Montre comprenant un mécanisme d'affichage d'une animation |
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| 申请号 | EP12168537.4 | 申请日 | 2012-05-18 | 公开(公告)号 | EP2527930B1 | 公开(公告)日 | 2014-07-02 |
| 申请人 | Richemont International S.A.; | 发明人 | Junod, François; | ||||
| 摘要 | |||||||
| 权利要求 | |||||||
| 说明书全文 | La présente invention concerne une montre permettant l'affichage d'une animation. Les montres usuelles comprennent un cadran permettant l'affichage de différentes informations horaires. Afin de conférer un attrait particulier à chaque montre les fabricants ont multiplié les affichages de fonctions différentes. En particulier dans les années 1900, plusieurs fabricants ont créé des montres automates. Celles-ci permettent l'animation d'une ou de plusieurs figurines placées au-dessus du cadran et fixées chacune sur un axe relié au mouvement de la montre et traversant le cadran. Ce type d'animation a déjà été décrit dans différents documents de l'art antérieur. C'est le cas notamment des affichages de type pendulaire bien connus de l'état de la technique et décrits dans des documents anciens tels que les brevets suisses Le brevet Le document Le brevet Le brevet Dans cette solution, les deux disques sont directement entraînés par le mouvement. Bien que la description de ce brevet évoque un mouvement saccadé produit par l'échappement de la montre, ces saccades ne sont quasiment pas perceptibles à l'oeil nu. Le brevet parle en effet de disques effectuant un tour par minute et d'un échappement Roskopf, c'est-à-dire d'un échappement qui effectue typiquement 3,5 ou 4 alternances par seconde, ou davantage. Le mouvement est donc peu saccadé et l'image portée sur chaque disque n'est quasiment jamais immobile derrière le guichet; au lieu de cela cette image se déplace d'une façon qui semble continue entre un grand nombre de positions intermédiaires, ce qui nuit à la qualité de l'animation. Le document Ces documents présentent des animations affichées au-dessus du cadran d'une montre dont le mouvement est saccadé. L'animation se limite à faire osciller un motif. Par ailleurs, il existe des montres présentant une animation due à l'entraînement en rotation d'une séquence de motifs distincts. Par exemple, l'affichage des quantièmes peut être réalisé par la rotation d'un anneau situé à la périphérie d'un cadran de montre. Dans ce type de montres, le quantième est le plus souvent visible au travers d'un guichet. Dans le cas de l'affichage du quantième, un mode de réalisation possible consiste à entraîner en rotation un anneau portant une séquence de nombres allant de 1 à 31. L'entraînement est assuré par le mouvement de la montre avec une fréquence de rotation d'un tour par 24 heures. A titre d'exemples, les documents Le mouvement de rotation des mobiles réalisant l'animation des quantièmes est un mouvement discontinu. Cependant, la fréquence de rotation des motifs est trop faible pour produire une réelle impression d'animation. Il existe donc un besoin d'une montre affichant une animation qui permette d'éviter au moins un des désavantages des dispositifs connus mentionnés. Un but de la présente invention est de proposer une montre affichant une animation exempte des limitations des montres connues. Selon l'invention, ce but est atteint notamment au moyen d'une montre selon la revendication 1, et d'un procédé selon la revendication 12. La montre selon l'invention offre donc la possibilité d'afficher une animation réalisée par le défilement saccadé d'une séquence d'images distinctes portées par un mobile d'animation à travers le guichet de la montre. L'expression « impression d'une image animée » se réfère au domaine cinématographique où la succession des images projetées s'effectue à une vitesse particulière appelée également vitesse de défilement. Dans ce domaine cette vitesse de défilement est généralement de 18 à 24 images par seconde. Dans le contexte de l'invention, la fréquence de défilement correspond à la vitesse à laquelle une image affichée à travers le guichet est remplacée par l'image suivante de la séquence d'images distinctes. Ce défilement est effectué grâce au mouvement saccadé