à glisser contre la face interne de ladite première bande longitudinale lors du passage de la poche de sa configuration aplatie à sa configuration d'utilisation. Grâce à ces dispositions, lorsque l'on presse les bords longitudinaux du manchon de manière à les rapprocher l'un de l'autre, on déforme de manière certaine la première paroi du manchon en la rendant convexe, grâce au fait que la première bande longitudinale d'extrémité est en saillie latérale par rapport aux bords de l'ouverture. Cette première paroi étant rendue convexe, le bord de glissement de la deuxième paroi n'a pas d'autre choix que de glisser contre la face interne, qui est donc concave, de la première bande longitudinale. En conséquence, la deuxième paroi s'écarte de la première paroi, de sorte que ces deux parois forment entre elles le canal souhaité pour maintenir l'ouverture ouverte. De plus, le contact de glissement entre le bord de glissement et la deuxième paroi procure une certaine étanchéité évitant, lorsque les déchets sont introduits dans la poche, les fuites de ceux-ci par le bord du canal pourvu du bord de glissement et de la première bande longitudinale souhaitée. La poche selon l'invention trouve de nombreuses applications. En effet, la facilité de manipulation du manchon pour le conformer en canal est utile pour tous les types d'utilisation. L'amélioration de la conduction des produits le long du canal dans la poche est en particulier utile lorsque les produits s'écoulent à partir d'organes ne pouvant pas être introduits dans la poche. Elle est également utile lorsque les produits s'écoulent à partir d'organes qui peuvent être introduits dans la poche, puisque l'invention permet d'éviter les fuites sans qu'il ne soit nécessaire d'apporter un soin particulier à la profondeur d'introduction des organes en question dans la poche. Avantageusement, la deuxième paroi du manchon présente une deuxième bande longitudinale d'extrémité en saillie latérale par rapport au bord de l'ouverture, le bord de glissement étant formé sur cette deuxième bande. Dans ce cas, la pression sur les bords longitudinaux opposés du manchon déforme également directement la deuxième paroi de manière à la rendre convexe, la deuxième bande longitudinale d'extrémité pouvant glisser par rapport à la première par le bord de glissement qui est formé sur cette deuxième bande et qui glisse contre la face interne de la première. Il est cependant préférable que, sur au moins une portion, la première bande longitudinale dépasse davantage latéralement que la deuxième bande longitudinale par rapport au bord de l'ouverture. Avantageusement, le bord de glissement est incliné, au moins dans un tronçon initial proche de l'ouverture, dans le sens allant en augmentant la largeur de la deuxième paroi en s'éloignant de l'ouverture. Ainsi, la base du bord de glissement adjacente à l'ouverture peut être pratiquement dans le prolongement du bord de l'ouverture, sans dépasser latéralement par rapport à ce bord, tandis que le bord de glissement s'écarte latéralement du bord de l'ouverture à mesure qu'il s'éloigne de l'ouverture dans le sens axial. Lorsque l'on cherche à déformer le manchon, initialement aplati, pour conformer ses parois en canal, on exerce une pression sur les bords longitudinaux de ce manchon opposés, dans la région de la base de ce manchon, c'est-à-dire dans la région de l'ouverture de l'enveloppe. L'inclinaison du bord de glissement permet de faire en sorte que, par cette pression, le manchon forme une sorte de cornet, se déformant particulièrement aisément. Avantageusement, la deuxième paroi présente un décrochement latéral vers l'extérieur, à la base du bord de glissement. Ce décrochement latéral vers l'extérieur permet de caler la base du bord de glissement contre la base de la première bande longitudinale d'extrémité. On évite ainsi que, lors de la déformation du manchon, les deux parois de ce dernier ne se désaxent l'une par rapport à l'autre. Ceci favorise encore l'obtention de l'étanchéité relative souhaitée. De plus, ainsi