Corps d'allumage d'allume-cigares et fiche auxiliaire associée à un tel corps, notamment pour véhicules automobiles

La présente invention concerne les fiches auxiliaires associées à un corps d'allumage d'allume-cigares formant prise auxiliaire pour ladite fiche, notamment pour véhicules automobiles.

Ainsi qu'on le sait et tel que décrit, par exemple, dans le document US-A-4,500,774 (figure 1) un allume-cigares comporte un corps d'allumage, pourvu d'un bilame, dans lequel est logé un bouchon chauffant amovible propre à coopérer avec ledit bilame pour son chauffage.

Le corps d'allumage est propre à être fixé à une paroi du véhicule soit directement, soit indirectement par l'intermédiaire d'une bague conductrice de lumière, par exemple.

Ce corps d'allumage présente également des languettes crantées propres à coopérer avec le bouchon pour retenue de celui-ci. Il est propre à être relié à l'une des bornes de la batterie, tandis qu'il est solidaire centralement un organe de fixation d'un bilame propre à être relié à l'autre borne de la batterie.

Ce corps d'allumage usuellement sert de réceptacle pour le bouchon chauffant et également de prise auxiliaire pour réception d'une fiche auxiliaire notamment pour chauffage d'un chauffe-biberon, alimentation d'un ventilateur ou branchement d'un aspirateur, projecteur auxiliaire, gonfleur etc...

Usuellement la fiche comporte un corps isolant d'où font saillie des languettes élastiques pour coopération avec le corps d'allumage, lesdites languettes étant reliées avec un premier câble d'alimentation.

La fiche comporte également une borne propre à coopérer avec l'organe de fixation du bilame.

En pratique ce sont les languettes élastiques qui maintiennent en prise la fiche avec le corps d'allumage et l'organe de fixation.

De tels dispositifs d'alimentation conviennent lorsque l'intensité du courant n'est pas très forte.

Par contre, ils ne conviennent pas, lorsque l'intensité du courant traversant ladite fiche et le corps est importante, par exemple, de l'ordre de 30 ampères.

La présente invention a pour objet de pallier cet inconvénient et donc de créer un nouveau corps d'allumage, pour formation d'un dispositif d'alimentation parcouru par des courants de très grandes intensités.

Elle a également pour objet de créer une nouvelle fiche auxiliaire associée à un tel corps d'allumage.

Suivant l'invention un corps d'allumage du type susindiqué comportant intérieurement un bilame s'étendant axialement dans un premier sens à partir d'une base pour chauffage d'un bouchon chauffant, est caractérisé en ce qu'il est solidaire d'une broche centrale à tête pénétrante, s'étendant axialement au moins en majeur partie, en considérant ladite base, dans un second sens opposé au premier sens, en sorte que ledit bilame et ladite broche s'étendent globalement de part et d'autre de ladite base.

La broche, à isolation électrique, peut être rapportée sur le corps ou en variante être solidaire d'une pièce elle-même solidaire du corps d'allumage, telle qu'une bague éclairante et isolante servant à la fixation dudit corps à la paroi d'un véhicule. En outre, la taille du corps d'allumage et le bouchon chauffant peut demeurer inchangée. De plus, la fiche auxiliaire est avantageusement admise à traverser le fond du corps d'allumage pour coopérer sur une grande longueur avec la partie courante de la broche centrale et ce dans l'encombrement des languettes d'alimentation électrique que comporte usuellement le corps d'allumage.

Suivant l'invention une fiche du type susindiqué est caractérisée en ce qu'elle comporte une broche creuse élastique et expansible, pour coopération avec ladite broche centrale du corps d'allumage et expansion au contact de celle-ci.

Suivant une autre caractéristique, ladite broche est fractionnée en mâchoires propres à recevoir un anneau de serrage.

Grâce à l'invention un contact efficace et énergique est obtenu entre la broche centrale du corps d'allumage et la broche élastique de la fiche auxiliaire.

En effet la tête pénétrante de la broche centrale permet un gonflement de la broche élastique venant ainsi coiffer à serrage ladite broche centrale. Cette tête a également une fonction supplémentaire en permettant un contact avec la broche d'une fiche classique.

Avantageusement, pour ce faire, la tête pénétrante de la broche centrale s'étend à l'intérieur du corps d'allumage légèrement en saillie par rapport à la base dudit bilame.