du mobile d'animation devant le guichet. La fréquence de défilement sera de préférence supérieure à 2 images par seconde, ce qui est déjà suffisant pour donner une impression d'animation certes très saccadée. De préférence, cette fréquence de défilement sera comprise entre 2 et 24 images par seconde. Un obturateur peut être prévu pour augmenter le nombre d'images par seconde et ainsi améliorer l'impression d'animation. Lorsque le mobile d'animation est entrainé de manière saccadée par le dispositif d'entrainement, il résulte un défilement des images distinctes portées par ce mobile d'animation. Ce défilement d'images présente une évolution continue qui crée l'impression d'une image animée. Si la fréquence est élevée, le phénomène de persistance rétinienne produit l'impression d'un mouvement quasi continu. Cette évolution continue est obtenue notamment par le défilement d'images différentes successives représentant les différentes étapes d'un mouvement donnant l'illusion de ce mouvement. La montre selon l'invention présente donc l'avantage par rapport à l'art antérieur connu de produire un réel effet d'animation similaire à celui d'un dessin animé. Ceci confère un caractère spectaculaire à la montre. L'utilisation d'un dispositif mécanique qui transforme le mouvement de rotation continu du mouvement mécanique en un mouvement de rotation saccadé du mobile d'animation permet notamment d'immobiliser chaque image du mobile pendant une durée relativement longue derrière le guichet, puis de remplacer cette image aussi rapidement que possible par l'image suivante. Le dispositif mécanique permet donc de réduire le temps total pendant chaque cycle durant lequel les images ne sont pas alignées derrière le guichet. Le dispositif mécanique peut être agencé pour produire un mouvement saccadé du mobile d'animation dans lequel :
et ainsi de suite jusqu'à ce que toutes lesdites images aillent été affichées à tour de rôle derrière le guichet. Dans ce texte, l'expression « mouvement continu» doit être interprétée de manière relative. La plupart des mouvements mécaniques comportent un échappement qui génère un mouvement en réalité saccadé. Cependant, la fréquence des mouvements modernes est telle (typiquement 28'800 alternances par heure, ou davantage) que ce mouvement saccadé n'est quasiment pas perceptible, et que les aiguilles ou d'éventuelles mobiles directement entraînés par le rouage semblent se déplacer de manière continue, d'autant plus que les phases d'immobilisation à chaque alternance de l'échappement sont extrêmement brèves. Un but du dispositif mécanique est donc de transformer un mouvement continu (ou perçu comme continu par un observateur) en un mouvement nettement plus saccadé. Un but du dispositif mécanique est aussi de transformer le mouvement continu (ou perçu comme continu par un observateur) du mouvement de base en un mouvement comportant des phases d'immobilisation relativement longues, afin d'afficher les images de façon immobile derrière le guichet, et des phases de déplacement plus courtes, afin de passer plus rapidement d'une image à l'image suivante. Le dispositif mécanique permet donc de transformer un mouvement continu, ou un mouvement perçu comme continu parce qu'il comporte des phases d'immobilisation très courtes et/ou nombreuses, en un mouvement visiblement saccadé qui comporte des phases d"immobilisation plus longues que le mouvement initial. Le dispositif mécanique produit un mouvement du mobile dans lequel la durée des périodes d'immobilisation est de préférence supérieure à la durée des phases de déplacement entre deux positions d'immobilisation successives. Un but du dispositif mécanique est aussi de transformer le mouvement continu (ou perçu comme continu par un observateur) du mouvement de base en un mouvement dans lequel le mobile passe directement d'une position d'immobilisation à la position d'immobilisation suivante. « Directement » signifie ici que le mobile se déplace d'une position d'immobilisation d'image à la position d'immobilisation suivante sans s'arrêter dans une position intermédiaire, ou du moins sans s'arrêter de manière perceptible à l'oeil. Dans