qu'on le verra dans la suite, ce décrochement favorise le guidage des produits à l'intérieur de la poche. Avantageusement, les deux parois sont fixées entre elles par leurs bords longitudinaux respectivement opposés à la première bande longitudinale et au bord de glissement. En particulier, le manchon peut être fabriqué à partir d'un flan plat replié sur lui-même par une ligne de pliage qui forme un premier bord longitudinal des deux parois du manchon. Cependant, on peut parfaitement prévoir que, sur les deux bords longitudinaux du manchon soient prévus la première bande longitudinale et le bord de glissement précités. Par exemple, la première paroi du manchon peut présenter une première bande longitudinale sur chacun de ses deux bords opposés, alors que la deuxième paroi présente un bord de glissement (et éventuellement une deuxième bande longitudinale) sur chacun de ses deux bords opposés. On peut également prévoir que la première paroi présente une première bande longitudinale sur un bord et un bord de glissement (éventuellement formé sur une deuxième bande longitudinale) sur l'autre bord et qu'il en soit de même pour l'autre paroi. Avantageusement, la hauteur de dépassement du manchon par rapport à l'ouverture varie sur la largeur du manchon, entre une hauteur minimale mesurée au voisinage de l'une des extrémités latérales du manchon et une hauteur maximale mesurée au voisinage de l'extrémité latérale opposée. Dans ce cas, avantageusement, la hauteur maximale est mesurée au voisinage de l'extrémité latérale du manchon à laquelle se trouvent la première bande longitudinale d'extrémité et le bord de glissement. Avec la présente invention, une grande liberté de forme est laissée en ce qui concerne le bord libre du manchon opposé à l'ouverture. Ce bord peut être rectiligne, par exemple lorsque la poche est utilisée comme urinoir à usage masculin. Pour d'autres applications, par exemple lorsque la poche est utilisée comme un urinoir à usage féminin, une forme différente peut être donnée. Par exemple, en faisant varier la hauteur de dépassement du manchon, on permet une adaptation du bord libre de ce dernier à l'anatomie féminine. En effet, cette variation de hauteur peut être choisie de telle sorte que, lorsque le manchon est conformé en canal, le bord libre de ce dernier puisse se plaquer contre la vulve de la femme qui utilise la poche. Avantageusement, la poche comprend des moyens pour maintenir les parois du manchon dans leur conformation formant un canal. Par exemple, le manchon comporte deux languettes de maintien, respectivement portées par la première et par la deuxième paroi du manchon du côté opposé à l'ouverture de la poche, chacune de ces languettes présentant une tête libre séparée de la paroi qui la porte par une fente de blocage. Par cette simple conformation, en conformant les parois du manchon en canal, on peut amener la languette portée par la première paroi du manchon à l'intérieur de la languette portée par la deuxième paroi, alors que la première bande longitudinale qui est portée par la première paroi est, à l'inverse, située du côté extérieur de la deuxième paroi. Les deux parois sont alors maintenues l'une par rapport à l'autre. Avantageusement, le manchon présente un tronçon interne à l'enveloppe, ayant des pattes d'écartement, respectivement formées dans la continuité de chacune des deux parois du manchon et ayant des extrémités latérales libres aptes à s'écarter l'une de l'autre dans la configuration d'utilisation de la poche pour espacer les faces opposées de l'enveloppe souple. De telles pattes d'écartement sont connues par la demande de brevet Il est encore avantageux que, dans une région opposée à l'ouverture, l'enveloppe présente une ligne d'affaiblissement pouvant être rompue pour former une déchirure s'entendant jusqu'à l'espace interne de l'enveloppe. Ainsi, la poche peut être vidée par une manipulation simple. L'invention sera bien comprise et ses avantages apparaîtront mieux à la lecture de la description détaillée qui suit, d'un mode de réalisation représenté à titre d'exemple non limitatif. La description se réfère aux dessins annexés sur lesquels :