Suivant une autre caractéristique, la broche centrale est disposée dans le fond d'un puits traversant à isolation un trou que présente le fond du corps d'allumage. Les courts-circuits sont ainsi évités, tout en ayant une construction robuste.

Suivant une autre caractéristique, la fiche auxiliaire comporte un élément conducteur doté d'un rebord d'accrochage pour coopération avec les languettes du corps d'allumage.

Cette disposition favorise également le passage de fort courant à travers la prise et la fiche.

On appréciera qu'on tire parti des languettes du corps d'allumage.

La description qui va suivre, à titre d'exemple, illustre l'invention en référence aux dessins annexés dans lesquels:

• - la figure 1 est une vue en perspective d'un allume-cigares selon le brevet US 4,500,774;
• - la figure 2 est une vue en coupe axiale d'une fiche auxiliaire selon l'invention;
• - la figure 3 est une vue selon la ligne III-III de la figure 2;
• - la figure 4 est une vue en coupe selon la ligne IV-IV de la figure 2;
• - la figure 5 est une vue en coupe selon la ligne V-V de la figure 2;
• - la figure 6 est une vue d'un dispositif d'alimentation selon l'invention;
• - la figure 7 est une vue en coupe montrant le corps d'allumage;
• - la figure 8 est une vue selon la flèche F de la figure 7;
• - la figure 9 est une vue en coupe axiale selon la ligne I-I de la figure 8.

Dans l'exemple de réalisation décrit, pour formation d'un dispositif d'alimentation parcouru par un courant de fort ampérage (par exemple 30 A) d'un accessoire ou appareil électrique, il est mis en oeuvre une fiche auxiliaire 1 associée à une prise sous forme d'un corps d'allumage 19 d'un allume-cigares de véhicules automobiles.

Il peut s'agir par exemple d'alimenter un gonfleur ou une cafetière.

Cette fiche auxiliaire 1 (figure 2) comporte un corps électriquement et thermiquement isolant creux 4, en deux demi-coquilles maintenues ensembles à l'aide d'un collier de serrage élastique 5, un premier élément conducteur 9 et un second élément conducteur 2.

A l'intérieur du corps isolant 4 pénètre deux câbles d'alimentation 6, 7.

Le câble 7 est relié par un dé de raccordement 8 à une broche creuse 9 formant suivant l'invention le premier élément électriquement conducteur, tandis que le câble 6 est relié par un dé de raccordement 11 au second élément électriquement conducteur 2.

Ce second élément 2 présente un rebord d'accrochage 3 pour coopération avec des languettes de retenue crantées 22 du corps d'allumage 19, ici métallique et donc électriquement conducteur.

Le corps 4 est de forme tubulaire et présente une queue 15′ de diamètre réduit et un nez 15 raccordés par un tronc de cône à la partie principale du corps 4.

C'est sur la queue 15′, à bourrelet d'extrémité, que vient en prise le collier 5 doté d'un cran et d'une patte d'accrochage, comme couramment employé dans les tuyaux de vidange de machines à laver.

Le corps 4 présente un cran 12 annulaire sur lequel prend appui le second élément conducteur 2 enveloppant et ceinturant le corps isolant 4.

Cet élément conducteur 2 s'étend vers le nez 15 et sert, comme le collier 5, à maintenir en prise les deux demi-coquilles du corps 4, dont la ligne de jonction a une forme en zig-zag pour une bonne coopération entre celles-ci.

Il est fixé au corps 4 par pincement entre ledit corps et une vis à tête fraisée 13, comme visible à la figure 4.

Cet élément 2 est enroulé autour du corps 4 et il présente localement une empreinte, pour coopération avec la tête de la vis 13, le corps 4 présentant un renfoncement local à cet effet.

La vis 13 sert également à la fixation du dé 11 doté d'une saillie avec un trou fileté à cet effet et immobilisé axialement entre deux épaulements de l'une des deux demi-coquilles (figures 2 et 4).

Suivant une caractéristique de l'invention, ces deux demi-coquilles viennent maintenir et fixer centralement le dé 8 (figure 2), grâce à un épaulement annulaire 14 de celles-ci engagé dans une gorge 14′ annulaire du dé 8.

L'épaulement 14 est formé dans la zone de raccordement du nez 15 avec la partie principale du corps 4, il délimite une ouverture centrale du nez 15 de diamètre réduit à l'intérieur de laquelle pénètre la broche 9.