le contexte de l'invention, l'expression « mobile d'animation portant une séquence d'images distinctes » se réfère à toute pièce susceptible de tourner et présentant une succession d'images distinctes. Le mouvement saccadé de ce mobile crée « l'impression d'une image animée » décrite ci-dessus. Ce mobile d'animation peut être situé dans un plan parallèle ou confondu avec le plan du cadran de la montre, notamment dans le cas d'un disque ou d'un anneau. Dans le cas où le mobile d'animation est un anneau, il présente de préférence une denture périphérique interne lui permettant d'être entrainé par le dispositif d'entrainement. Dans le cas où le mobile d'animation est un disque, il peut être entrainé par le dispositif d'entrainement par son axe de rotation ou par une denture périphérique externe selon son diamètre. Ce mobile d'animation peut également être situé dans un plan non parallèle au plan du cadran de la montre, notamment dans le cas d'un tambour, d'une bobine, d'une poulie, etc. Les images portées par le mobile d'animation peuvent être formées par des motifs émaillés, sérigraphiés, gravés ou découpés sur le mobile. Elles peuvent être en noir et blanc ou en couleurs, abstraites ou figuratives, etc. Généralement le mobile d'animation porte des images en deux dimensions, toutefois des images en trois dimensions peuvent également être utilisées. Notamment, des objets tels que des sculptures peuvent être fixés sur le mobile d'animation sans sortir du cadre de l'invention. Il est également possible de remplacer le mobile d'animation par un mobile comportant d'autres motifs. L'utilisateur pourra ainsi afficher plusieurs animations sur sa montre. Dans le contexte de l'invention, la montre peut présenter un premier cadran destiné à l'affichage au moins d'informations horaires et au moins un cadran supplémentaire permettant au moins l'affichage d'une animation. Ceci permet notamment de réaliser des montres présentant des formes variées. L'animation obtenue par le défilement de la séquence d'images est observable à travers un guichet par lequel une seule image est visible à la fois. Dans le contexte de l'invention, le terme « guichet » correspond à une ouverture permettant de voir une image parmi une séquence d'images. Le guichet permet d'isoler une image à observer des autres images de la séquence d'images. Dans un cas, le guichet peut être placé de manière à ce que lesdites autres images soient cachées. Par exemple, le guichet sera constitué par une ouverture dans le cadran de la montre. Il ne laisse alors apparaître qu'une image parmi la séquence d'images portées par le mobile d'animation. Dans un autre cas, lesdites autres images peuvent cependant rester visibles. Dans ce cas, le défilement de l'ensemble des images de la séquence d'images est visible. L'ouverture permet à l'utilisateur d'avoir une vue globale de la séquence d'images en rotation et lorsqu'il concentre son regard sur le guichet, il n'observe qu'une image à la fois et a l'impression d'une image animée. Une loupe peut être prévue afin de faciliter l'observation de l'animation. Elle pourra notamment être placée dans le guichet ou dans le verre de la montre en regard dudit guichet. Ce guichet peut être aménagé dans le cadran de la montre. Les images autres que celle apparaissant dans le guichet peuvent cependant rester visibles. L'entrainement du mobile d'animation peut être assuré par un mouvement de base de la montre. Le mouvement de base peut déterminer la marche de la montre. Le mouvement de base peut être constitué par un module auxiliaire superposé sur un mouvement principal qui détermine la marche de la montre, et entraîné par ce mouvement principal. L'entrainement du mobile d'animation est assuré par le mouvement de base au travers d'un dispositif mécanique comprenant une croix de Malte. Lorsque le mobile d'animation est entrainé par une croix de Malte, celle-ci est entrainée par le mouvement de base de la montre, de manière discontinue. La croix de Malte est coaxiale et montée solidaire en rotation avec un pignon. Ils peuvent par exemple être soudés l'un à l'autre. Le pignon engrène une denture périphérique du