La poche 10 représentée sur la Dans l'exemple représenté, cette ouverture est ménagée à l'extrémité libre d'une portion de col 16 que présente l'enveloppe, dans laquelle la largeur de cette enveloppe est réduite. La poche comprend un manchon de renfort 18 qui est fixé en travers de l'ouverture 12A et fait saillie à l'extérieur de l'enveloppe. En l'espèce, le manchon comprend non seulement sa partie principale de manchon proprement dit, qui fait saillie au-delà de l'ouverture 12, mais également une portion interne 18A, qui est insérée dans l'ouverture de manière à s'étendre sur toute la largeur L de cette dernière. Par exemple, les feuilles qui forment l'enveloppe sont en matière plastique souple, tandis que le manchon est en matière plastique plus rigide. Ainsi, pour opérer la fixation du manchon avec l'enveloppe, il suffit de souder ou coller les feuilles de l'enveloppe aux parois du manchon. On voit ainsi sur la On constate également sur la Par ailleurs, sur l'un de ces côtés voisins de l'ouverture, la ligne de soudure 14 présente une autre ligne d'affaiblissement 15B, pouvant être également réalisée par des perçages discontinus. Cette ligne est à distance de l'espace interne de l'enveloppe et elle est orientée de telle sorte que sa déchirure ne peut pas se propager jusqu'à l'intérieur de l'enveloppe. Ainsi, lorsque la poche est pleine et que l'on souhaite la stocker avant de la vider, la ligne 15B peut être déchirée pour ménager une fente permettant d'accrocher la poche à un crochet ou analogue. On voit encore sur la On constate que la ligne d'affaiblissement 15B se trouve dans une région de la ligne de soudure dans laquelle toutes les différentes couches de feuilles sont présentes, de sorte que cette soudure est particulièrement résistante, ceci convenant à l'accrochage précédemment évoqué. L'invention s'intéresse tout particulièrement au manchon 18. Comme indiqué précédemment, il est soudé en travers de l'ouverture, sa partie interne 18A s'étendant sur toute la largeur L de l'ouverture 12A. On voit sur la De son côté, la deuxième paroi 20B du manchon présente un bord de glissement 32B qui est apte à glisser contre la face interne de la première bande 30A lors du passage de la poche de sa configuration aplatie à sa configuration d'utilisation. La En l'espèce, le bord de glissement 32B est formé sur le bord d'une deuxième bande longitudinale d'extrémité 30B qui fait partie de la deuxième paroi du manchon et est en saillie latérale par rapport au bord de l'ouverture. Sur au moins un tronçon, la bande 30B dépasse moins latéralement que la bande 30A. En l'espèce, le dépassement latéral de la bande 30B varie du fait de l'inclinaison du bord de glissement 32B. La valeur maximale de ce dépassement latéral correspond en l'espèce à la largeur l de la première bande 30A, cette largeur étant constante en l'espèce. On voit en particulier sur la Comme on le voit sur les Ainsi, avec l'invention, les bords du manchon opposés à la ligne 34, c'est-à-dire les bords qui sont pourvus de la bande 30A et du bord de glissement 30B sont libres de se déplacer l'un par rapport à l'autre. Ceci concerne toute la partie du manchon qui fait saillie au-delà de l'ouverture 12A. En effet, pour ce qui concerne la partie interne 18A du manchon, on a indiqué précédemment que la largeur L de cette partie interne en configuration aplatie correspond à celle de l'ouverture 12A. Ainsi, pour cette partie interne, les bords 35A et 35B sont en fait incapables ou pratiquement incapables de se déplacer l'un par rapport à l'autre, du fait de la présence de la ligne de soudure 14. Sur les côtés de l'ouverture 12A, cette ligne 14 peut d'ailleurs légèrement empiéter sur le manchon c'est-à-dire sur la partie de la ligne de pliage 34 qui s'étend sur la partie interne 18A du manchon et sur les bords 35A et 35B précédemment évoqués. Dans l'exemple représenté sur les En référence aux Les différents éléments constitutifs