Cette broche 9 fait saillie axialement par rapport au corps 4 et au nez 15 et est solidaire du dé 8 en étant ici d'un seul tenant avec celui-ci.

Les dés 8 et 11 sont dotés chacun d'un passage axial, pour réception du fil du câble respectivement 6, 7, lesdits dés comportent également, transversalement par rapport auxdits passages, un trou fileté pour montage de vis 20 et serrage du câble concerné dans ledit passage.

Suivant l'invention cette broche 9 est creuse, en étant élastique et expansible.

Ici la broche 9 est fractionnée en mâchoire 16 par des fentes 17, le dé 8 formant la partie arrière de ladite broche, à partir de laquelle s'érige les mâchoires 16, qui éventuellement peuvent être striées intérieurement.

Cette broche 9 conductrice de courant est de forme tubulaire et est dotée à son extrémité libre saillante d'une gorge annulaire 18 pour réception d'un anneau de serrage élastique 10 tendant à refermer les mâchoires 16.

Cette broche 9 est suivant l'invention propre à coopérer avec une broche centrale 30 à tête pénétrante solidaire du corps d'allumage 19.

Ce corps d'allumage 19 est également de forme tubulaire et présente de manière connue en soi, deux languettes 22 à crochets ou crans 23 diamétralement opposés, propres normalement à la réception d'un bouchon d'allume-cigares. Le corps 19 présente un fond 26 traversé par la broche 9.

Le second élément 2 est propre à épouser l'alésage interne du corps d'allumage 19 et suivant une caractéristique de l'invention les languettes 22 sont propres à coopérer et à venir en prise avec le rebord d'accrochage 3 du conducteur 2, les crans 23 pénétrant dans ledit rebord 3.

Tout ceci est facilité par le fait que ledit rebord 3 s'étend au niveau du tronc de cône raccordant le nez 15 à la partie courante du corps 4, en sorte qu'un espace existe entre ledit rebord 3 et le corps 4.

Ce corps 19 présente un fond 26 troué pour montage d'une bague d'isolement 60, et à son extrémité libre une collerette 25 pour coopération avec une collerette 48 d'une bague éclairante 40 entourant le corps 19.

Cette bague 40 est, par exemple, en matière plastique translucide et isolante. Elle pénètre (Figure 7) dans une ouverture d'une paroi P du véhicule et présente des trous 42 pour coopération avec des redents 43 appartenant à ladite paroi P et fixation à la paroi P.

La bague 40 est entourée par un carénage métallique 44 et est dotée d'ouvertures pour dégager les lames d'un bilame 28 ayant deux lames dotées chacune d'un crochet s'étendant à partir d'une base 80 globalement transversale, ledit bilame étant porté à isolation intérieurement par le corps 19. Ce bilame 28 est propre à coopérer avec le bouchon de chauffage de l'allume cigare pour chauffage du corps de chauffe de celui-ci par accrochage. Pour plus de précision, on se reportera au susmentionné document US-A-4,500,774.

Ce corps 19 présente localement des redents 24 pour accrochage avec la bague 40 servant ainsi à la fixation du corps 19 à la paroi du véhicule, ladite bague 40 étant immobilisée axialement par ladite paroi P.

Cette bague 40 est également de forme tubulaire et présente un fond 47 percé pour passage de languettes d'alimentation 50 et 51.

Ce fond 47 se prolonge vers l'extérieur par une paroi 46 axiale appartenant à une première partie d'un connecteur propre à coopérer avec une seconde partie d'un connecteur porté par le véhicule.

Cette bague 40 est dotée latéralement, au niveau de la paroi 46, d'un logement 45 pour montage d'une lampe 54.

Cette lampe est reliée par des fils électriques 55 repectivement à une languette 52 et à une languette 53.

La languette 53 coopère avec le corps d'allumage 19 conducteur connecté à la borne négative de la batterie, tandis que la languette 52 est propre à être connectée à la borne positive de la batterie.

Cette languette 52 est ancrée dans la base 47 de la bague 40 (figure 7), tandis que la languette 53 traverse à fixation ladite base 47.

Le logement 45 est formé dans une paroi de la bague 40 servant de nervures de rigidification à la première partie 46, 47 du connecteur.