mobile d'animation. Ainsi le mouvement de la croix de Malte est transmis au mobile d'animation. Le mouvement de base entraînant le mobile peut être constitué par un module additionnel superposé sur un mouvement principal. Le module additionnel peut comprendre une source d'énergie et un organe réglant qui lui sont propres ainsi que le mobile d'animation. On pourrait par exemple utiliser un mécanisme de répétition-minute, ou la force de la sonnerie des timbres pour faire défiler les images. Dans ce cas, le module additionnel comprend son propre organe réglant qui déterminera la vitesse de défilement du mobile d'animation. La montre possède également un organe réglant propre. L'organe réglant du module additionnel peut être simplifié par rapport à l'organe réglant du mouvement de la montre. En effet, il n'est pas nécessaire d'avoir un niveau de précision équivalent à celui du mouvement de base de la montre pour obtenir une impression d'image animée. Toutefois, lorsque le mobile d'animation est situé sur un module additionnel, il peut également être entraîné par le mouvement principal déterminant la marche de la montre. La marche du mobile d'animation, lorsqu'il est situé sur un module additionnel, peut également être déterminée par l'organe réglant du mouvement de base de la montre. Le mobile d'animation peut être déclenché périodiquement de manière automatique, par exemple toutes les heures. Le mobile d'animation peut également être déclenché manuellement par l'utilisateur. Dans ce cas, le déclenchement peut être effectué à l'aide d'un bouton poussoir, d'une couronne, un verrou de répétition-minute ou de tout autre dispositif de déclenchement applicable à une montre. Dans le procédé de la revendication 12, l'intervalle de temps correspondant à l'immobilisation d'une image devant le guichet est compris entre 0.5 seconde et 0.04 seconde. Cet intervalle correspond à la vitesse de défilement des images distinctes. La durée de la répétition des étapes permettant le défilement des images distinctes à travers le guichet est généralement inférieure à 60 secondes. Elle dépend de la taille du ressort et de la dimension du barillet. Dans le contexte de l'invention, le défilement de toutes les images de la séquence d'images à travers le guichet, appelé cycle, peut être effectué une fois ou bien répété plusieurs fois. Lorsqu'un cycle se termine, l'image affichée doit être la première image du cycle afin de recommencer chaque cycle à la même image. Des exemples de mise en oeuvre de l'invention sont indiqués dans la description illustrée par les figures annexées dans lesquelles :
La Cette montre 11 présente notamment un guichet 4 au travers duquel une image 3 parmi une séquence d'images est visible. Le guichet 4 est aménagé dans le cadran 10 et permet de voir défiler une succession d'images distinctes 3. Un bouton poussoir ou verrou 12 permet le déclenchement manuel par l'utilisateur du mobile d'animation 1. Dans un autre mode de réalisation, non représenté, la montre 11 selon l'invention peut présenter un déclenchement manuel du mobile d'animation 1 au moyen d'une lunette de montre, de la couronne, ou de tout autre organe. La Le mobile d'animation 1 représenté sur cette figure est formé par un anneau 1 sur lequel sont représentées des images distinctes 3. L'anneau 1 possède une denture périphérique interne 2 engrenant un pignon 9. Le pignon 9 est coaxial et solidaire en rotation avec une croix de Malte 5. La croix de Malte 5 et le pignon 9 sont entrainés de manière saccadée par une roue d'entraînement 6 à un ou plusieurs pivots. La roue d'entraînement 6 est entrainée en rotation de manière continue et à vitesse constante par le mouvement de base de la montre 11. La vitesse constante de la montre est assurée par un régulateur. Le fonctionnement de la croix de Malte sera décrit plus précisément en référence à la Le mouvement saccadé appliqué à l'anneau 1 permet le défilement des images distinctes 3. Le guichet 4 non représenté sur la La taille des images 3 est choisie de manière à ce que chaque image 3 soit entièrement visible à tour de rôle dans le guichet 4. Chaque image 3 représente une étape d'un