du manchon 118 sont désignés par les mêmes références que pour le manchon 18, augmentés de 100. En se référant aux Comme pour la variante des figures précédentes, celle des Comme on le voit sur la Dans la variante des La poche selon l'invention comprend avantageusement des moyens pour maintenir les parois du manchon dans leur conformation formant un canal. A cet effet, il est par exemple possible de pratiquer dans le manchon une découpe du type de la découpe 38 représentée sur la En référence aux Sur les Cependant, le manchon 218 se distingue du manchon 118 en ce qu'il comporte deux languettes de maintien 250A et 250B, respectivement portées par la première paroi 220A et par la deuxième paroi 220B. Chacune de ces languettes présente une tête libre, respectivement 251A et 251B, séparée de la paroi qui la porte, respectivement 220A et 220B, par une fente, respectivement 252A et 252B. Ces fentes sont globalement orientées sensiblement transversalement et sont orientées de telle sorte que la tête libre 251A de la languette 250A est tournée du côté allant en s'éloignant de la première bande longitudinale 230A, tandis que la tête libre 251B de la languette 250B est tournée du côté allant en s'éloignant du bord de glissement 232B. En l'espèce, la partie de rattachement de la languette 250A à la première paroi 220A est sensiblement dans le prolongement longitudinal de la première bande longitudinale 230A et la partie de rattachement de la languette 250B à la deuxième paroi 220B est sensiblement dans le prolongement longitudinal de la deuxième bande longitudinale 230B. Comme on le voit sur la Grâce à l'interpénétration des fentes 252A et 252B, cette situation est inversée au niveau des languettes 250A et 250B. En effet, c'est la première languette 250A, portée par la première paroi 220A, qui se retrouve du côté intérieur de la languette 250B, portée par la deuxième paroi 220B. De ce fait, chacune des languettes est retenue par la fente de l'autre languette. Ainsi, les languettes sont empêchées de s'éloigner l'une de l'autre dans le sens indiqué par les flèches F sur la Faire ainsi coopérer les languettes 250A et 250B est très simple. Il suffit, après avoir conformé le manchon en canal, de les saisir entre deux doigts pour les faire glisser l'une contre l'autre jusqu'à faire passer la languette 250B derrière la languette 250A. On relève par ailleurs en référence à la Bien entendu, les languettes de maintien sont parfaitement compatibles avec la variante de réalisation des Quelle que soit la variante retenue, le manchon de la poche selon l'invention présente la particularité de passer très facilement de sa configuration aplatie à sa configuration en canal. De plus, bien que le bord de glissement soit libre de glisser par rapport à la première bande longitudinale, de sorte que le manchon n'est pas soudé dans cette zone, cette coopération de glissement procure une étanchéité. D'une part, le bord de glissement est en contact avec la face interne de la première paroi sur toute sa longueur et évite donc les fuites intempestives sur toute cette zone de contact. Par ailleurs, le décrochement 31B ou 131B qui est situé à la base du bord de glissement a pour effet de guider le liquide ruisselant contre ce bord vers la face interne de la paroi 20B et donc vers l'intérieur de la poche. Il faut noter qu'on a quelque peu exagéré sur les dessins la distance d entre le bord supérieur de l'ouverture et la base de la première bande longitudinale ou du bord de glissement (c'est-à-dire la base du décrochement 31A, 31B ou 131A, 131B). En l'espèce, la ligne de soudure 119A est en réalité réalisée de manière à parvenir pratiquement au niveau de ces bases. De cette manière, lorsque le liquide parvient à la base du bord de glissement 32B, il est pratiquement dans l'enveloppe. De même, lorsque le manchon est conformé en canal, les bords longitudinaux de la partie interne de ce manchon (35A et 35B ou 135A et 135B) se touchent, ce qui contribue à l'effet d'étanchéité. Ces bords sont représentés espacés sur les |