Le logement 45 et la première partie de connecteur sont ouverts vers l'extérieur.

C'est au niveau du fond 26 du corps 19 qu'est implantée la broche centrale 30 selon l'invention.

Cette broche 30 traverse à isolation électrique le fond 26 troué à cet effet et appartient à une pièce 31 en forme de gobelet. Ici cette broche 30 a une forme d'ogive. Elle s'érige à partir du fond 32 de la pièce 31, et est creuse.

Cette broche 30 présente donc une extrémité en forme de tête pénétrante fermée et une partie courante tubulaire de forme complémentaire à l'alésage interne de la broche 9.

La pièce 31 comporte une paroi périphérique annulaire 36 de forme tubulaire entourant la broche 30 et se raccordant au fond 32 par un bourrelet 34 constituant un épaulement.

L'extrémité libre de la paroi 36 est rabattue transversalement en 35, pour formation d'un épaulement.

Entre les épaulements 34 et 35 sont calés axialement successivement des replis de la languette 50, la bague isolante 60 pénétrant dans l'ouverture du fond 26, un repli de la languette 51 au contact du fond 26 du corps 19, puis une bague isolante 62 et enfin le bilame 28.

Ce bilame 28, outre les deux lames, propre à coopérer avec le bouchon amovible de l'allume-cigares, présente également une languette 29 dirigée axialement en sens inverse desdites lames, pour formation d'un dispositif de sécurité à plot pour contact avec la languette 51 et établissement d'un court-circuit.

La pièce 31 et donc la broche 30 traversent des ouvertures des bagues 60 et 62, en sorte que ladite pièce 31 est isolée électriquement du fond 26. Cette pièce 31 et cette broche 30 s'étendent en majeure partie, en considérant le plan de la base 80 du bilame 28, dans le sens axial opposé à celui dans lequel s'étendent lesdites lames du bilame 28, en sorte que ledit bilame 28 et lesdites pièces 31, 30 s'étendent de part et d'autre de ladite base 80, suivant l'invention.

Comme visible à la figure 6, la pièce 31 constitue donc une pièce d'assemblage des divers constituants, la bague 62 et le bilame 28 s'étendant d'un premier côté du fond 26, tandis que les languettes 51, 50 et la rondelle 60 s'étendent de l'autre côté dudit fond.

Ainsi la pièce 31, qui traverse à isolation ledit fond 26, sert par ses épaulements 34 et 35 au maintien des susmentionnés constituants au contact du fond 26, l'assemblage étant réalisé par enfilage des divers constituants sur la pièce 31 puis par verrouillage final réalisé par sertissage et formation de l'épaulement 35.

On notera que la languette 50 présente des pattes d'agrafage 56 contournant l'épaulement 34 et venant en prise avec celui-ci, lesdites pattes 56 étant au contact du fond 32 de la pièce 31.

La languette 51 présente également un contour tortueux pour contourner la bague isolante 60 et venir au contact du fond 26, ladite languette présentant, pour son immobilisation, deux ergots 61, formant détrompeur pour le montage du corps 19 et pénétrant dans un trou correspondant du fond 26.

La languette 51 est reliée à la borne négative de la batterie et il en est ainsi de même du corps d'allumage 19, qui est ici métallique et conducteur.

Ainsi la pièce 31 sert également de pièces d'assemblage aux languettes conductrices 50, 51 sachant que la languette 50, qui s'étend centralement est propre à être connectée ici à la borne positive de la batterie.

On notera que le fond 47 de la bague 40 participe également au maintien de l'ensemble, du fait que les languettes traversent ledit fond à la faveur d'ouvertures.

Comme mieux visible à la figure 6, la dimension axiale de l'anneau de serrage 10, fendu et expansible, est adapté à la dimension axiale de la broche centrale 30.

De même l'espace annulaire séparant la paroi 36 annulaire de la broche 30 également annulaire, est adapté à l'épaisseur de la broche 9 et de l'anneau 10 pour que ladite broche 9 puisse pénétrer à l'intérieur de la paroi 36 et se dilater.

Ainsi qu'on l'aura compris la taille de la broche 30 est légèrement supérieure à l'alésage interne délimité par les mâchoires 16 lorsque celles-ci sont à leur état libre.