mouvement. Ainsi le défilement des images successives 3 correspond au défilement des différentes étapes du mouvement créant ainsi l'illusion du mouvement. La vitesse de défilement est donc choisie de manière à provoquer cette illusion de mouvement ou impression d'image animée. Ce concept d'animation se réfère au domaine cinématographique où la succession des images projetées s'effectue à une fréquence particulière. Dans le contexte de l'invention c'est-à-dire pour le défilement d'images distinctes 3 dans une montre 11, une vitesse de défilement supérieure à 2 images par seconde sera suffisante. De préférence, la vitesse de défilement sera comprise entre 18 et 24 images par seconde. Dans un autre mode de réalisation, le nombre d'images par seconde peut être augmenté par un obturateur. Dans un autre mode de réalisation, non représenté, le mobile d'animation 1 est constitué d'un tambour situé dans un plan perpendiculaire au cadran. Le tambour tourne selon un axe situé dans un plan parallèle ou confondu avec le plan du cadran. Le tambour présente une multitude de facettes portant les images distinctes, chaque facette portant une unique image. Dans un autre mode de réalisation, non représenté, le mobile d'animation 1 est constitué d'un disque 1 de diamètre inférieur ou égal à celui du cadran 10 de la montre et fixé en son centre de manière coaxiale avec le centre du mouvement de base de la montre. L'entrainement du disque 1 se fera au moyen d'un pignon central, entrainé de manière saccadée par une croix de Malte 5. Le disque ne présente pas de denture périphérique. Dans un autre mode de réalisation, non représenté, le mobile d'animation 1 est constitué d'un disque excentré par rapport au centre du mouvement de base de la montre 11 et de diamètre inférieur à celui du cadran de la montre. De préférence le disque présente une denture périphérique externe sur laquelle engrène le pignon entrainé par la croix de Malte. La Une roue d'entraînement 6 entrainée par le mouvement de base de la montre (non représenté) tourne de manière continue, avec une vitesse régulière. Cette roue d'entraînement porte deux pivots 7 pénétrant dans les rainures 8 de la croix de Malte, provoquant ainsi sa rotation d'un quart de tour. La roue d'entraînement 6 peut également ne porter qu'un pivot. Le pivot 7 sort ensuite de la rainure 8, la roue d'entraînement 6 continue sa course tandis que la croix de Malte reste immobile. La partie centrale de la roue d'entraînement 6, partiellement évidée, est complémentaire de l'arrondi de la croix de Malte 5 afin de stabiliser la position du dispositif lorsque l'un des pivots 7 n'est pas engagé dans l'une des rainures 8. La Sur l'un ou l'autre de ces cadrans 10 ou 12, des informations supplémentaires peuvent être affichées bien que non illustrées sur cette figure. A titre non limitatif, des exemples d'informations supplémentaires à afficher sont les secondes, le quantième, la réserve de marche ou encore des données de chronographes, etc. Selon un autre mode de réalisation, la montre 11 présente une animation sur un cadran supplémentaire alors que les informations horaires sont présentées sur un cadran principal. Selon encore un autre mode de réalisation, il est possible de prévoir plusieurs cadrans complémentaires. Selon encore d'autres modes de réalisation, le mobile d'animation peut être placé au-dessus du cadran, ou même hors de la boîte, par exemple dans la lunette ; etc. L'invention a été décrite pour une montre mais elle pourrait être appliquée à des dispositifs de plus grande dimension présentant les caractéristiques précédentes prises en combinaison ou indépendamment les unes des autres. A titre d'exemple, une horloge présentant un affichage d'une animation fonctionnant à l'aide d'un mécanisme à croix de Malte, permet notamment d'utiliser une séquence d'images de taille supérieure. Le contenu des images peut être plus détaillé et présenter un aspect esthétique supérieur par rapport à un motif plus simple, parce que plus petit, affiché sur une montre. Une telle horloge possède un caractère attractif et spectaculaire.
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