Son implantation est déterminée pour que l'extrémité de sa tête pénétrante puisse servir de contact pour une fiche classique sans gêner l'accrochage du bilame 28 avec le bouchon chauffant de l'allume-cigares.

Lorsque l'on introduit la fiche 1, dans le corps 19 formant prise, la broche 9 s'enfile sur la broche centrale 30 et se dilate au contact de celle-ci.

Pour ce faire comme visible, par exemple, à la figure 2, l'extrémité des mâchoires 16 est chanfreinée, en sorte que la coopération avec la broche 30 en forme d'ogive est facilitée et que les mâchoires 16 se dilatent pour pénétration de la broche 30, avec autonettoyage des contacts.

Une fois l'opération d'enfilage terminée les mâchoires 16 sont fermement appliquées contre la partie tubulaire de la broche 30 grâce notamment à l'anneau 10 fendu tendant à refermer élastiquement les mâchoires 16.

On appréciera que la zone de contact, entre les mâchoires 16 et la broche 30, est de grande étendue et qu'un contact intime est réalisé entre les broches 9 et 30.

Un contact intime existe également entre l'élément conducteur 2 et le corps 19, tous deux ici de forme cylindrique à section circulaire, grâce aux languettes 22.

Tout ceci facilite le passage de courant de forte intensité et un bon maintien de la fiche auxiliaire 1.

Bien entendu la taille du corps 4 et de l'élément 2 est fonction de l'alésage interne du corps 19. Une fois montée, l'élément 2 de la fiche 1 (figure 6) est à distance du bilame 28, ladite fiche 1 étant dimensionnée en conséquence.

On notera que le cran 12 limite la pénétration de la fiche 1 dans le corps 19, par coopération avec la collerette 25.

Comme décrit ci-dessus, la broche 30 peut servir de contact à une fiche classique et c'est la raison pour laquelle sa tête pénétrante fait légèrement saillie à l'intérieur du corps 19 par rapport à l'extrémité libre de la partie périphérique 36 de la pièce 31 et par rapport à la base 80 du bilame 28.

D'une manière générale la position de la tête de la broche 30 est déterminée, en sorte que le nez 15 n'entre pas en contact avec la pièce 31.

En variante (non représentée), la partie du corps isolant 4, s'étendant entre le cran 12 et la queue 15′, peut être striée pour faciliter la préhension de la fiche 1.

Bien entendu la présente invention n'est pas limitée aux exemples de réalisation représentés.

En particulier, la broche centrale 30 peut avoir une tête pénétrante de forme tronconique ou en variante en forme de demi-olive. Elle peut être striée.

La présence d'une bague éclairante n'est pas indispensable, le corps 19 pouvant être fixé à la paroi du véhicule à l'aide d'un écrou.

L'assemblage des deux demi-coquilles peut être réalisé par clipsage.

La bague éclairante 40 peut être du type de celle du susmentionné document US 4,500,774.

L'anneau 10 n'est pas forcément ouvert, il peut être fermé et être par exemple sous forme d'un élément en élastomère.

La broche 30 peut être pleine et être rapportée sur le fond 32 de la pièce 31.

En variante, alors que dans la réalisation décrite la broche 30 est portée à solidarisation par le corps 19, ladite broche 30 peut être distincte de la pièce 31, se réduisant alors à un simple rivet fixant les pièces 50, 60, 51, 62 et 28 au fond 26.

Elle peut être rapportée sur le fond 47 de la bague 40 et être reliée à la languette 50 toujours dotée de ses agrafes 56.

La broche 30 est alors également solidaire du corps 19 et peut s'étendre tout entière de l'autre côté de la base 80 par rapport au bilame 28. Il peut en être de même à la figure 6.

On notera que dans tous les cas, que la broche 30 est disposée à l'intérieur d'un puits délimité par la pièce 31 ou un rivet creux épaulé, la broche 9 pénétrant à l'intérieur dudit puits.

Dans tous les cas la bague 40 en matériau électriquement isolante, comme les bagues 60, 62, protège les connexions électriques et notamment les languettes 50, 51 ainsi que la broche 30.

Cette bague s'étend au-delà du fond 26, son extrémité libre 46, 47 étant dans l'encombrement radial ou contour hors-tout de ladite bague 40.

Enfin la fiche 1 et le corps 19 étant de forme complémentaire, ceux-ci peuvent être cylindriques à section carrée, et il peut en être de même des broches 9 et 30.